Zipkê

MES DROITS, MON COMBAT

Deuxième partie

Commentez à fond.

- Madame Mélédje bienvenue, vous êtes attendue par les membres de la direction et votre actionnaire, dans la salle de réunion.

c'était la secrétaire de Thierry qui venait de la retirer de ses pensées

- Merci Sabine

-madame !??

-oui

-je suis sincèrement désolée, toutes mes condoléances.

- Merci , dit-elle accompagné d'un sourire triste

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En salle de réunion

-bien bonjour mesdames et messieurs, suite à la triste nouvelle et à la perte de Monsieur Mélédje dans nos vies et nos entreprises, en tant que deuxième actionnaire et épouse de monsieur Mélédje, je serais la nouvelle dirigeante jusqu'à ce que nous trouvions une autre personne à même de pouvoir gérer toute cette grande entreprise. Des questions?

- pensez vous madame Mélédje que le troisième actionnaire peut reprendre les commandes?

- oui mr Bamba, mr Diby Charles peut reprendre les commandes, avec ses preuves et aussi votre accord, d'autres questions ?

après la réunion Aya se retrouvait dans le bureau de Mélédje face à sa photo.

-si je découvre que tout ça est vrai, je ne te le pardonnerai jamais sache-le

la sonnerie de son portable l'interpella

- le vieux Mélédje!  j'espère que ce n'est pas pour avoir chassé cette nadège

- allô papa

- Aya, tu vas bien j'espère, ce soir à la maison familiale il y'a une réunion et tu dois être présente

- y'a t'il un problème papa ?

- viens c'est tout.

Le soir avant de se rendre dans sa belle famille, elle téléphone à son père

-Yaya

-oui papa

-tu vas bien ma fille, tu tiens le coup?

- je fais avec le vieux

- Aya, je ne suis pas ton vieux, je suis encore jeune moi

- MDR pardon papa, tu sais le vieux Mélédje m'a convié à la cour familiale ce soir,  je pars donc maintenant, mais je tenais à t'informer, je n'ai pas pu laisser Mariette avec la nounou puisqu'elle n'est pas là, je vais avec elle

-  fais attention à toi ma fille et à ma petite fille, bisou

- OK bisous, le vieux

30 minutes maintenant que Aya était arrivée, à la demeure des Mélédje,  après salutations et autres, elle ne fît pas surprise de la présence de Nadège et son fils.

On devais passer maintenant au vif du sujet.

- Aya si nous t'avons demandé d'être là ce soir, c'est pour enfin parler des biens du défunt, notre fils, cela fait maintenant quelques temps qu'il est mort.
Nous voulons vivre bien et dans la paix alors nous te demandons de nous donner tous les biens et titre de propriétés afin que nous puissions repartir entre son fils, sa fille et nous.

Surprise, elle ne l'étais pas, il fallait s'y attendre.
Aya face à tous ces hommes et femmes ne perdit pas sa langue, elle se devait de défendre ses droits et celui de sa fille.