Partie 5️⃣7️⃣

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"Je suis le cauchemar de tes plus beaux rêves "

Je voyais juste les décombres du jet tomber et de la fumer mais aucune trace de Krimo ....

~

Nous avons atterri dans un champ de maïs, j'essaye tant bien que mal d'enlever mon parachute mais en vain après plusieurs minutes de lute j'y arrive enfin.

Moi: sania sania réveille toi !

Sania : hum on est où la ?

Moi: lève toi déjà et faut qu'on sorte d'ici

On se lève et nous marchons vers je ne sais où pour trouver la sortir de ce champs, j'appréhende le moment où je vais lui dire que j'ai aucune idée d'où sont ses frères...

Cela faisait plus d'une heure que nous marchions .

Sania: tu sait pas où sont passé mes frères

Moi: je ne sais pas Sania c'est la 20 eme fois que tu me pose la question ils doivent sûrement être à l'abris.

Sania : hmm d'accord

Moi: SANIA REGARDE LA !

Sania : hein où ? Y'a quoi ?

Moi: REGARDE YA PLUS DE CHAMPS LÀ-BAS

On se met à courir vers la sortie à peine sortie que des hommes braquent des armes sur nous, je sort automatiquement mon arme .

Moi: quien eres (vous êtes qui )

Un mec : suelta tu amra puta (baisse ton armes salope )

Moi: respondo à la pregunta o le disparo ( répondez à la question ou je lui tire dessus )

Je dit sa en attrapant un homme un peut plus mince que moi et je lui pointe mon arme sur la tête .

(Je vais continuer le dialogue en français mais c'est en espagnol en vrai )

Moi: je suis là pour le grand chef donc si vous voulez pas que je lui en parle cassez vous

Un mec : haha tu croit on travail avec cette salope

Moi: (en français )Sania on est dans la merde

Sania : fait quelque chose je sais pas moi tue les tous

Moi: (espagnol) baissez vos arme ou je tire

J'ai un peut presser mon arme sur sa tête.

Tout ce passe rapidement, l'un des hommes me tire à l'épaule. Ce qui fait que je lache mon "otage".

Sania : AH MAIS TU ES MALADE MAIS ÇA VA PAS ? ...

Elle commence à crier et à avancer vers les hommes en faisant des grands gestes.

En un coup de cross la meuf elle est tombée comme une grosse merde.

Je commençais à perdre beaucoup de sang mon épaule me tue. Ma vision devient flou, on nous porte vers un camion, je transpire de par tout, j'ai chaud mais j'ai froid, c'est une sensation horrible mon épaule me déchire. 😖

[...]

Nous arrivons dans une Favéla.

Merde, le seul mot pour décrire notre situation c'est merde.

Mon épaule a arrêter de saigner, mais la balle est toujours à l'intérieur.

Un homme ouvre la porte du camion, m'attrape par les cheveux et un autre porte Sania . Ils nous traînent jusqu'à une "maison " pour nous enfermé dans une pièce.

Chronique de Nayra: vendue par mes frère Où les histoires vivent. Découvrez maintenant