les textes de Noha.

ta violence.

Est ce que tu te rappelle le peu de bonheur qu’on a vécu à deux avant que notre relations devienne enfer et prison?
Tu ma fais croire a tellement de choses, tu été si gentil la première fois qu’on c’est vue et les premières semaines. Je me souviens de quand on regarder des films chez toi et que j’étais dans tes bras, c'était beau. Ont nous voyais comme le couple parfait, le couple beau avec énormément d’amour sans savoir ce qu’il se passait quand on rentrait le soir, personne savait ce qu’il m'arrive au moment ou tu fermais la porte de ta chambre, cette endroit ou j’étais enchaîné à tant de douleurs. Toi qui été si doux tu été devenus un véritable bourreaux. Je ne sais pas ce qui c’est passer pour qu’on en vienne là, pour que ta violence devienne normale dans ce qui été autrefois été un couple. Tu voyais le danger partout, ça a commencer avec tes petites crises de jalousies, au début je trouvais ça mignon jusqu'à me rendre compte que ça en devenait bizarre et dérangeant. Tu voulais me garder pour toi, j’avais interdiction de parler a mes amis, fille comme garçon d’ailleurs, je ne sortais seulement pour te voir toi et si jamais j’avais le malheur de sortir pour une autre raison j’avais le droit a tes crises de trois jours, a tes menaces de partir. Mais j’étais amoureuse tu te rappelle? Et pourtant arriver à un certains moment il y avait plus de peur dans mes yeux que de l’amour et pourtant je t’aimer encore a ce moment la. Je me rappelle à quelle moment cette enfer a commencé, je me souviens de ta mains qui m'étranglait, et oui ce soir la j’ai vraiment crus que tu allais me tuer et pourtant je suis rester a tes cotées, parce que de toute façon c’est tout ce que je pouvais faire. Tu te rappelle quand tu ma envoyer au néant en me frappant à coup de pied et de poings? Est ce que tu te rappelle ce que tu as infligé à mon corps? Tu ma fais tellement mal, alors que tu disais m’aimer. La façon dont tu me prouvais ça été malsaine Sébastien, tu l’étais, et avec le temps je me suis rendu compte que je sortais avec un monstre et je m’y suis fais, enfin ça c’est ce que j’ai crus. Même en me faisant l’amour tu me faisais l’amour j’avais mal et j’avais beau te le dire c'était de pire en pire. C'était un discours de sourd, c'était censé être un moment magique pleins d’amour et de désire, un moment que tu as transformé, qui est devenus l’un de mes pires souvenirs. A chaque fois que je pouvais t'empêcher de m'infligé cette douleurs à l’intérieur de mon corps je le faisais, je faisais tout pour t’éloigner de moi le plus possible a ce niveau la, mais tu été intelligent, ta préférer faire semblant de rien voir et continuer tes gestes brusques et violent. Tu m’a délaissé, tu ma dégouter de l’amour et de tout contact sexuelles pendant des années. Tu te servais de mon corps comme un objet, un jeu pour te libérer de tes démons, tu lâchais toute ta haine a travers mon corps, qui lui n'avait strictement rien demander tu sais. Et quand tu avais finis de faire ce que tu avais a faire tu me poussais du lit pour que je tombe, tu me disais “la grosse”, tu me rappelais a quelle point mon corps était répugnant a tes yeux, tu me frapper pour bien me faire comprendre combien mon corps été un déchet de l'humanité, ma présence sur terre aussi. Tu m'empêchais de sortir et même des fois tu me laissais seule chez toi avec tes parents pendant que tu voyais ta bande de potes, j’avais pas le droit de les regarder et de leurs dire bonjour. Je me souviens une fois de l’avoir fait et tu m’avais dis que j’avais un comportement de salope, que j’avais un comportement d’allumeuse face a tes potes alors que je ne faisais que leurs dire bonjour par politesse, et quand on rentrait tu recommencer, tu me poussais, tu te servais de mon corps pour me faire comprendre combien j’avais mal agit, puis tu as décider de me garder enfermer chez toi, dans cette chambre si sombre qui me terrifiait. Tu m'enfermait à clée dans cette pièce pendant 5h des fois même, c'était tes parents qui m’ouvrais des fois, je leurs disais que tu n’avais pas fais exprès de m’enfermer je te protégeais le plus possible, meme arriver a ce stade là de violence j’avais encore beaucoup de respect et d’amour pour toi. Souvent tu me forçais à débarquer chez toi a 5h du matins alors que tu savais que ma mère me tuerait le lendemain. Tu me quittais pour des choses débiles comme par exemple parce que je dormais et que j’avais pas répondu à ton appel a 4h du matins alors que j’avais cours le lendemain, tu me quittais et tu draguer ma petite soeur de 15 ans pendant