ATTENTION :
Je tiens à vous prévenir pour ceux qui décideraient de poursuivre leurs lectures. Il s'agit d'une partie encore non publiée dans l'histoire d'origine. Alors si vous ne désirez pas être spoilé, je vous recommande de ne pas lire plus loin que ce message. Pour ceux qui décideraient de le faire, c'est à vos risques et périls !Quant à l'organisateur de ce concours, il est le bienvenu : :
Remettons les événements dans leurs contextes :Frankenstein, jeune apprenti du médecin de la cour à été accusé de trahison envers la couronne, il subira par conséquent la peine de mort. Cependant, son génie est la seule clé qui pourrait sauver Montrouge de l'épidémie étrange qui le consume. Le médecin a alors demandé une audience auprès de son roi afin de sauver son apprenti de la mort et ainsi mettre fin à cette épidémie mortelle. Cependant cette audience s'est écourtée de part, l'Église qui vient de faire une entrée fracassante afin de menacer le roi dans son propre palais. Une fois l'Église parti le médecin tente de raisonner son souverain :
À la suite de cette altercation, le roi laissa s'échapper quelques tremblements qu'il tenta de réfréner en se cramponnant solidement à son précieux siège :
- Votre Altesse... Votre Altesse !
De la transpiration s'écoulait en tous sens sur son visage tandis qu'il réalisait que le médecin s'adressait à lui :
- Je tenais à vous parler de Frankenstein ! C'est important !
- Nous parlerons de ce cas un autre jour, je ne suis pas d'humeur s'énerva Arthur, les poils hérissés jusqu'à sa tignasse blonde.
À ces mots, le médecin se raidit, dans cet état le roi serait incapable de tenir une conversation, ainsi, il lui adressa une révérence en guise d'excuse et s'éclipsa sans dire mot, tête en direction du sol.
Le roi en profita pour soupirer et compresser sa tête d'une main dans l'espoir de soulager sa légère migraine :- Que fais-tu encore là, je viens à l'instant de congédier Josette ! Brailla-t-il tandis qu'il s'adressait à la petite asperge qui le fixait bêtement et qui ne semblait pas vouloir quitter la salle. À la place, le jeune apprenti chevalier décida de s'avancer, sa mine devenait sévère et son visage sérieux. Ce changement força le roi à se redresser sur son siège, Matteo avait bien des choses à lui dire :
- Votre Altesse, si je puis me permettre, il y a des éléments qui n'ont pas été pris en compte dans votre décision comme le temps qui malheureusement nous manque de manière drastique et qui nous pousse à faire des choix qui en temps normal n'auraient pas été faits...
Il s'approcha davantage de cet homme qui le fixait les yeux plissés et les sourcils froncés :
- De plus, il est difficile de trouver la solution d'un problème quand nous ne possédons pas toutes les pièces, mais si nous pouvions en avoir des supplémentaires nous aurions plus de chances de deviner la composition de la toile. Cette toile qui en l'occurrence pourrait potentiellement nous être d'un grand secours...
- Mais où veux tu en venir enfin ?! Quel est ton plan ? Parle !
- Je pense que la libération de Frankenstein n'est pas une si mauvaise idée...
- Son exécution a déjà été programmée, il est trop tard, affirma-t-il sèchement
- Il n'est jamais trop tard ! C'est votre stupid.... Votre sagesse qui vous interdit de le libérer. Cependant, vous oubliez qu'il a déjà fait ses preuves avec Dame Léa. Dois-je vous rappeler qu'il a été le seul à pouvoir lui sauver la vie ?
- Avec la chirurgie !
- Une méthode peu conventionnelle mais probante de résultats. Par ailleurs, Josette vient sans tarder de recevoir des nouvelles du premier village infecté, il semblerait que le traitement confectionné par Frankenstein ait sauvé les moins atteints ! Il les a guéris ! Cela, vous est-il toujours égal ?
- Alors que proposes-tu ?
- Annuler la sentence précédemment déclarée, lui laisser le temps de confectionner un remède et lui permettre de sauver Montrouge et votre peau par la même occasion. Ainsi, vous pourrez sans conteste clouer le bec de ce pape François et de son église ! Vous serez acclamé en héros pour avoir aidé à la fabrication de ce traitement et vous serez respectés par...
Matteo se força à serrer les poings et se mordit la langue pour empêcher celle-ci de fourcher. Malgré le sang qui se dispersait dans sa bouche, il poursuivit naturellement :
- Respecté par tous tel le roi génialissime, intelligent et supérieur que vous êtes. Imaginez un peu ce que le peuple pensera de vous pour l'avoir sauvé d'une maladie incurable formatée par le diable en personne, vous serez un Saint et l'église ne pourra plus rien contre vous. Vos ennemis trembleront en entendant votre nom et le peuple ne pourra que detest....Adorer davantage le grand Seigneur de Mon cu... Montrouge !
À ces mots, le visage de Matteo se stoppa à quelques centimètres de celui du roi, une légère goûte coulait sur son front, il attendait une réponse de la part de son souverain :
- AhAhAh ! Arthur se leva précipitamment et plaça ses mains sur les épaules du jeune homme :
-Tu as bien raison mon garçon ! Il faut parfois faire des choix qui vont à l'encontre de nos principes afin de prôner un meilleur avenir. Ensemble, nous ferons face à l'Église et leurs manigances ! Je ne compte pas rester les bras croisés pendant qu'elle complote et assaille mon royaume ! Gardes !!!
À ces mots, un soldat fit irruption dans la salle et attendait les ordres :
- Ordonnez la libération immédiate de Frankenstein ! Et aussi l'annulation de son exécution. Conduisez-le en direction des appartements de Josette, qu'il travaille dès que possible !
Le soldat lui présenta une révérence et s'éloigna.
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Concours !
RandomChers Lecteurs, j'en appelle à votre compréhension. Ceci n'est pas un nouveau chef d'œuvre ! J'ai conscience que cette nouvelle vous brisera le cœur, vous qui appréciez sans nul doute mon talent inestimable. Mais suite à ma participation à un concou...