SNK: Livaï x Reader "Mr.Ackerman" [AU] (version française)

Chapitre 6

On était samedi matin. J'ai pris ma douche, séché mes cheveux, fais un maquillage sobre, je n'aime pas être trop maquillé, j'aime lorsque c'est simple. Mais pour les gros évènements, je fais ce qu'il faut, seulement les grands évènements.

Aujourd'hui c'est shopping, je vais au centre commercial. Georgia Square Mall, c'est son nom. Il n'était pas loin donc autant saisir cette chance. Evidement je dois lever la tête, pour repérer où il est. Comme c'était amusant les recherche hier soir. J'y vais seulement pour acheter quelques habits, c'est tout. Mon uniforme de travail.

Une fois là-bas j'ai constaté que c'était rempli de monde, c'est très animé le samedi. Génial.. J'ai été dans toutes les boutiques possible, Macy, JCPenney, Sears. Mais je suis restée à Macy car il y a plus de vêtements que j'aime. Je vais au rayon femme, et regarde pour une chemise à col blanc, un veste noire, une jupe grise qui arrive au genoux, et des talons noirs. Woah, ça fait beaucoup à trouver.

En cherchant, j'ai trouvé ma chemise à col blanc, et la jupe grise, mais je ne trouve pas le veste noire. Ça fait seulement 20 minutes que je suis dans ce centre commercial et j'ai déjà faim. Après ça, je vais directement aller m'acheter à manger.

Pendant que je regardais autour de moi j'entend une voix, familière.

"Cette chemise ne vous vas même pas."

C'était Mr.Ackerman. Qu'est-ce qu'il fait là ? Pourquoi ? Je ne comprend pas du tout. Oh et bien les hommes font du shopping. "Bonjour." Je me tourne avec un sourire et regarde la chemise que j'ai avec moi. "Oh ne vous...inquiétez pas...je vais l'essayer."

"Hé bien essayez-en plusieurs." Dit-il en fixant la montre en argent à son poignée. Pas d'or aujourd'hui? Puis il regarde les chemise à col blanc dans le rayon femme. "Celles-là ne sont même pas blanches, mais plus dans le genre crèmes." Il se tourne en pointant la chemise que je porte avec un cintre dans sa main gauche.

Je regarde doucement le vêtement que je tiens dans mes mains. Comment n'ai-je pu ne pas remarqué ça avant ? Je suis peut-être trop stressée ou un truc dans le genre. Ok, calmes toi, tu gères. "Je n'avais même pas remarqué. Désolé." Je murmure en la reposant à l'endroit où je l'ai prise et il fait de même avec celle qu'il avait entre les mains. Je continue de le fixer, et plus je le fais, plus son regard est intense. La seconde chose que je n'ai pas relevé était... ses vêtements. Il était habillé de manière décontractée. Un jean bleu marine, et une chemise blanche à col v, dévoilant ses clavicules. Sa chemise me permettait de distinguer les muscles de ses bras.

"Laissez moi vous aider..." Il se met en marche.

Je le suis. Est-ce qu'il connaît aussi bien que moi ce magasin ? Peut-être est-il un homme de magasin ? Un homme de magasin ? Est-ce que ça existe seulement ? Probablement pas. Je continue de le suivre, en regardant ses fesses. Attendez, quoi ?! Ses fesses ? Non, non. Je reporte mon attention sur les vêtement autour de moi, jusqu'à que je vois une magnifique robe. Je souris en la regardant, elle était vraiment belle. Je ne pouvais pas faire autre chose, que sourire.

C'était une robe noir à paillettes avec des longues manches. Cette robe définirait parfaitement la forme de ton corps, et de tes hanches. Et elle avait un décolleté, un deuxième arguments pour ne pas la prendre. Enfin j'aimerais bien paraître joli lors des événements spéciaux.

