Men In Black

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Je fesais parti des Men In Black, la célèbre agence d'aide aux extra-terrestres, j'étais dans le quartier général de New-York avec mes coéquipiers, à la recherche d'un alien dangereux à exterminer.
Je croisi alors la secrétaire, une femme à la peau noire biiiieennn épaisse, toujours souriante et enjoué, portant à son cou un collier en chaîne en or. Étrangement c'est en la voyant passer devant nous que nous avons commencé à la soupçonner.
Plus tard dans la nuit, aux environs de minuit, j'ai reçu un appel d'un collègue qui avais commencé à filer la secrétaire, jusqu'à un parc pour enfant; elle était sur un espèce de parking et lui cacher derrière un petit muret à une bonne dizaine de mètres, derrière lui un grand espace de sable, de jeux et un arbre massif au centre. Pendant cette courte partie du rêve, j'avais la vision de la secrétaire, à la 1ere personne, je voyais à travers ses yeux. Tout d'un coup il commença à paniquer, je (la secrétaire) savais qu'il était là, je me suis retourné dans sa direction, et lui il disais : "Oh nan elle m'a vu ! Elle se rapproche, elle se rapproche ! C'est fini je vais mourir ici, je ne veut pas, pitié ! au secours !!".. Puis plus rien.

Le lendemain je décida d'enquêter sur les lieux, pour y trouver des quelconque indices d'où elle a pu aller, mais rien, juste quelque enfants, 3. Je commençais à les interroger si ils savaient quelque chose, ils avaient tous peur de moi, j'essayais tant bien que mal de soutirer quelques choses, quelques informations mais rien, juste un enfant, prêt de la balançoire me dis "vous me faites peur, vous êtes habillé comme elle !" et à ce moment, un frisson glacé me parcouris le corps.

Je ne sait plus si quelques heures sont passé ou si tout avais subitement disparu, mais il étais déjà aux alentours de 18h, le soleil allais commençer à se coucher et j'étais seul, enfin pas tout à fait; je me suis retourné et je vis, à droite de la balançoire, la secrétaire. Ni une ni deux elle révéla sa véritable apparence : ce n'étais pas un immense alien vert mutant comme je l'imaginais, mais... un bouledogue français... Petit, oreilles presque pointu, pelage marron clair.
Je n'étais pas surpris, étonnamment; elle me sauta dessus et commença a m'attaquer, mais j'étais comme impuissant, comme si je n'avais aucune arme pour combattre cette.. Chose. A ce moment, mon collègue, qui étais surtout mon binôme pour toute les autres missions, vint et essaya de m'aider.. Résultat : nous finimes tous deux accrochés à l'arbre central, suspendu grâce à deux cordes qui y tombais, trop impuissant et peureux devant ce petit chien, qui ne cessais d'aboyer en dessous de nous; mais je commençais à paniquer quand j'ai vu qu'il y avais une troisième corde. Bien évidemment l'alien s'y accrocha et continua de nous attaquer. On essayais désespérément de lui donner des coups de pieds mais on bougeait trop; là mon collègue l'attrapa avec une jambe (je ne me souviens plus exactement comment c'etais déroulé la scène tellement c'etais le bordel) et j'eus une idée : je pris ses lunettes de soleil qui étais dans sa poche et les lui mises, je mis les miennes, et pris son déneurolisateur, l'instrument qui permettais d'effacer la mémoire et la remplacer. Sauf que je ne savais pas comment ça marchais ! Yavais trop de boutons ! Contrairement à celui des films, qui n'en avait que 3 ou 4, celui la en avait bien une cinquantaine ! Alors mon camarade m'expliqua calmement tout le fonctionnement en ayant un bouledogue accroché à son mollet gauche.. Je vous laisse imaginer l'absurdité de la scène..

Et enfin je réussi à neutralisé la bête, SAUF QUE : dans les films, il suffit de flasher et de dire à l'oral les nouveaux souvenirs, mémoire à la personne concerné, mais moi, grâce à ces nombreux boutons et au nouveau modèle, j'ai écrit "mnt".
Soulagé mais pas trop, nous descendimes de l'arbre et l'alien étais devenu un bouledogue des plus normal.. Sauf que j'étais en panique, comme si j'avais fait quelque chose d'interdit, j'avais peur, très peur qu'il m'arrive quelque chose par la suite, comme si le "mnt" que j'avais écris était la pire chose à faire, mon collègue essayais de me rassurer, mais je n'en pouvais plus, j'entendis une voix dans ma tête qui me dis alors : "tu as peur, alors avant que tu ne regrette ton choix, que tu paie pour ce que tu as fait, que tu ne succombe dans la folie, réveille toi."

Ce que je fis.

Carnet des Rêves LucidesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant