Chapitre II

569 21 15
                                    


PDV Meruem :

Après avoir casser la porte et être rentrer dans la pièce, qui était très féminine digne d'un de ces contes de fées d'humains, un conte de fées, bordélique. Comme si cela pouvait réellement exister, les fées. Je poussais un long soupire en roulant des yeux puis regarda de gauche à droite, autour de moi pour retrouver la frêle humaine aux cheveux argentés. Je racla ma gorge ce qui fit échos dans cette chambre et dit d'une voix plus ou moins ferme « Komugi es-tu la ? » ma voix avait résonner froidement dans l'habitacle. J'avançais dans ce bazar quand mont pied percuta une canne, celle de Komugi ? M'étais-je dis, sauf. Ou est sa propriétaire ? Une grande inquiétude s'empara de moi. Je ramassa sa cane et me tourna vers le bruit que je venais d'entendre. Je fronçais les sourcils et soupira, un léger rictus au coin des lèvres.


PDV Komugi :

Mr Pufu m'avait emmener, jeter dans un endroit que je ne connaissais pas, en me disant « Je ne vous laisserez pas envouter notre Roi ! Encore moins avec vos choses que je ne serai qualifiés. » Je n'avais pas eu le temps de comprendre ce qu'il s'était passer que le cliquetis de la porte s'était fait entendre. Paniquée, je me releva tendis les bras pour chercher désespérément la porte. Aïe... Ais-je penser en me la prenant de plein fouet. Point positif ? Je l'ai trouver. D'une main, je me frottais le bout du nez avec ma manche et de l'autre, après avoir trouver la poignet j'avais essayer de l'ouvrir en tirant et poussant dessus. Mais rien n'y fait, après plusieurs minutes et des tentatives en tapant contre la porte, appelant à l'aide. Personne n'était venu, certainement que personne ne m'avais entendu. Résignée, je m'étais mis en quête de chercher ma canne qui avait du tomber avant. A genoux, tâtonnant dans le vide, je renifla, ayant souvent le nez qui coule. La pièce avait l'air immense, tandis que j'essuya à nouveau mon nez, mes larmes menacèrent de tomber, j'avais percuter plusieurs objets jusqu'à percuter un lit. Je m'écroula aux pieds du sommier et sorti le cadeau que j'avais pour Meruem-sama que j'vais préparé pour la Valentine Day. C'était une boite de chocolat, toute simple qui était devenu cabosser agrémenter d'un petit mot, en espérant que c'était lisible, ne pouvant pas me relire. J'essayait d'enlever les bosses de la petite boite, avec mes deux mains puis la tendit à bout de bras, tremblotante « C'est pour vous Meruem-sama ! » D'un coup, je lâcha la boite. Honteuse en me disant que c'était pas assez bien et qu'on n'offre pas un cadeau à un Roi comme ça. Je m'étais entrainer à offrir cette boite un nombre incalculable de fois, mais j'ai jamais réussie à bien faire une seule fois. J'ai trop honte, car Meruem-sama est quelqu'un de très gentil ainsi qu'attentionné avec moi, il a bon cœur ! J'entendis brusquement toquer à la porte, puis la voix de Meruem-sama ! Oh lala ! Je ne suis pas prête à lui offrir mon cadeau, pas prête du tout ! Je m'empressais de ramasser la boite, la serrer dans mes bras et de rouler sous le lit. J'entendais un bruit sourd, puis pleins de petits bruits, parmi cela je distinguer clairement des bruits de pas, surement les siens. Je l'entendis soupirer puis se racler la gorge.

Meruem : Komugi, je te vois. Dit-il l'air désespéré. 

- Hein ? Qu- ? BOOM Surprise, je me releva mais mon front percuta une des planches du sommier. -oi Aïe aïeee ! Du à la douleur aigue de mon front, j'avais lâcher sans le vouloir, la fameuse petite boite.

PDV Meruem :

Elle était coucher sur le sol, à moitié sous le lit à moitié pas, souhaitait-elle se cacher ?  Elle avait l'air tétaniser, comme morte, heureusement sa cage thoracique se soulevait. Elle respirait enfin, reniflait, une fois un peu plus proche d'elle, je la fixa un instant avant de lui dire que je l'avais vu. Elle me surprit une fois de plus au vu de son attitude plus qu'exagérer, elle avait encore perdu quelque chose, que je ramassa à nouveau. Cette humaine est d'une étourderie et d'une maladresse sans bornes. Me disais-je en fixant l'objet.

- Komugi ? L'interrogeât-elle, l'air perplexe.

- Oui ? Me répondit-elle après s'être assise, sans se blesser à nouveau ce qui est un miracle. Elle essuyait ses larmes et sa morve, quel drôle de personnage. 

- Qu'es que c'est que cette chose ? 

J'avais secouais la boite pour qu'elle puisse comprendre de quoi je pouvais parler, ses joues s'étaient embourbées, l'air interdite et me sauta dessus. J'avais eu un mouvement de recul très surpris de cet acte. Je sentais venir une forte chaleur aux niveaux de mes joues, qu'est-ce donc ? La proximité entre elle et moi avait été réduite drastiquement. Comme mon rythme cardiaque, qui est d'habitude si calme et serein, pourquoi ? Pendant que je me posais des questions certainement de type "existentielles" elle avait déjà récupérer son objet. Je me demandais si c'était ce que les humains appellent un "trésor" ? Je m'asseyais en tailleur en la regardant je mis ma tête inconsciemment sur le côté.

- Komugi ? Qu'est-ce ? Parle. 

Elle balbutia timidement en trifouillant ce que je pense être son trésor je la regarda avec insistance, même si elle ne pouvait pas le constater. Elle devrait en moins sentir mon regard se poser sur elle.

Komugi : Aheum, chez les humains. Il y a tout un tas de fêtes... 

- Oui et ? Vous avez des fêtes pour vos trésors ? Je la questionnais sans retenue en essayant de comprendre les coutumes des humains qui m'était totalement étrangères.

Komugi : Non, je ce n'est pas un trésor ! Nous les humains, aimons bien fêtez des choses banales. La nouvelle année, des fêtes pour la religions et tout un tas d'autres fêtes...

Les joues de l'humaine redeviennent écarlate, elle serrait la boite qui n'était donc pas un trésor entre ses petites mains et ses dix doigts. Après l'avoir trifouiller elle me le tendit, bras tendu. Je la regardais elle, puis la boite sans faire le lien entre ses gestes.

Komugi : Aujourd'hui c'est... la Fête de l'amour ainsi que l'amitié et je vous estimes beaucoup Meruem-sama !

Elle posa la boite au sol devant moi en s'inclinant, pour faire une révérence à la japonaise, étant recroqueviller sur le sol.

Komugi : Et en ce jour les filles offrent des chocolats d'amour ou d'amitié à des personnes proche. J'aimerais que vous acceptiez ces chocolats s'il vous plait !

J'avais prit la petite boite de chocolats puis la regarda, la boite était toute cabosser. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire et de restreindre un petit rire étouffer. Une boite toute cabosser, ça lui ressemble tellement bien.

Mais en soit.  

Je ne sais pas ce que c'est 

Ni ce que cela veut dire :

Aimer.


Ou


être aimé. 


Suite chapitre III


TERMINER - Une St. Valentin... Spéciale?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant