Orgine

Chapitre 1

Le jour de mes 18 ans.

Je vous remercie d'être tous venu me souhaitez mon anniversaire, sans vous je ne sais pas ce que je ferais.

Voici les mots que j'avais dit avant d'avoir tout gâcher, une si belle fête et en plus pour moi. Je ne sais pas ce qui m'avait pris ce soir là. Je voulais faire la fête, à moi la liberté, dix-huit ans, on les a une seule fois dans la vie. Il y avait pourtant toute la famille, des amis, et des connaissances.

"
- Qu'est ce que je viens de dire, c'est la liberté, pourquoi tu ne veux pas ?! Criai-je
- Non mais regarde toi, tu as trop bu, ce n'est pas comme ça que tu vas réussir dans la vie ! Criai ma mère
- Comprend le, j'en ai marre de cette vie, tu m'as trop pris dans tes bras, je n'ai plus besoin de toi ! M'enportai-je. "

Je ne me reconnaissait pas, je n'avait jamais crier sur ma mère. Certes, j'avais bu oui, mais pas à un point d'être malade. Jonas qu'est ce que tu fais ? J'avais comme exploser. Maintenant que j'y pense, ça a commencé quand j'ai vu plusieurs couples ensemble, s'embrasser, rigoler, je voulais connaître ce bonheur.

"
- C'est décidé, après la fête je fais mes bagages et je pars. C'est ce que j'ai dit calmement à ma mère.
- Jonas, s'il te plaît, ne fais pas ça, tu vas le regretter, et où iras tu ? Ma mère s'inquiétait.
- Je ne sais pas, mais je trouverai. Disais-je.
- Tu nous laisses seul, ton père et moi, regardes dehors, ils nous attendent, qu'est ce qu'on va leurs dirent ? Racontait ma mère.
- Ce que je viens de te dire, je pars à l'aventure, et qu'avec les cadeaux qu'ils m'ont fait, ça va me servir pendant longtemps, je reviendrais.
- C'est décidé ? Demandait ma mère.
- Oui. "

M'a mère me pris dans les bras, je savais que ça lui avait fait beaucoup de mal, mais il le fallait, c'était pour elle et moi. Nous allions dehors, et je fis le petit bruit du couteau sur le verre. Tout le monde s'est tût.

"
- J'ai toujours rêvé faire ça. Disais-je en rigolant.
Tout le monde s'est mis à rire.
- Tout d'abord, je souhaite remercier mes parents qui ont organisé cette petite fête pour mes dix-huit ans, ensuite un grand merci à tout ceux qui ont répondu présent. Je fais ces remerciements car j'ai une nouvelle à tout le monde, cela va peut-être vous surprendre et même mes parents qui sont au courant de rien. Ce soir, la liberté m'a tendu les bras, et j'ai décidé de la joindre, je pars ce soir à l'aventure, je vais parcourir le monde, à la recherche des cultures dans notre monde, apprendre ce qui est dans notre monde. Nous avons de beau endroit dans notre monde. Voilà, un discours simple et c'est grâce à vous tous. Merci. "

Tout le monde s'est mis à applaudir, ma mère pleurait, mon père était ému, certains invité aussi pleurait, mais à ce moment là je n'avait pas dut tout à la question qui allait arrivé.

"
- Et tu souhaite aller où ? Demandait un de mes cousin.
- Euh... À vrai dire je ne sais pas encore. J'hésite entre le Mexique et le Japon.
- Le Mexique ou le Japon ?! C'est pas là bas où j'irais pour l'aventure, tu vas en pleine forêt, c'est bien mieux, c'est ça la vrai aventure ! Racontait-il. "

Quand il eu finit, son père était déjà à côté de lui, il le tira par le bras, je ne l'ai plus revu de la soirée.
La fête se finissait tranquillement, je rigolais, mais j'étais plutôt en train de pensé à mon périple.
À un moment, tout le monde m'attendait pour que j'ouvre les cadeaux, je commençais donc à ouvrir le premier cadeau, c'était un kit de survie, j'ai rigoler, et j'avais dit comme par hasard. Le deuxième un livre sur les astres, j'adorais l'astronomie, le troisième, c'était en aucun cas le meilleur des meilleurs, un livre pour construire des meubles en bois. Je me demande si tout le monde l'avais fait en quelques sorte exprès pour me tenter à l'aventure et d'avoir des cadeaux aussi utile pour une fois. Et bien sûr, il y avait la cagnotte, comme partout, je l'ouvrit et je commençais à compter.
Une bonne dizaine de minutes plus tard, j'avais compter 356 euros en tout dans la cagnotte. J'allais donc remercier tout le monde, et les invités partait en même temps, il était déjà 1h30 du matin. À ce moment là, je me suis dit qu'il fallait que j'attendes le lendemain pour partir. Une fois les invités partis, je montais dans ma chambre, et commancais à faire mes bagages.

"
- Tu pars vraiment ce soir ? Avait dit mon père.
- Non, j'attends plutôt demain, ça sera mieux et je serais reposer. Argumentai-je.
- Tu as raison mon fils. Je te laisse, bonne nuit.
- Bonne nuit papa. Et maman, elle s'est déjà couché ?
- Oui."

Il était partis en ne faisant pas de bruit. Je terminais de faire mes bagages, une fois terminé j'avais regardé l'heure, elle disait trois heure quarante. J'avais mis un réveil, puis je me suis endormis.