NDA : Je préviens que ce chapitre est le dernière partie de correction. Ceci as des scène osés et quelque détaille de la manipulation de certaine pièce donc je ne serais pas responsable si vous vous vous mettiez à lire... Donc , BONNE LECTURE !!!
*************************
J'amena ensuite, à moi, une sorte de petite table roulante couverte d'instruments métalliques, tout en me mettant à réfléchir avec lequel j'allais me servir.
- Je suis sûr que vous aimez les pinces !, dis-je railleuse, tout en attrapant l'objet désigné.
Et méthodiquement, j'accrocha à ses tétons, à ses testicules puis à la peau de son prépuce des pinces cochères, du genre de celle qu'on utilise à l'hopital. Et si je m'en souvenais bien, la morsure du métal devrais lui brûler les chairs mais sans excès...
- Tiens, regarder, je vais aussi vous faire essayer celle-ci... Voyez-vous, elles sont réglables ! C'est plus amusant, non ?
Je les agitas devant ses eux, puis les accrocha à leurs tours, la pointe de ses seins commençant à bleuir...
- Dites-moi, vous aimez les chaines ? demandais-je en lorgnant les quelques chainettes pantelante au mur.
- Laissez- moi partir ! , cria-t-il
J'avança vers lui et le regarda....
- Oh ! Vous-voulez partir ? Mais.... vous avez pas répondu à ma question , dis-je avec une moue déçue.
Et là, j'appuya sur une des pinces et l'arracha un cri.
- Alors ? Quel est votre réponse, Mrs Faustin ?!, crachais-je à sa figure.
- Oui, mai-tres-se..., se força-t-il à dire. J'aime être enchainés.
Et suite à ces quelques mots, je m'empara d'une chainette garnies de poids chromés que je fixa aux pinces, la douleur aboutissant au limite du supportable, vu les gouttes de sueur qui dégoulinait de ses aiselles.
- A présent, nous allons voir exactement ce que vous valez en tant que soumis comme le dis la rumeur..., ajoutais-je, frôlant de nouveau son visage. De plus, si je m'en rappelle bien, vous avez fait une grosse bêtise, tout à l'heure, avec mon amie, non ?
Il me fit les yeux ronds, ne s'attendant certainement pas à l'écoute aux portes ou à un règlement de comptes.
Le premier coup de martinet claqua donc comme une détonation pour lui et sa voix emplis de nouveau le silence de la chambre.
Les fils de cuir s'étant abattus sur son torse et ayant laissé des traces rougeâtre, marquait sa peau au passage...Sa douleur à présent, ne devait plus savoir où se donner de la tête, tant son corps se raidissaient à chaque coups. Heureusement pour lui - ou malheureusement pour moi -, à force de lui en donner, les pinces avaient finis par se décrocher et je décida donc le détacher.
Bien sur, se fut enfaite pour le mettre à quatre patte, la tête au niveau du sol, les cuisses écartées et les fesses dressées.
- Voyons un peu ce que dit ce coté ci...
J'assaina de nouveau une volée de fouet, ne lui laissant visiblement pas le temps de reprendre son souffle...
Je visai juste, plus particulièrement sur le sillon de ses fesses adorables, virant à une nuances de roses, rouges, pourpre... Puis pour le récompenser de sa bravoure à se laisser dominer, je lui enfonça sèchement la manche de mon martinet dans l'anus.
- Vous ressemblez à un petit cheval maintenant, vous ne trouvez pas ?..., le questionnais-je. Et bien, répondez !
Il grogna puis dit :
VOUS LISEZ
La Maison Close
General FictionÀ l'aube du 21ème siècle, dans une maison close à Paris applée Paradis , une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s'organise, leurs rivalités, leurs c...