Jeudi, Août 08
10 Rue Jean Daudin,
75015 Paris
12h45
Lucas était assis sur le capot de sa voiture, une cigarette à la boucheMoi ? J'étais toujours dans la voiture, j'observais le bâtiment
Je suis soudainement sortie de la voiture en claquant la porte de celle-ci
- Doucement ma bagnole mec ! souffle Lucas
J'ignore ces propos, et me dirige vers l'entrée de ce bâtiment
- Bordel Lucas! Le code pour entrer ! criais-je
Il éteint sa cigarette et se dirige vers moi tout en envoyant un message
Sûrement a Lizzie..
Il me poussa doucement, et entra le code.
La porte s'ouvre- Vient, et détend toi un peu Manu, dit-il
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On étaient des a présent devant la porte de ce foutu Simon
Ding Dong
Lucas avait sonné...
Deviner qui est venue ouvrir ?
Lizzie !
- Oh oh... murmure t-elle
Elle était surprise de me voir, je pense qu'elle s'attendait à voir que Lucas mais bon ce n'est pas mon soucis.
- Ou est elle ? dis-je
- Sal... dit Lizzie
J'étais entrée chez ce satané Simon, il y'avait personne dans le salon.
Je me suis dirigé automatiquement vers la droiteJ'avais reconnu la voix de Cherline, mais la personne qui l'accompagnait semblait être un homme
Et j'avais bien raison...
« Tu n'est plus avec cette merde de copain ? »
- Il à un prénom et ce n'est pas ton problème que je suis toujours avec lui ou non, laisse le tranquille, ne commence surtout pas, tu va me monter a bout, donc si tu m'a rejoint pour cela , tu peux rejoindre les autres merci ! répond t-elle agacé
« Comment sa ce n'est pas mon soucis ? Ce vieux morveux t'a fait du mal. Si je suis ici avec toi, c'est pour que tu arrête de te voiler la face. Que tu puisses passer à autre chose. Je suis la moi, depuis le début et tu le sais très bien. Je ferais tout pour toi, je te ferai aucun mal...»
- Recule de moi, et sort s'il te plaît je ne me répéterai plus, dit-elle en s'énervant
« C'est parce que je ne suis pas un Espagnol c'est sa? Je suis pas comme lui? C'est pour ça que tu me rejette, bordel regarde moi quand je te parle ! »
PAF !
J'ai ouvert la porte, Cherline avait sa main sur sa joue
Je me tourne vers l'homme qui venait de poser la main sur elle et lui sauta dessus.
La haine
Du sang
LA HAINE !
DU SANG !
Tout ce que mon cerveau réclamait
Et c'est tout ce que m'ont corps dégageaitManu Rios, 🇪🇸🇺🇸