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Michael attendait qu'elle dise quelque chose, même si c'était qu'il la dérangeait, qu'elle lui demandait de partir, mais rien ne vint. Il se demandait si elle était pas muette, cela ne l'aurait pas étonné. Il voulait engagé la conversation, sentant le malaise le prendre aussi. Il ne savait comment, dire quelle phrase, se comporter comment, quel mot dire et lequel ne pas dire, faire une approche simple et amical comme entre ami ou non. Il n'avait aucune idée de comment l'aborder, de sa réaction. Michael était comme un peu surprit, déboussolé par l'être à côté de lui. Il était totalement désarmé de mot, comme si on lui avait couper la langue. Il aimerait engagé la conversation, lui parler naturellement, mais il n'arrive pas à trouver les premiers mots qu'il va prononcer. Il ne sait pas quoi lui demander un premier, son prénom et ce qu'elle fait ici. Il ne veut pas paraitre trop indiscret non plus vis à vis d'elle. Il déteste se faire passer pour quelqu'un de trop curieux, même si il l'est et qu'il mourrait d'envie de savoir toute sa vie et tout d'elle. Il réfléchissait depuis déjà un bon moment, et finit par une des plus simples questions qui existent.

Michael: Tu te prénomme comment?

Elle: Qu'est-ce que cela peux te faire?

Michael: Rien. Mais j'ai envie de savoir.

Elle: Irina, Irina Brooks et toi?

Michael: Michael, Michael Clifford. Enchanté.

Irina: De même.

Il lui tendit sa main qu'elle serra d'un geste ferme. Elle n'était pas très à l'aise mais déjà mieux que tout à l'heure. Il avait réussit à apaiser ses tourments. Il lui accorda un sourire, elle ne voulait que ça, que pour une fois on lui offre un sourire au lieu de la dévisager. Cela se voyait qu'il ne connaissait rien de ce qui entourait la jeune fille, mais elle non plus ne savait pas tout ce qui c'était passer durant la vie du jeune homme. Ils étaient deux sur ce banc, à ne pas savoir quoi se dire, à y réfléchir, mais finiront bien par trouver. Michael, regardait le sol, et elle, la piste de danse. Chacun y trouvait son inspiration, sa façon de penser et de voir cette rencontre.

Michael: Dit-moi des choses sur toi, et je t'en dirais sur moi.

Irina: Pourquoi c'est moi qui doit commencer?

Michael: Parce que c'est moi qui en ait eu l'idée. Alors?

Irina: Des choses simples?

Michael: Je ne veux pas que tu me dises des choses dont tu n'as pas envie de parler. J'aimerais en apprendre sur toi, mais pas pénétré dans ta vie.

Irina: J'aime bien le Nouvel-an, les lapins. J'adore regarder la nature. J'aime bien voir les personnes sourires. Je ne suis pas très bavarde, à toi?

Michael: Je préfère Noël au Nouvel-an depuis peu, quand j'étais plus petit, c'était le contraire. J'aime bien les chats. Je sais joué de la basse. J'aimerais te voir sourire. Je suis curieux de nature.

C'est alors, que pour la première fois depuis longtemps, elle sourie naturellement. Il était rare qu'elle exquise un sourire. Celui-ci était mince et discret, mais Michael eu le temps de le voir. Il adora cette attention qu'elle eue de sourire, même si elle l'avait fait sans le vouloir. C'était la phrase de Micheal qui eu cet effet là sur elle. Jamais, on avait voulu voir son sourire, alors qu'on le lui dise, le fit apparaître. Elle regardait a nouveau les personnes dansés, et lui le sol, réfléchissant à ce qu'il pourrait encore dire. Ces neurones fonctionnaient beaucoup, ces méninges étaient en route et personne ne pouvait le nier.

Sourire sarcastique||m.cOù les histoires vivent. Découvrez maintenant