ce temps là, pour me récupérer le lendemain comme si de rien n'était, j’étais tellement naïve que je te récupérer à chaque fois, et c'était comme ça pendant des mois. Et tu sais quand j’ai eu déclic? Tu t’es permis de me frapper en pleins repas de famille, tu as attendu qu’ils est tous le dos tourné, pour me frapper et menacer de frapper ma petite soeur dans le jardin pendant qu’ils étaient tous la, a rigoler dans le salon de ton frère. Tu savais que je n'hésiterai pas à t’en retourner une malgré ma peur que tout le monde voyais dans mon regard, et je l’ai fais, je t’es défier sans penser au conséquence que je risquais. Pendant 20 minutes j’étais fière, je pensais pas à ce qu’il ce passera ensuite, je voulais juste protéger ma soeur de tes griffes, d’ailleurs c’est que plus tard qu’elle a sus que j’avais fais ça pour la protéger elle et non moi, parce que j’étais arrivé à un stade ou je m’attendais à ce que tu me tus avec ta violence, je m’attendais a plus rien de la vie. Et puis ton frère était arriver au moment ou j’avais osée te griffer au visage, alors c’est moi qu’il a engueuler forcément, alors j’ai pris mon sac avec des larmes pleine de rage et j’ai fugué, je suis parti tellement j’avais peur de toi, je savais que j’avais mal agis et que ce qui m'attendait était bien pire, mais qu’est ce que je pouvais faire après tout? J’allais te laisser toucher ma soeur? Il en était hors de question, alors je me suis mise en danger pour elle. Une fois que j’étais revenus, tu disais rien, tu me prenais dans tes bras tu faisais style d'être inquiet pour moi, mais moi je savais que quand on allait rentrer le soir ça serait pas la même et j’ai eu raison. A peine ma soeur était parti dans le salons avec tes parents que tu as fermé la porte et je me rappellerais toujours de ce soir là crois moi. Tu as fermé la porte, tu ma forcé a me deshabiller devant toi, tu rigoler, tu disais aimer voir la peur dans mes yeux. Tu as dis combien je te faisais honte, et tu m’a balancé une bouteille de vodka sur moi, j’étais à genoux et elle avait éclaté à mes pied, j’avais même plus assez de force pour te supplier, je tremblait. Est ce que tu t’étais arrêté la? Bien sur que non. Tu me frapper, avec tes points, avec tes pieds, avec des objets tranchants. Et quand je crier c'était bien pire, et après avoir fais ça tu as commencé, tu as jouer de mon corps pour ensuite me mettre dehors avec ma soeur, tu m'a jeté comme une malpropre tu as pris ma valise et tu la jeté dans l’escalier. Tu aurais pus me laisser le temps de prendre une douche ou de me soigner mais non, j’ai du me rhabiller en bas de ton escalier sans dire aurevoir à tes parents, a 3h du matin précise je suis parti de chez toi, et ont à chercher un endroit ou dormir avec ma soeur pendant longtemps. Et c’est là que j’ai compris que toi et moi c’étais mort, pendant longtemps j’ai espéré que tu change, que tu t’excuse mais cette fois ci pour de vrai, avec de vrai efforts de fait ce qui as jamais été fais. Tu a pourris toute ma réputation, pendant des semaines tu me harceler en me disant que personne pourrais me rendre heureuse mise a part toi, que seule toi me méritait. Tu m’espionner de chez ma grand mère a chez mes amis, tu me trouvais, et même quand je croyais que tu n’étais pas, tu y été encore. Alors aujourd’hui si j’écris tout ça, c’est pour faire comprendre au monde entier que ne pas parler ce n’est pas une solution, c’est pour dire que la violence n’est pa une preuve d’amour. J’ai mis du temps à écrire ce long texte, exactement plusieurs mois, parce que devoir tout raconter en détails été un vrai calvaire pour moi, je revois tout en boucle dans ma tête, mais j’y suis arriver et j’en suis fière. Le respect c’est pas avoir peur de son copain et le respecter seulement pour ça, vivre d’en la peur dans une relation ça ne dure jamais longtemps, il y aura un jour ou ça ira trop loin. Et aujourd’hui il arrive encore qu’il essaie de me contacter, et non je n’ai pas porter plainte parce que j’en ai jamais eu la force, et je l’aurais jamais. Pleins de fois j’ai essayer, mais a chaque fois je retirais ma plainte. Aujourd’hui mon image de moi même est la meme que quand ces événements la ce sont produit, 0 cause de lui je me suis mis en tete que je ne valais rien et que mon corps lui aussi valais rien. Et aujourd’hui quand je me dispute avec mon copain, oui, il m’arrive d’avoir peur que ça recommence malgré que je sais qu’il ne levera jamais la main sur moi. Aujourd’hui je pousse a toute ces femmes, ou adolescente a prendre la parole, j’aurais aimer osé le faire il y a bien longtemps.