Chapitre 2

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2 septembre 2017 Jour de la rentré scolaire. Je m'étais levé

trente-minute avant que mon réveille ne sonne, j'étais boosté de par cette rentré, par cettenouvelle rentrée scolaire, j'avais passé une cinquième incroyable, personne n'étaient là pour me creer des problèmes, j'avais donc pu étudier tranquillement en ayant aucun souci, aucune dépression, rien.C'était un début de matinée comme parmi tant d'autres, j'avais du réveiller ma sœur car elle somnolait encore profondément, se qui ne m'étonnais absolument pas d'elle, elle ne me remerciait jamais de la réveiller le matin, sinon elle raterait sans doute le bus.


 - Emilie, c'est l'heure tu sait ? Dis-je d'une voix méprisante.

 - Hein ? Que... Quoi ? Laisse-moi tranquille, j'allais me lever Julien, t'es chiant, c'est insupportable ! Dit-elle en criant sur moi. 

C'était vraiment horrible de la faire se lever le matin, puis ce n'était pas seulement le matin qu'elle me parlait comme cela, c'était toute la journée. Une fois que j'avais accompli cette mission, oui je pensait pouvoir accorder cela comme une mission, j'avais pris mon petit déjeuner avec Emilie, puis ma mère, mon père lui se levait maintenant 15 minutes après nous, donc il mangeait jamais avec nous le matin, au fil du temps on avait tous pris l'habitude. 

 Je mangeais toujours deux tartines de Nutella le matin, un bolle de lait et un fruit pour accompagner le tout, c'était histoire d'être en forme pendant toute la mâtiné, et être directement plongé dans les études sans avoir un coup de fatigue. 

 Une fois que j'avais finis  mon petit déjeuner, je m'étais directement rendu dans la salle de bain pour me brosser les dents avec ma sœur, qui elle fixait son téléphone en se brossant les dents, après m'être brossé les dents j'avais été allais dans ma chambre pour faire mon lit, m'habiller puis pour terminer faire mon lit et aérer ma chambre. 

"Ma porte venez de s'ouvrir"


 - Tu es bientôt près Julien ? Dit ma mère en vérifiant si ma chambre a était fait correctement 

 - Oui maman, tu le voit bien non, je suis correctement habillé et j'ai bien rangé ma chambre. Dis-je en soupirant. 

 - Pas la peine de soupirer, je sais que vous faite toujours les choses à moitié, donc je viens vérifier par moi-même. 

 - Oui, mais les personnes que tu vises en disant qui font les choses à moitié, ce n'est pas moi ! Dis-je en étant vexé. 

 - Très bien je te laisse. Dit-elle 

 Après cette interruption j'avais décidé de me rendre a la salle de jeux qui était en bas pour m'installer sur le canapé et attendre que les minutes passent pour me rendre avec ma sœur à mon arrêts du bus. 

 "7h25" 

 Il était l'heure, l'arrêt n'était qu'a 5 minutes de chez nous, il partait vers 7 h 45, une fois que tout le monde était dans le bus, c'était parti, j'avais sorti le téléphone de mon sac pour jeter un petit coup d'œils à mes messages, mais j'en avais aucun, ce n'était pas important de toute manière. 

J'étais alors devant le collège, toujours au moment où ça sonné je n'avais jamais le temps de m'installer dans la cours pour lire ou écouter de la musique, mais bon je n'avais pas le choix de directement aller chercher ma salle devant chez la vie scolaire, mais ce n'était pas comme la 6ème, ma sœur ne me suivait pas, n'avais plus besoin de moi, elle était avec ses amis qui me détestaient tous, elle avait préférée me laissez seul. 

 J'étais devant donc la vie scolaire et j'avais su mon numéro de salle, c'était la salle 201, au deuxième étage donc, je m'étais empressé de mit rendre, il restait plus que quelque marche, et la, je voyais tout le monde, qui me fixait mal, les filles qui se moquaient de moi, et les garçons qui me faisait des menaces, en disant des "t'es morts après", "j'espère que tu vas mourir", et ainsi de suite. 

