iv.

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On ne saura jamais si quelqu'un avait vu ta peine. Tu savais qu'on s'inquiétait, qu'on te voyait. Et que malgré tous tes efforts, tu ne pouvais pas nous cacher ce qu'il se passait dans ta tête.

Un jour, j'ai attrapé ta manche, mais je n'ai rien dit. Parce que dans tes yeux virevoltaient tes pensées, sans plus de fils pour les relier. J'avais compris que plus rien n'avait de sens pour toi.

Mais je voulais te dire « Tu n'es plus celle que tu étais. Mais tu peux devenir un autre soleil, tu sais ? Personne ne t'en voudra d'avoir changé. »

Sauf que je n'ai rien dit.

rayon de soleilOù les histoires vivent. Découvrez maintenant