𝓒𝓱𝓪𝓹𝓲𝓽𝓻𝓮 ι

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Bip

Bip

Bip

"Debout Hectore nous sommes le vendredi 18 juin 2011 dehors il fait 30° le vent souffl..."

J'appuie alors sur mon réveille pour stopper la terrible voix qui sort de ce machin sans même attendre la fin de sa phrase. Puis je me mets assis sur le bord de mon lit plonge ma tête dans mes mains pour me réveiller de se dure sommeil. J'enfile alors mon vieux pantalon que j'avais la veille enlevé et laissé à même le sol. Celui-ci était taché de partout mais peut importe cela ne m'empêche pas de le porter.

Après avoir pris un léger petit dej, m'être coiffé et brossé les dents je pris mes clefs, montais dans ma voiture puis conduis jusqu'à mon lieu de travail.

Cela fait maintenant

3 ans que je travail pour un blog très réputé en France.

Mon travail est simple écrire des articles sur un blog nommé "France info"

pour mettre au

courant les français sur ce qui ce passe dans leur pays. Plus il y a de vues sur le blog, plus mon

patron et heureux et plus il me laisse de libertés.

Mais en ce moment il me demande de sortir l'article du siècle sur la pollution dans les grandes villes.

Et pour cela il me demande de faire un court voyage à Paris la ville la plus proche de chez moi payée de ma poche pour écrire cet article.

J'avais donc deux choix sois dire oui ou sois me faire remplacer par quelqu'un d'autre ce qui veut dire que je dis au revoir à mon travail.

Je me gare alors à ma place de parking réservé pour moi, sort de ma voiture pour me dirigé vers l'immense immeuble.

J'ouvre la porte de cet immeuble avec toujours la même appréhension que l'article que j'avais écris la veille ne plaise pas au chef.

Je pris l'ascenseur pour monter au 20 ème étages, l'étage des rédacteurs du blog.

18....

19...

20...

J'ai toujours eu cette peur que l'ascenseur se bloque.

Lors de l'ouverture des portes j'entendis mon patron crier:

-" Tu ne sert à rien à par meublé cette chaise tu es VIRÉ!!!"

Il eu à peine le temps de reprendre son souffle que une jeune dame de quelques années de moins que moi passa à côté de moi et effleura mon bras.

Elle avait dans ses mains un carton avec ses objets personnels.

Malgré le pas rapide qu'elle avait engagé je pouvais distingué quelques larmes de rage sur son visage.

Je me dirige alors vers mon bureau avec cette envie de rentré chez moi toute suite.

Je mis à peine mon fessier sur la chaise que Gerard le patron prononça mon prénom.

Je lui dis alors que j'arrivais.

Je pouvais clairement distingué le faite qu'il s'était levé du pieds gauche avec ce qui vient de se pas

𝓒𝓱𝓮𝓻 𝓒𝓸𝓺𝓾𝓮𝓵𝓲𝓬𝓸𝓽Où les histoires vivent. Découvrez maintenant