Division

-6-

Je me réveille lentement. Peut a peu mes yeux s'habituent au noir. Je regarde autour de moi et dans l'ombre je distingue un silhouette. J'arrive simplement à trouver que c'est un garçon et d'après ça taille il doit être à peine plus âgé que moi, deux a trois ans de plus. Il allume plusieurs bougies dans toutes la pièce et je peut enfin le voir clairement. Il est métisse avec quelques tâches sur les joues, des cheveux frisée et sales et de grands yeux verts. Il me regarde fixement comme intriguée par ce que je suis. Je le regarde également et nos regard finissent par se croiser. Nous les détachons rapidement, affreusement gênés. toujours dans le silence, il s'approche de moi. Je prend peur mais il me détache simplement. C'est seulement maintenant que je découvre un magnifique plateau remplis nourriture. Ça fait dix heures que je n'ai pas mangée et je meurt de faim. Je me jette sur la nourriture et commence à engloutir le repas. Le garçon me fixe toujours.

-Quoi? Je fais tant d'effet que ça?

Il esquièze un sourir. Un magnifique sourir.

-Tu est Lyra c'est ça? Moi c'est Théo.

Il me tend sa main et moi, intriguée ( inconsciente ) la lui serre.

- C'est moi qui ai lâché Maxime, Cyril ne s'y attendait pas, aucun escadrons ne vas vous arrêter si vous débarquez ici. Je peut te faire sortir, mais en échange je veut une place chez les agents.

- Je comprend mais, je ne suis pas très gradée, je ne peut rien te promettre.

-Ici c'est horrible, Cyril est violent et c'est dur de se faire une place. En plus la motivation des agents m'intéressent bien plus. S'il te plait, promet moi que si je t'aide, tu ferras ton possible pour m'obtenir une place cher les agents.

Son grand sourir et ses yeux, les même yeux que les miens, il pourrait me permettre de ne plus être seule et Cyril est déjà terrifiant pour moi ça sœur, alors pour lui? Et de plus, il peut me faire sortir...

-C'est d'accord.

Théo se lève et commence à dégager un passage derrière le mur sur lequel j'étais attachée. 

Je lui lance un dernier regard et lui sourit, il me rend se sourir. Et pour une raison que j'ignore, ce simple geste me réchauffe le cœur. Enfin je m'enfonce dans le tunnel sombre.