MES DROITS, MON COMBAT

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Coucou ouff , je sens qu'on m'a oublié ici, mais vous avez raison c'est entièrement de ma faute, sortez toutes les armes 🧨🏹⚔⚒🔨🔧🔪 je n'ai pas d'excuses pour avoir laisser ma team autant de temps.

Mais je vous demande pardon, c'est le confinement. Bon mois de carème a vous mes parents musulmans.

Puisqu'ils faut rester chez nous, je me ferai pardonner en postant un chapitre chaque 3 TROIS jours. S'il vous plait lachez vous en commentaire, c'est peut être ça qui m'a aussi desinspiré, aimé et n'hesitez pas a partager 😘😘

Assis près du lit de sa fille Aya, le vieux Miezan, n'imaginait pas se retrouver dans cette situation, sa vie sans sa fille impensable. S'il est vrai qu'on pourrait la qualifiée de coléreuse, indomptable, folle, bagarreuse, elle était aussi aimante, douce,battante, attentionnée avec ceux qu'elle aimait et qui lui donnait de l'amour en retour. Elle seule représentait tout le mélange culturel de ses parents.

Aya était perçue par son père comme le fils qu'il avait désiré, elle avait la force de se battre pour tout et contre tous quand il s'agissait de sa famille et de ses objectifs.

C'est cette femme forte que son père réclamait en larmes dans cette chambre d'hopital. Il suppliait sa fille qui était plongée dans un coma profond de revenir a eux, il l'implorait pour sa Mariette qui était attachée à sa mère.

- s'il te plaît Wassia (l'invicible) reviens nous, Mariette et moi avions besoin de toi, ne m'abandonne pas comme ta mère, en lui caressant le crane,elle avait raser ses cheveux brusquement.

Wassia était le deuxième prénom traditionnel de Aya un nom qui avait été donné par sa mère tiré de son groupe ethnique.

on ne sais encore pourquoi ce changement.

Le vieux Miezan, ne put s'empêcher de verser des larmes, oui il était vraiment attristé pour sa fille.

Je me souviens qu'un vieux sage m'a dit une fois {les gens pleurent non pas parce qu'ils sont faibles. Mais parce qu'ils ont été fort trop longtemps}.

C'est beau de voir un père tenir à son enfant.
S'approchant du lit, Charles inclina sa tête vers l'oreille d' Aya

-j'ai encore besoin de toi yaya, s'il revient à nous, je te promet que je me marierai, comme tu me l'as demandé, avec qui? Je ne sais pas encore , néanmoins je prendrai une femme comme toi, qui me fera de bon petit plat , ainsi, je ne trainerai plus dans ta cuisine, mais s'il te plaît lève toi, nous avons encore une grande affaire à régler.

Malgré toutes ses déclarations, ils ne recevaient aucune reponse.
Avec le père de Aya, ils échangèrent un long regard communicatif qui leur demandait à tout deux d'être patient.

-messieurs l'heure de la visite est terminée, c'était l'infirmière, et aussi la fin d'une soirée sans Aya.
L'un à gauche et l'autre à droite tenait les mains de cette femme qui autrefois respirait la vie.

- nous rentrons papa et moi, tâche de rester en vie, je te réserve une belle surprise.

- a demain ma fille, ils s'en allaient sans reponse encore une fois, triste mais avec un brin d'espoir.

C'est dans la voiture que le vieux Miezan confia à Charles ces craintes

- charles mon fils, tu sais j'ai peur que la famille Mélèdje ne soit derrière toutes les souffrances de ma fille, d'abord elle va en prison, pour je ne sais quelle raison, ensuite elle se retrouve dans un coma par un accident dans la maison de la supposé deuxième femme de Richard, j'espère que ce ne sont pas eux avec cette histoire d'héritage, sinon, ils entendront parler de moi.

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 30, 2023 ⏰

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