Chapitre III

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PDV Meruem : 

Je l'avais regarder en acceptant son présent, ne sachant pas trop quoi en faire ni comment réagir. Komugi m'expliqua un peu plus sur certaines coutumes dites Japonaise, l'or de la "Valentine Day" les japonaises offrent un chocolat d'amour ou d'amitié à des japonais qui eux répondront avec soit un chocolat d'amour ou d'obligation ou un présent l'or du "White Day". A mon sens cela reste vagues comme informations, ainsi qu'étrange comme coutumes, comment répondre à des sentiments ? En a-t-elle envers moi ? Si oui, comment pourrai-je le savoir ? Puis, les humains aiment le chocolat et les chats autant qu'ils peuvent aimer d'autres de leurs congénères. Comment rendre des sentiments ? Pour être roi je n'en ais pas besoin qui plus est, de sentiments. Alors pourquoi cette sensation de légèreté après l'avoir retrouver? Ca serait ça "avoir des sentiments" ?  Qu'importes, puis même l'amour doit être réciproque, non ? Donc même si je pourrais en avoir, il faudrait qu'elle veuille d'un monstre comme moi. Le Roi des ANT avec sa reine ?  Foutaises. Cette image ne peut exister qu'en image. Je continuais à me perdre dans le tréfonds de mes pensées, quand Komugi me secoua légèrement le bras. Je lui acquiesça en sortant de ma torpeur.

Komugi : Meruem-sama allons jouer au Gungi !

Elle me souriait chaleureusement, d'un coup pleine d'entrain. Je lui rendais son sourire, sans qu'elle puisse le voir pour autant. Bien allons-y. Lui disais-je

Je l'avais aider à se relever lui rendit sa canne, gardant entre mon autre main les chocolats. Nous rejoignons la salle principal ou Pufu nous regarda surprit. Je lui lançais un regard noir, lourd de sens, je passa mon bras autour de l'humaine sans pour autant la toucher, juste par signe de protection. Ainsi que pour le lui faire comprendre qu'elle était sous MA protection, la protection du roi que je suis. Il me regardait l'air entendu, j'enlevais donc mon bras. J'allais m'installer à ma place, au fond de la salle sur le coussin dos au trône, je pris place. Elle s'asseyait en face de moi et ouvrit ses yeux d'un bleu clair majestueux. Je la contemplais ainsi que le nen émanant d'elle. Avant de constater que je devais placer mes pions pour établir la stratégie à mettre en place pour le Gungi.

Les jours passèrent, Meruem essayait de mieux comprendre les sentiments humains. En lisant des classiques de littératures, se reconnaissant des fois dans certains. Il se mettait ainsi à comprendre de fils en aiguilles d'autres sentiments plus ou moins profond. Il comprit aussi qu'en lisant ses livres il ne pourrait pas en savoir plus sur la nature de ses sentiments pour Komugi. S'ils sont d'ordre amoureux ou si c'est juste un profond respect qu'il éprouve à son égard.

Après avoir lu un livre qui parler d'amour, je me leva brusquement sous le regard surpris de Pufu qui s'interrompit dans le morceau de violon qu'il me jouait.

Pufu : Mon Roi pourquoi vous attardez-vous sur ses lectures... Si.

Il n'osait pas terminer sa phrase. Je le regardais intensément en fronçant les sourcils pour lui faire comprendre de terminer de dire ce qu'il pensait.

Pufu : Si peu raffiné pour votre royale être ! Les sentiments ne vous servirons pas à assouvir l'humanité mon roi ! 

- Pufu, m'aimes-tu ?

Il était bouleverser du à ma demande et se mura dans un silence avant de répondre d'un air assuré. 

Pufu : Bien sûr que je vous aime, vous êtes mon roi. Je suis votre fidèle sujet il est normal que je vous voue un culte et une admiration sans borne, vous pouvez m'utilisez comme un pion pour votre royale échiquier ! 

TERMINER - Une St. Valentin... Spéciale?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant