En Vrac

Réflexion 2: Monde & Humanité

Je voulais au départ dédié ma seconde réflexion à la société actuelle mais finalement, le gros débat en ce moment, et que je trouve important, c'est celui du réchauffement climatique, de la fonte des glaces, etc.

Je ne vais pas répéter ce que tous les médias disent puisque ça ne servirait à rien, et ça ne ferait pas avancer. Mais écrire sur le côté psychologique du truc est plutôt intéressant.

Cela fait un moment déjà que les scientifiques, mais surtout les médias  alertent sur le sort de l'humanité si aucune mesure n'est prise au niveau des conséquences industrielles.

Le problème dans tout ça, ce n'est pas ces conséquences, le problème c'est l'argent.
Et ici je n'apprends rien mais c'est pourtant ça qui bloque toute avancé.

Tant que l'argent est prioritaire à la vie humaine, et ça c'est une certitude, rien ne changera.

Il y'a quelques semaines, le président du Brésil à affirmé qu'il n'arrêterait pas la déforestation de l'Amazonie dont 60% (il me semble) se trouve sur son territoire. Oui, c'est désastreux, mais si ce pays n'était pas si pauvre, il y aurait peut être d'autres alternatives.
Mais voilà, la course à la première puissance économique mondiale est plus importante que l'humain.

Dans les deux cas, l'argent est le problème. Et par la pauvreté, par les guerres et toutes ces bêtises humaines nous sommes devenu si pauvre! Pas d'argent mais d'humanité ! C'est quand même incroyable qu'au XXIe siècle, l'humain n'ai pas encore compris que le plus important est la vie, et pas un bout de papier.

On s'accroche à du vent, à du matériel qui disparaîtra à notre mort, alors qu'on pourrait développer nos idées et en plus grand si l'argent n'était pas une contrainte. Je n'ai pas envie de me dire à 70 ans, "j'aurais pu", "Si j'avais eu ".

On devrait s'entraider au lieu de se diviser par des billets et des pièces.

Je suis consciente que ces mots ne changeront rien, mais rien ne se fera tant que l'argent sera roi face au sort de l'humanité.

Quand j'étais au collège, j'avais lu un proverbe indien qui m'avait fait réaliser cette tristesse humaine  "Quand l'homme blanc aura empoisonné la dernière rivière, tué le dernier poisson et coupé le dernier arbre, alors il se rendra compte que l'argent ne se mange pas".

Et cette phrase est restée encrée en moi, car dans ces proverbes je retrouve une vérité qui préserve cet espoir qu'un jour tout changera. Qu'un jour, la facilité ne sera plus l'option des Hommes.