La maladie de mon père

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Après tous ces incidents notre vie normale suivait son cour j'étais certes très perturbé au point d'être sous traitement hypotension. Je tombais souvent malade, mais mon père m'aidait toujours à tout oublier. J'étais encore plus devenu son principal occupation. Il restait coller à moi tout le temps ce qui faisait qu'on était très attaché. Sa maladie fit une première alerte quelques années avant qu'elle ne reviennent car ce jour là on s'en est aperçu très tôt. Il fut placé lui aussi sous traitement comme moi. Nous étions toujours aussi soudés lui et moi. Maman faisait des efforts tant bien que mal pour être avec sa famille elle s'était ressaisie. Nous formions une belle famille. Seulement nous ne nous doutions pas de la présence des ennemis qui s'étaient dressés autour de mon père ou même de notre famille je dirais.
Mon père fit une seconde alerte d'attaque avc qui le toucha légèrement et le rendit inerte pendant quelques temps. C'est cette partie de mon histoire qui va vous marquez je crois bien. Bon en ce moment là, ma mère était en séminaire de formation pour 2 mois, ma cousine qui venait de se marier était en lune de miel donc il n'y avait que mon père, mon frère, et moi dans la maison. Ce matin là quand il tomba malade mon frère un peu mature eu l'idée d'appeler son meilleur ami ( celui de mon père ) il s'appelait Tonton Johnson. Ce dernier l'amena à l'hôpital où il fit un coma durant 2 jours, cependant ma mère ne pouvait revenir enfin c'est ce qu'elle nous a dit. Je resta avec mon père et ses sœurs venaient à la maison, elles étaient gentilles. Un beau jour, là où tout a commencer, son jeune frère, celui qui s'était allié à la première épouse vint à la maison et nous imposa qu'il allait l'amener dans son autre maison et va faire venir la première épouse pour qu'il ait au moins une femme. Donc il le mit dans une voiture et partit avec lui. Quand il est parti toutes les soeurs de mon père ayant peur de sa sois disante femme se sont retenues d'aller le voir. Mais moi j'y allais quand même. C'était dur, elle avait placé un gardien dans la porte qui devait me refuser l'entrée. Et cela a duré longtemps. J'avais juste 11ans, je ne savais pas me défendre mais j'étais une petite rebelle, je ne me laissais pas faire, donc je créais un scandale, je lançais des pierres dans la maison, frappait sur les portes, je pouvais enchaîner la sonnerie plus de 50 fois juste pour les emmerder. Je m'asseyais au seuil de la porte recroquevillée sur moi même, je pleurais, encore et encore c'est tout ce que je pouvais faire. La seule fois où j'ai réussi à le voir je l'avais trouvé dans un état pitoyable, il était carrément faible: ce jour là je lui ai dit papa que vais je devenir si tu pars, il m'a répondu les larmes aux yeux : tu n'auras pas mal, je t'enverrai un autre moi mais qui ne supportera pas tes caprices autant que moi le sourire aux lèvres en essayant de masquer le fait qu'il soit entrain de pleurer. Ce qui me fait encore plus pleurer quand j'y repense. Ma tante ne pouvant plus supporter décida de porter plainte contre cette femme ignoble. Ses enfants n'étaient point au courant et ne le seront jamais. Donc après quelques menace il revint à la maison. Son état de santé s'améliorait beaucoup. Et bientôt il recommença ses activités en me demandant de tout oublier. Ma mère? Ah oui la femme d'affaires vous vous demandez sûrement ce qu'elle a fait dans tout ça? Mdrr bah rien à part s'excuser surtout auprès de moi. Et franchement moi je ne lui en veux plus depuis quelques temps.

Un combat pour mon père Où les histoires vivent. Découvrez maintenant