Journal d'un rescapé

Jour 1

J'ai mal, je me demande ce qui a pu se passer pour que je ressente une telle douleur...
j'ouvre les yeux... la lumière aveuglante du soleil m'empêche de voir quoi que ce soir... ce qui est sûr c'est que je ne suis pas à Paris. Je finis par m'habituer à la lumière et découvre que je suis attaché à un siège d'avion en plein milieu d'une plaine. Je ne me souviens pas des 2 dernières heures. Tout ce dont je me souviens, c'est d'avoir pris l'avion à l'aéroport de Sidney.

Je finis par en déduire que mon Avion s'est écrasé. Je distingue, au bout de la plaine, ce qui pourrait être le nez de l'avion. Je marche en boitant jusqu'a cet objet et ai le soulagement de constater que l'avion est en relativement bon état; même quasiment intact. Je décide d'entrer dans l'avion en quête de rescapés mais à ma grande surprise, l'avion est vide. on peut toujours fermer les portes mais tout le matériel électronique est hors service.

Je me mets à penser qu'une opération d'évacuation a été effectuée mais qu'on ne m'a pas retrouvé ou qu'on m'a laissé pour mort...
Je me mets alors à rechercher de quoi manger et découvre que le Réfrigérateur est totalement écrasé et que seulement deux ou trois plateaux sont en bon état, ce qui m'offre un jour de provisions, pas de doutes, je vais devoir m'echapper.
Je me mets alors à créer une cabane dans l'épave : Je vais dans les sièges de première classe et cherche un siège assez peu endommagé pour y dormir. Les soutes ont été écrasées et par conséquent ma valise aussi. Une fois mon petit espace qui me servira de Maison installé, je sors en quête de nourriture et commence par de la queillette, il y avait des fruits que je n'avais jamais vus auparavant. J'en queillit un et le rapporta a l'avion. Je trouva ensuite une pierre, non loin de l'avion que je brisa et aigisa pour m'en faire un couteau, l'autre partie me servira à aiguiser et tailler.
Je me sers ensuite de mon couteau pour couper ce fruit que j'avais queilli. Je découvre qu'il s'agit d'une mangue et réalise que les fruits que l'on peut acheter au supermarché n'ont pas le même goût que les fruits sauvages. Je ressors pour cueillir d'autres mangues. Après avoir terminé, je rentre, le soleil commence à se coucher, je tombe de fatigue et m'endors.