Hanavack

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Je ne sais pas si je me suis endormi, si je me suis évanoui ou si j'ai commencé à délirer. En tout cas, j'ai perdu la notion du temps. La faim a saisi mon corps. Je pense qu'un moment j'ai commencé à trembler, mais je ne suis pas sûr.
C'était presque un soulagement que Tranche Mortelle revienne.
Presque.

"T'a une sale tête" il a dit. Il c'est appuyé contre le bois de la salle et à commencé à manger un bout de pain et du fromage.
A la vue de la nourriture j'ai senti une douleur au ventre. Je n'avais pas mangé du tout depuis deux jour entier.

"Tu crois?", j'ai repondu, "si tu pourrais au moins me donner quelques choses a boire, peut-être que je-" la toux ma interrompu. Un frisson m'a parcouru le corps. Si je continuais comme ça, je pourrais attrapé la pulmonie, ou quelque chose de pire. Il fallait que je sorte de cette situation, d'une manière ou une autre, ou je ne survivrai pas.
La seul réaction du pirate fût de manger un autre bout de son repas.

"Pourquoi tu les défends?" il ma demandé la bouche plaine. Il ne me regardai pas.
"Defendre qui? Les gens innocents qui tu va tuée? Parce-que je ne suis pas un con comme toi"
"Crois moi, comment sont les choses, il n'y a pas d'innocents dans notre monde." Il souriait, mais il y avait de la douleur dans ses yeux.
Je l'avais déjà vu ce regard, il a longtemps, dans les yeux d'un officier, après que je lui ai demandé, a six ans, comment mon père a été capable d'aller au ciel.

"Qu'est-qu'ils t'ont donné? De la foi? Des prommesses pour un futur qui n'appartient qu'a eux? Tu n'a pas besoin de ça. Tu n'a pas besoin d'eux."

"Et bien sur, ils sont mieux que des criminels qui tuent et volent, sans penser aux autres, et que quand la chose se fait difficile, ils laissent tout le monde derrière, comme des poules mouillées"

"Ouais, c'est ça ce qu'il t'ont dit"

Silence.

"Tu sais qu'il ne sont pas mieux, non?"

"Tu continue a dire ils, sans me dire qui sont "ils". "

"Tu sais, la société. Ceux qui sont dans le cercle aceptable. Les baux, les riches, les blanc, les homme." "Ceux qui peuvent tuer et torturer tout le monde autour d'eux et être parfaitement bien"
Je n'était pas trop sur de ce qu'il était en train de parler, mais j'avait l'impression que, au font de moi, j'avais déjà vécu tout ça.

"La prison de Hanavack... tu dois l'aimer beaucoup cette personne pour aller a un endroit pareil"
"C'est la personne la plus intelligente que je connaisse" il a fait un pause, et j'ai ressenti de la tristesse dans sa voix"et à été acusé faussement parce que ils ne l'aiment pas"

"Bon, tu vas vraiment pas le dire?" a dit tranche mortel.

J'ai fait non de la tête.

"On va faire comme ça," il a sorti un couteau de sa ceinture et l'a tremper dans un liquide bleu qu'il avait. "Tu a trois jours. Chaque fois que tu ne me dit pas où est la clé, et ben..." il a avancé vers mois. Chaque fibre de mon corps me disais de courir.
Il s'est mit derrière moi. Je sentais sa présence comme du froid dans la nuque.
J'ai sentis une douleur aiguë dans mon dos. Il m'avait planté le couteau. Il a l'a laissé quelques segondes dans la chair. J'ai senti une brûleure acide se répandre depuit le point où était le couteau.
"Tu a trois opportunités. T'as déjà perdu la première. Quand tu les perdras toutes, je vais te tuer. Si tu m'aide à libérer un inocent, on te laisse dans le port le plus près et tu peut faire ce que tu veut"
Et il est parti, me laissant seul, criant de douleur.

Argolia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant