Mason prit sa veste s'apprêtant à passer le pas de la porte pour aller travailler comme serveur dans un café-restaurant londonien.
Mais avant même qu'il n'eut le temps de poser sa main sur la poignée de la porte, cette dernière s'ouvrit , laissant apparaitre un jeune homme qui titubait.
Ce jeune homme qui venait de faire une entrée théâtrale en faisant tomber le porte-manteau, n'était autre que Eric, le petit ami de Mason.
Cela faisait trois ans qu'ils étaient ensemble. Mais depuis un peu plus d'un an, Eric avait perdu son emploi, le plongeant dans une grande dépression et le poussant dans l'alcool.
Eric : oh... chéri tes encore là ! Je pensais que tu étais parti au boulot. Dit-il très lentement à cause de l'alcool qui lui engourdissait la langue.
Mason : J'allai justement partir travailler. Dit-il désespéré face à l'ivresse de son amant.
Mason enfila sa veste et prit les clés de la maison qui se trouvaient sur le meuble de l'entrée.
Passant derrière Eric pour passer le pas de la porte, il lui déposât un bisou sur la joue de ce dernier.
Alors qu'il était à présent hors de l'appartement ; Eric l'attrapât par le poignet lui faisant mal et obligeât Mason à lui faire face .
Eric : Attend part pas comme ça ! Tu me l'avais promis !
Mason : Je n'ai pas le temps Eric, je dois aller travailler ... Et je ne t'ai rien promis !
Eric : Je m'en fou ! Fait moi une fellation ! tout de suite !
Mason : Non ! plus tard peut être ... Dit-il en essayant de se libérer de l'emprise de Eric, Lâche moi, je vais être en retard !
Eric : Non, pas avant que tu me l'ai faite !
Mason : Non Eric ! Dit-il en haussant la voix, ce qui fut une grave erreur de sa part.
Se rendant compte de son erreur, il tira de toutes ses forces sur son bras pour se libérer de la main de fer de Éric.
Mais ce dernier resserrât sa main faisant craquer le poignet de Mason, tout en lui donnant une claque de son autre main rendant la joue gauche de Mason rouge et piquante.
Eric tira Mason à l'intérieur de l'appartement fermant la pote et plaquant Mason contre la porte pour lui donner des coups de genoux à répétition dans le ventre.
Mason lui hurlait d'arrêter, mais Eric n'était plus lui-même ; à présent c'était l'alcool qui avait pris le contrôle des gestes d'Éric.
Maintenant à genoux par terre Mason n'avait plus la force de hurler, il se contentait de pleurer le plus silencieusement possible. Souffrant le martyre.
Eric lui donnait des coups de poing au visage, bien que Mason cherchât à se protéger avec ses bras. Mason sentit du sang couler de son nez.
Éric : Maintenant fait !
Mason avait les larmes aux yeux, le nez en sang et la colère qui montait en lui, une colère qu'il ne pût qu'étouffer en ouvrant la braguette de son compagnon.
Sa dignité disparaissait tandis qu'il faisait baisser le pantalon de Éric jusqu'à ses chevilles.
Il était brisé, humilié ...
Mason hésita, mais sous peur de représailles, il baissât le caleçon de Eric et prit directement son sexe en bouche.
Il n'avait pas envie de faire ça, en temps normal cela ne le dérange pas, mais en ce moment même ; il avait envie de partir en courant, de hurler, de vomir, te taper Eric pour qu'il sache la douleur qu'il avait éprouvé pendant que celui-ci le battait à sang...
Eric poussa un grognement de mécontentement et Mason accélérât les vas et viens avec sa bouche.
Le compagnon de Mason poussait des grognements de plaisir.
