Une larme sur le coin de l'oeil
Languissant sur un très vieux fauteuil
Le regard totalement vide
Les pensées plus floue que livide
Frappe à la porte le désespoir
Courage et folie sont dérisoires
Retenant son souffle saccadé
Il repense a toutes ces années
La terreur de son enfance
Sa mère et ses derniers pas de danse
Son père et son éternelle absence
Tout ces souvenirs de violence
Il y repense avec horreur
À tout ses regrets et erreurs
Des actes qu'il voudrait effacer
Les portes qu'il n'aurait, jamais
Voulu traverser avec cette assurance
Qui a détruit jusqu'au plus infime
Petit bout de son existence
Avant que la mort ne nous fîmes
Disparaître de son coeur de pierre
Il se repentit de toutes les prières
Qu'il put. Sans doute, pas assez
Peu importe quel homme il est
Un jour ou l'autre il partira
Et dans l'absence se repentira
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Poèmes en vers
PoesíaSi mes vers ont le pouvoir de faire sourire Baudelaire Je n'aurais de cesse que d'en être fier