Je m'approche de la robe pour toucher le doux tissus, du coton. Au moment où j'allais toucher le bas de la robe, je sens une présence derrière moi. Je me retourne donc et vois Mr.Ackerman. Merde. "Désolé, je regardais cette robe..." Je me mord la lèvre.

"Pendant que vous étiez occupé à faire ça, j'ai trouvé ça." Il me tend une chemise à col blanc.

"Eh... Je ne pense pas que ce soit ma taille, ça à l'air petit."

"Vous êtes petite, regardez-vous." Il ajoute en me regardant de la tête au pied, en fronçant les sourcils.

Hé ! Il fronce les sourcils ! Il enfreint les règles ! Oooh. Arrête d'être si immature. Je ne vous ai jamais dit que je me parle à moi-même ? Bien maintenant vous êtes au courant. "Vraiment?". Je me regarde, j'ai failli froncer les sourcils, et m'en aller, mais ça n'est pas arrivé. "... Je vois, désolé."

Je l'entends pousser un grognement. Une autre règle enfreinte ? Merde. Il roule des yeux. Une autre ! Puis il pose son regard sur moi. "Pas besoin de dire tout le temps désolé. Ça me met sur les nerfs."

"Déso-" Je me mord la lèvre. "Ce n'était pas dans la liste des règles."

Il me fixe, on dirait qu'il n'a pas aimé ce que je viens de dire. Merde. "Hé bien maintenant ça l'est. Règle onze, pas d'excuse."

Ugh ? Quoi? Et si je fais tomber une tasse de café ou si je brûle des affaires, juste pas désolé? Simplement rester silencieuse et nettoyer le bazar. Ok, très bien, si c'est ce qu'il veut. "Bien."

"Bien, maintenant allez essayer cette chemise."

"Ok." Je vais vers les cabines d'essayage, et rentre silencieusement dans l'une d'elle mais Mr.Ackerman m'a suivie. Hein ? Quoi ? Pourquoi? Je suis rentré dans une cabine et lui aussi, ce qui m'a rapidement fait me retourner et placer ma main sur son torse. "Monsieur, s'il vous plaît, je vais me changer. Je peux... le faire toute seule."

"..."

"... s'il vous plaît... monsieur." Je rougis.

Il reste silencieux et m'étudie intensément. "Premièrement, pourquoi votre main est sur moi ?"

Je retire vite ma main, mon Dieu, je n'avais même pas réaliser ça.

"Règle douze, ne me touchez pas."

Est-ce qu'il vient vraiment d'ajouter une nouvelle règle. Ce qui me fait froncer les sourcils sur la stupidité de ses petites règles qu'il met en place. Sérieux.

"Oh.." Sa voix se fait plus profonde. "Qu'ai-je dit à la règle sept?"

Hé bien je ne m'en souviens pas et je ne savais même pas que j'avais enfreint une règle. Mon esprit a cessé de fonctionner lorsqu'il est entré dans ma cabine. Flippant. "Pas sur."

Il regarde ailleurs, et sa mâchoire se contractent, ce qui exposait encore plus ses os. "Tch." Il pose à nouveau ses yeux sur moi. "Soyez plus attentive. Sinon je vous renvois à New York dans la minable ferme de votre père."

Wow ? Pardon ? Mon père a travaillé dure pour avoir une ferme parfaite. J'ai grandi là-bas, donc il n'a pas intérêt à mal en parler. "Comment osez-vous parler de-"

"Je suis votre patron. Respectez moi. Je suis celui qui vous paie." Il me murmure pendant qu'il s'approche et que je recule du mieux que je peux dans la cabine. Génial. "Avez-vous compris, Mademoiselle [N/F] ?"

Je regarde ailleurs, toujours énervée. "Oui, monsieur."

"Bien, maintenant essayez la chemise." Il dit en sortant tout en claquant la porte ce qui la fait s'ouvrir d'elle-même.

Je soupir. Puis je me souviens. Comment il sait que mon père à une ferme? 

Un stalkeur ?