Le Diable de Withechapel

Chapitre 2 : Jake Foster

Il ne faisait pas bon vivre à Londres, mais cela n'empêchait pas Foster d'exercer son métier peu commun de détective privé. Il n'avait jamais connue l'opulence, il était né pauvre, et l'était toujours. Il avait passé son enfance à ramoner les cheminées de Whitechapel et ne devait sa réussite, très relative, qu'à son génie. Mais est-ce qu'il s'attendait à ça, une gamine qui débarque dans son bureaux avec 800 Livres Sterlings. Certainement pas ! Mais la perspective de toucher autant d'argent pour une tâche aussi classique. Cela l'intriguait autant que ça l'enjouait. Tout du moins il se mit au travail. Cela lui pris deux jours à éplucher les annuaires avant d'isolé tous les Hartmann de Londres. Une tâche, bien que triviale, extrêmement pénible. Pour ce qui est du reste il lui restait à leur rendre visite. Une tâche somme toute d'un ennuis comparable. Mais son cabinet était tout ce qu'il avait, et il devait bien l'alimenter. 800 Livres représentait une grosse somme et de l'argent et c'est ce qui lui avait toujours manqué. Pour autant qu'il s'en souvienne on ne lui avait jamais fait un virement aussi important. Une vie entière de souffrances et de luttes. L'aboutissement de sa carrière, de quoi survivre pendant un certain temps. Et ce fut l'esprit joyeux qu'il reprit ses recherches. A force de visite il finit par isolé une adresse à Notting Hill sur Clarendon Rd. Une petite maison colorée au façades mal entretenues. Rien de bien originale pour l'instant, il n'avait plus qu'a contacter la cliente. Mais comment ? Il n'avait que son prénom, et la perspective de voir s'envoler les 800 pounds le déprimait. Sur le chemin de son bureau il eu beau retourner la question dans tous les sens, il ne trouvas point de solution. Déprimé il poussa la porte de son bureau, résolu à perdre les 800 pounds il prêta à peine attention à l'individu assit dans le fauteuil en face de lui. Soudain Foster fut réveillé par un hurlement, Miss Dot's qui hurlait. D'abord Foster fut fort irrité et intrigué par ces batifolages, puis il se rendit compte que son cabinet était en feu ! Il était entouré par les flammes, en bas c'était la panique, des pompiers avait visiblement investit les lieux il y a peu. L'espace d'un instant Foster envisageât de sauter, puis observant la distance ( a peu près 6 mètres ) il se ravisât. Le feu s'étendait de plus en plus, Foster pris les devant, son cabinet lui servait également d'appartement, il alla donc a la salle bains. Il se mouillât les mains et le visage, puis, prenant son courage à deux mains s'élançât au travers du feu. Il courut comme jamais il n'avait courut, il sentait ses vêtement brûler et partir en lambeaux. Chaque pas le rapprochait a la fois du salut et de la mort, se mains étaient sèches. Il sentit sa chair brûler, à cet instant il ressentit douleur telle qu'il crût s'évanouir. Mais avec l'énergie du désespoir il réussi à sortir des flammes. Il était là devant son palier, Foster se retournât, et vu sur son palier les flammes lécher les parois. Dans le couloir de nombreux autres locataires courait en tout sens. c'est à ce moment là que Foster se rendit compte  que l'immeuble entier était en feu. Ses mains lui faisait atrocement mal, elle était rouge et couverte de cloque. Foster savait qu'il n'aurait pas dût faire ça, mais la situations ne laissait gère le temps de réfléchir à une meilleure option. Le voila donc bloqué dans l'étage en feu. Les flammes continuaient a consumer le couloir. Il fallait descendre d'ici il ne pourrait rien faire. Foster s'avançât vers la cage d'escalier. Arriver devant la cage il découvrit que le passage était bouchée par une poutre de la charpente qui avait pris feu. Pris au piège, Foster devinait aisément qu'il faudrait plus que cela pour sortir de cet enfer. Foster étouffait, la fumée pénétrait ses poumons, il vit une fenêtre et l'ouvrit. Il respira et observa avec satisfaction le paravent d'une étale. Foster n'eu guère d'hésitations il s'élança et atterrit avec fracas sur l'étale qui fut brisées sous son poids. Foster sentit ses paupières se fermer et il sombra dans le sommeil.