Je savais après cela que, cette année sera bien la pire que j'vais avoir a vivre, pendant toute la journée je me suis enfermé dans ma bulle, ma dépression ne faisait que prendre le dessus, j'étais en train de tous les haïr, de me haïr moi-même de pleurer intérieurement, de me sentir me briser en deux, j'en pouvais déjà plus, j'étais tellement devenu fragile de tout cela. 

"Dans la salle de classe" 

- Eh ! Pauvre merde, t'es tellement moche je n'ai jamais vue ça de ma vie, tu mérites même pas d'être ici, j'espère que tu vas tu suicider avec ta tête de con-là j'ai envie de vomir en te voyant ! Cria une fille dans la classe en rigolant avec ses amies. 

Je n'avais déjà mémé plus la force de répondre a tout cela, j'avais plus envie de me battre, je voulais que souffrir comme une grosse merde.J'avais un meilleur amis qui, était là l'année dernière, il me défendait énormément, mais aujourd'hui, cette année, il été dans une autre classe, personne n'était la, même pas ma propre sœur, j'étais seul encore, et encore. 

Une fois la journée terminé, j'avais enduré tellement de chose, je m'étais pris tellement de coup de pied au jambe, ils étaient même a 5 sur moi pour me mettre par terre et me mettre des coups au ventre, j'en recrachais du sang même, j'avais toute ses marques, tous ses bleues qui me donner envie de mourir, je ne ressentais plus rien. 

Pendant tout le trajet du retour du bus, j'avais plus rien à faire, j'étais même entrain de chercher une raison de vivre, mais j'en avais trouvé aucune.Le bus était arrivé a l'arrêt, mon amis, qui s'appelait donc Seb, était passé devant moi et m'avais fait un sourire, même se sourire n'avais pas pu évité que je fasse cette connerie qui allait arriver, ma sœur était pas rentrer a la maison par chance, alors j'attendais que le bus soit parti pour ensuite attendre qu'une voiture passe, pour ensuite me la prendre. 

J'étais en train de courir pour me mettre au milieu de la route, ce que je voulais s'était de me faire écraser par une voiture et mourir, parce-que je ne souhaitais que cela, mourir, mourir et encore mourir, je n'avais pas peur. 

La voiture arrivait de plus en plus vite vers moi, je sentais le rythme de mon cœur qui s'accélérer, cette voiture m'avais malheureusement pas touché comme je le souhaité, je me l'étais pris certe, mais elle s'était arrêter a temps entre autre, mon bras gauche a été le plus toucher et mon dos également, j'étais en train de courir pour m'enfuir et ne pas aller a l'hôpital pour que personne sache ce qui s'était passé. 

Mais, par chance Seb était la mais il avait tout vu... 

- Julien, y s'est passé quoi putain ! Ta vue l'état de ton bras gauche ? Tu pisses le sang bordel, ton épaule aussi y a l'os qui ressort bordel !

- Je ne veux pas rentrer je ne veux pas aller a l'hôpital, s'il te plait aide-moi Seb, tu sait déjà tout pourquoi j'ai fait ça, j'en pouvais plus... Dis-je en pleurant 

- D'accord, d'accord Julien, calme-toi, on va trouver une solution d'accord vient dormir chez moi mes parents appelleront t'es parents pour dire que tu dors chez nous.

C'est parents savaient tout sur mon état, sur comment j'étais et ce que je subissais, mais jamais ils auraient pensés à prévenir mes parents ou m'aider, parce que je l'ai avait empêcher bien évidemment. 

Après les paroles de Seb, j'avais tout de suite su que j'allais vraiment souffrir cette année, et que j'avais peut-être une raison de vivre qui était lui, mon meilleur amis.

Le début ou tout a commencé (Tome 2)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant