CHAPITRE I

955 26 2
                                    


Epilogue

Bonjour, bonsoir à tou.te.s personnes qui lira cette fanfiction. Je vous remercie de l'intérêt que vous portez à mon écriture et je voulais aussi vous renseignez quelques informations. Pour des raisons qui sont l'ordre de la répétition (et le fait que Komugi soit aveugle) elle l'appelle par son prénom, je tiens à m'excusez pour ça. Aussi, ça se passe du coup peu de temps après que Komugi soit entrer dans le Palais un peu de temps après que le Roi ce soit arracher le bras.

Je vous conseil aussi d'avoir entièrement vu/lu HxH, car il y aura des spoils et j'ai retranscrit des scènes de l'animé. (désolée si ça fait de gros pavés, ne vous en faite pas il y a de l'exclusivité après les pavées!)

J'espère que ça vous plaira ! Sur ce, bonne lecture ! (désolée pour ceux qui avait attendu une suite, maintenant c'est bon !)

PDV Komugi 10 h 15 mins :

Je me levais, désorientée jusqu'à me rappeler que je me trouvais dans le Palais royal, situé non loin de la capitale du Gorutô Est. Où le roi m'avait convié à rester afin de disputer des partis de Gungi. Je suis née aveugle, c'est pas un manque la vue quand on a jamais rien pu voir, mais des fois surtout dans le Palais à vrai dire, c'est compliquer de s'y retrouver. Chez moi c'était beaucoup plus petit! Malgré le fait que je sois malvoyante, mon vrai handicape doit être ma maladresse. Je n'arrêter pas de trébucher, souvent dans le vide. J'arrivais tout de même à m'orienter à peu près, enfin.. C'est ce que je pensais car cela faisait maintenant plusieurs minutes qui semblait une éternité que je m'efforçais à marcher, dans des couloirs certainement désertique. Il se peut que je me sois égarée dans une partie inconnue du Palais toutes les dizaines de mètres environ, je demandais :

« Euh.. Est-ce que quelqu'un m'entends .. ? S'il vous plait ..? »

Puis soudainement je percutais quelque chose, enfin quelqu'un. C'était Pufu-sama je le reconnaissais directement du à son odeur corporelle qui embaumes ses environs et donc, quiconque se trouvant dans sa proximités. Il avait un parfum fleuris, une odeur qui rappelle le printemps à plein nez.

Pufu : Oh, Komugi ? N'étais-tu pas censée être avec le roi ? Me demanda-t-il d'un ton surpris.

Komugi : Hein ? Oh, et bien oui Pufu-sama ! Mais je crois que je me suis égarée vu comme le Palais est immense pouvez-vous m'aider à retrouver mon chemin, s'il vous plait? Lui demandai-je.

Pufu : Bien sûr, que je le peux ! Le roi dois vous attendre avec une réelle impatience, Mademoiselle. S'exclama-t-il, d'un ton emplie de joie puis m'accompagna en continuant sans relâche ni sans que je puisse dire ou ajouter quelque chose à me parler. 

PDV Meruem 10 h pile :

[...] Que fait donc-t-elle ? Elle devrait déjà être la... Je regardais les minutes passées, malgré l'air parfait de violon que me jouait Pufu ; je n'arrivais pas à me calmer. Pourquoi je suis en train de m'inquiéter pour une femelle, faible et insignifiante qui plus est ? Mon œil guetta contre mon gré l'horloge, l'heure. A dix heure dix je perdis patiente et me leva brusquement pour faire les cent pas. Une femelle me fait perdre mon temps, je devrais jouer au Gungi avec elle, gagner puis la tuer me dis-je. L'air que je trouvais il y a moins de dix minutes mélodieux me tapa sur le système, je m'arrêta et lança un regard plus que glacial à Pufu, mon nen émit certainement une envie de meurtre à son égard car, d'un coup il s'arrêta de jouer et m'interpella.

Pufu :  Mon roi ? Y aurait-il un soucis ? Me demanda-t-il.

- Pufu, Va chercher Komugi à la place de jouer cet air qui commence à me taper sur le système, MAIN-TE-NANT ! J'avais hurlé sur lui, l'idée que la guerre allait bientôt éclatée ne m'effleura même pas l'esprit, je ne pensais qu'à cette «humaine». A quoi bon ai-je la tête ?

TERMINER - Une St. Valentin... Spéciale?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant