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Chapitre 1:

Commençons par le commencement il faut que je vous raconte mon histoire. J'ai un frère ou plutôt j'avais un grand frère de 19 ans, il s'appelait Aron. Il été vraiment génial le genre de frère protecteur avec qui on est très complice. Il était très intelligent il venait d'avoir son bac et était entrain de passer un concours pour entrer dans une école de médecine. Mes parents l'ont toujours vu comme le fils parfait, leur perle rare. Et même si j'avais l'impression de ne pas exister aux yeux de mes parents a cause de lui je ne lui en voulait pas, au contraire on étaient très proche, toujours la pour veiller l'un sur l'autre. Enfin jusqu'à ce fameux jour, le jour de son accident. Arron menait une double vie en quelque sorte il avait beau paraître un garçon sérieux et gentil il adorait sortir, faire la fête, boire, fumer et coucher a tout va. Mes parents n'ont jamais soupçonné cette partie de sa vie, moi je le savais, ça m'arrivait souvent de trouver de la drogue et de la jeter dans la cuvette des toilette, je faisait tout pour le protégeait mais il m'écoutait que très rarement. Puis le 29 novembre ma mère a reçu un appel, elle s'est effondré en larmes, elle n'arrivait même plus a tenir debout, c'était un policier lui annonçant que Arron venait d'être tuer dans un accident de voiture sur la nationale a 4h25 du matin. Suite a des analyses nous avons découvert qu'il était sous l'emprise de drogues et d'alcool et que c'est ça qui l'avait fait sombrer. Mes parents ont remis en doute la parole des médecins, pour eux s'était impossible que mon frère puisse se droguer, pourtant c'était bien le cas. Encore aujourd'hui ils restent persuader que sa mort n'a rien avoir avoir une possible consommation de drogue. La mort d'Aron a était pour moi la pire des souffrance, ont m'a enlever mon binôme,
mon sang, ma chaire, mon cœur. Je suis tomber en dépression mais mes parents ne l'ont même pas remarquer, ils étaient concentrés uniquement sur leur souffrance comme si sa mort ne m'atteignait pas et ne pouvait pas m'atteindre. Au début c'était calme puis ils ont commencer a se rejeter la faute dessus en permanence, a s'insulter, se disputer et me prendre comme souffre douleur. J'ai reçu des coups, des insultes et une ignorance complète quand il n'avait pas besoin de moi pour se défouler. Pour eux je n'exister pas, Arron était parti, c'était peut être même de ma faute après tout. Pas une seule seconde ils ont penser qu'il n'y avait personne a blâmait, ils leur fallait un coupable, un alibi pour protéger l'image de leur fils « parfait » même après sa mort pourtant clairement diagnostiquer. Pour moi cette situation est très vite devenu invivable, mon binôme me manquer énormément et mes parents m'insulter, me frappaient et m'ignoraient, j'étais a bout de souffle et chaque jour était un nouvelle épreuve toujours plus dur a surmonter. Jusqu'à arriver a aujourd'hui et ma décision de partir définitivement, j'espère que vous me comprenez un peu mieux, je n'ai plus de raison de vivre alors autant arrêter cette souffrance constante.

xoxo, Ellie.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 08, 2019 ⏰

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Les trois plus beaux jours de ma vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant