//TRANSFORMERS Mauvaise Pioche//

Banale blasphème

Une magnifique journée vien tout juste de commencer.

Valoéra se leva en grognant toute sortes de bêtises à elle même, insultant le soleil de faire la lumière et le commencement d'une journée comme les autres.

T'elle un cliché elle alla se brosser les dents avant de les salir comme une idiote de nouveau en allant manger.

Les cours, elle n'en n'avais rien à faire, croyant que tout vas bien de passer pour elle..

C'est une mise à jour qui change la donne...
Madame se pense au dessus de tout ?
J'ai bien l'impression que oui.

Avec nonchalance, Valoéra prit ses affaires, préparées la veille au soir.

Elle prit ses chaussures et râla sur ses stupides choses qui refusaient le passage à son pieds.

Dans sont sac, Valoéra ne mit rien.
Simplement un crayon gris et une gomme.

pas trop difficile de tout porter ?

La jeune fille cria avec énervement que sa prochaine destination était d'aller en cours, sa mère repond avec bienveillance et sourire qui furent gelé par la froideur de sa fille.

Valoéra dans la rue, se mit à courir.
Tout le monde n'en valait pas la peine pour elle, à part sûrement sa voisine mais ça fait un long moment qu'elle ne sortait plus de chez elle.

T'en pis pour cette voisine, elle est inutile aussi.

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- tu n'as pas pris tes affaires de cours ?

La voix de sa prof résonnait dans ses oreilles...
Devant le silence de Valoéra la professeure du l'exclure de sa classe.

- vielle bique.

Valoéra sortie en soufflant de la salle, pour se rendre dans le bureau du principal.

elle commençait à avoir l'habitude d'y aller, elle pensait même qu'il allait lui offrir une carte de fidélité.

- te voilà, À l'heure....

- oui....?

- ont en a déjà parlé, non ?

- oui.....

Valoéra vida le pauvre contenu de sont sac.

- bon ! Explique moi, pourquoi tu n'as rien prit ?

- j'avais pas envie de travailler .

- oui et donc ?!

-portail c'est ouvert et à mangé mes affaires..

- quelle dommage...!

- oui.

Ils se regardèrent droit dans les yeux, Valoéra avec sérieux et le principal au regard ennuyé.

- j'appelle ta mère.

- Quoi !?

- je vais lui dire que les autres dimensions viennent te voler t'es affaires !

- ha ! Je suis morte...

- trop tard.

Le principal attrape le téléphone puis expliqua la fabuleuse histoire des cahiers perdus,ou plutôt volés.

-  Ma petite ont en a déjà parlé-

- je sais !

- non tu ne sais rien, JUSTEMENT !