Ce ne fut pas si long que je l'espérais, m'attendant à une longue monter de marche d'escalier en bois noir, grinçant sur le poids de mon corps...
Ont pouvaient déja entendre des plaintes étouffés provenant, au bout du couloir, d'une des trois chambres spéciales. Celui-ci, à peine éclairer pour mieux insiter le client vers l'effet mystérieux me facilitais guerre la vue des couleurs attribué au portes...
- Saleté de pute ! Tu ne sers à rien ! J'ai payé près de 400 euros pour ce soir ! Putain de chienne que tu est !...
Mr. Faustin n'allait pas de main morte, se défoulant en hurlant à chaque coups, des mots de colère plus critique les uns et les autres. Des moments de silence, laissant entendre un bruit de ceinture fouettant l'air retombé avec force sur la peau de sa victime qui devait être juché par terre, essayant malgré les coups de se protégé...
Ce n'était que des suppositions, mais j'en savais déjà assez, tant par des extraits de discussions entre filles que par des preuves de blessure sur la peau, pour imaginer ce genre de scène.
À cette instant, mon subconscient me dictais de ne pas intervenir dans cette échange violent entre un client et sa sex slave... De laisser, pour ainsi dire, " Emilie " , reçevoir ses coups en guise d'avertissement pour les prochaines fois et ainsi ne plus être appeler à la rescousse pour la sauver de ces bêtises. Mais ma part de gentillesse incrédule étais d'un autre avis, et me répétait : " Vous êtes dans le même pétrin donc soyez solidaire entre vous " ...
Solidaire ?! Facil à dire !
Même si tu dors, mange, habite dans une maison close, la solidarité reste un mot presque étranger. Les filles sont hautaines et écervelée à la fois, même sauvage quelque fois lorsqu'ont parlent de partage de frais ou d'argent pour les taches attribuées à chaques unes. Enfin, vous êtes un morceau de viandes mangées par tous mais pas partager car vous ne faites que manipulez, influencer chaque morceaux pour qu’il puisse venir à vous, essayant de récolter le plus d’argent possible pour quitter cette maison le plutôt possible. Ainsi dire : avoir un meilleur avenir que d’être sex slave !
Mais bon sa, c’étais avant. Une option que certaines filles avaient en tête mais qui c’est envolé depuis qu’elles sont arrivées dans cette maison close. Leurs objectifs maintenant, le principal but, est de devenir ce que je suis maintenant : une des favorites de la patronne, la numéro 1 !
Ce fût donc d’un mouvement rapide que j’ouvris la porte rouge sur la scène qu’on m’offrait et de mon fouet entoura le coup de l’homme qui se tenait devant moi, le forçant à s’arrêter et l’étranglant à peine. Celui-ci, lâchant sa ceinture en cuir noir par terre, porta ses mains à son coup et se retourna sur lui-même, se mettant face à moi.
Quant à sa victime, juchée par terre et en piteuse état, elle se releva assez difficilement, lâchant quelques gouttes de sang de sa bouche gonflée, sur le parquet et le tapis blanc.
Les grands yeux noirs de l’homme, attentifs et étonnés, se posèrent sur moi puis sur Emilie qui me remerciait de sa voix faible et enroué tout en sortant d la pièce. Du coin de l’œil, je lui jeta un bref regard en signe de compréhension tout en ne perdant pas de vue ma proie…
- Bonjours Mr. Faustin, dis-je sensuellement avec un sourire des plus éclatants dévoilant mes dents parfaitement alignés.
La porte venait de se refermer lorsque j’eus prononcé ces quelques mots, m’annonçant que je pouvais enfin commencer ce que j’avais prévue… mon petit manège !
- Vous ne parlez pas ? Demandais-je. Pourtant vous avez criez quelque minute plutôt et vos liens sont desserrer à présent, quoique...
Ma phrase ne put même pas être finie, qu'à ces mots, il porta ces mains à son cou à une vitesse pour enlever la corde. Mais je la resserra d'un coup sec, m'amusant à la vue de ces traits faciales déformés et de son visage virant au rouge cramoisies.
Je m'approcha de lui lentement, d'une démarche assurée, humectant mes lèvres maquillée de ma langue tout en enroulant le fouet à mon bras, faisant disparaître chaque centimètre d'espace entre lui et moi.
- Ce n'est pas bien..., laissais-je échapper de mes lèvres qui étais maintenant proche de son lobe auriculaire. Vous êtes un vilain garçon, ajoutais-je en passant une de mes mains libres à travers sa chemise mal boutonnées.
Mes droigts s'attardaient sur ces courbes non magnifique, buttant contre son jean à chaque aller retour, que je défis d'une traite laissant apparaître ce qui servait, à ma proie, de caleçon.
- Je n'établirerais aucune règle Mrs.Faustin... mais vous allez devoir jouer avec moi car nous allons passer un bon petit moment ensemble, susurais-je de nouveau à son oreille.
Je lui fis retirer ses vêtements tout en le surveillant, puis lui passa un collier de chien clouté autour du coup et le mis dos au mur. Ensuite, je l'attacha solidement avec des lanières qui étant accrochées au mur, le ficelait par ses poignets et cheville. Il étais donc positionner, les jambes et les bras écartés, en forme de « X » et me faisait face tout en attendant la suite d'un regard interrogateur.
Je me remis a caresser, de mouvement lent et doux, le corps du soumis puis glissa une de mes mains vers son sexe et le sentit la remplir.
- Votre érection est une insulte Mr... Votre mère, ne vous a t-elle pas appris le respect ? Si non, je vais donc devoir vous l'apprendre !
La chambre étant entouré de matériel de fantaisie, bien sur moins que celle de « Black » , on pouvait donc distinguer à droite, sur des tringles, un enchevêtrement de lanières et de fouets de cuir noir qui annonçaient sombrement la couleur. Puis, à gauche, sur une longue étagère, un alignement de godemichés qui narguait les regards suspicieux de certain clients lors de leurs passage. Derrière, on pouvait deviner une sorte de fauteuil de gynécologue. Face à lui le mur étant recouvert par un grand mirroir où on pouvait contempler le ridicule des situation fantaisistes et un lit placé dans le coin attendant d'être servis.
Je me tourna donc pour attraper un lacet d'une couleur verte qui laissait penser à la peau d'un serpent et l'enroula autour de la base de son pénis et de ses testicules. Puis progressivement, je serra, jusqu'à qu'il laisse échapper un petit cri de douleur.
- Ce n'est pas si douleureux, dis-je avec une moue des plus adorable. Je suis sur que vous aimez sa !
Et je ressera encore un peu plus, tout en me délectant des petits cris étouffés de mon soumis qui pantelaient au mur... Je m'enivrais de cette fascination, de cette théorie si souvent expliquer et débattut : La douleur est une source de plaisir esquise !
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Enfin cette partie est mise en ligne apres avoir été perfectionner mainte et mainte fois SOORRY..
Sinon sa me fais penser que sa pourrais faire partit d'un des extraits de Soumission - Challenges XD pour Ian bien sur ou Elena..... Bref ne vous inquietez pas j'ai déja la suite de Corrections :3 ( hé oui sa se finis pas comme sa j'ai eu une imagination kelke peut fiouuuu xD )....
Bref LISER, COMMENTER ( surtout commenter pour me donnez vos avis), PARTAGER, faites ce que bon vous semble.... et au proch chap ;)
#Amous-Pixys
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La Maison Close
Fiction généraleÀ l'aube du 21ème siècle, dans une maison close à Paris applée Paradis , une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s'organise, leurs rivalités, leurs c...