006 - GREEN

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Le lendemain matin,
Je me suis réveillé de bon heur mais, je n'ai pas quitté le lit parce que je n'avais pas envie de rester seule avec la mère de Brooklyn. Elle est terrifiante et en plus, elle passe son temps à dénigrer Brooklyn et je ne peux pas la supporter donc j'ai attrapé mon téléphone puis, j'ai commencé à consulter mes fiches d'actualités sur les réseaux.

Brooklyn dort encore ce qui me surprend un peu étant donné que quand je suis rentrée elle dormait encore donc je me demande pourquoi elle dort encore. Alors que j'étais absorber par mon téléphone, j'ai senti quelque chose bougé c'était Brooklyn elle s'est retournée vers moi.

« Hum il est qu'elle heure ? Lui demandais-je.

- Hum 9h, lui répondis-je en regardant l'heur sur ma montre.

- Qu'est-ce que tu fais encore là ? Me demande-t-elle. »

Je veux qu'on affronte sa mère ensemble, elle m'a déjà laissé seule avec elle hier je ne vais pas la laisser recommencer. Surtout que sa mère se fera un plaisir de lui cracher dessus. Je ne comprends pas pourquoi sa mère la déteste autant. Une mère c'est sensé aimer ses enfants pas les détestés.

« Je ne voulais pas affronter ta mère seule, lui demandais-je. Mais maintenant que tu es réveillé on va pouvoir y aller, ajoutais-je.

- Hum je n'ai pas envie et si on restait ici, me dit-elle en se couvrant la tête avec la couverture.

- Hum j'avoue que ça me plairait bien, ajoutais-je avant de me glisser sous la couette aussi pour l'embrasser.

J'avoue que je n'avais pas envie d'aller voir sa mère discuter avec elle, parler, de l'entendre crier sa rancœur envers sa propre fille. Heureusement que mes parents ne sont pas comme ça, sinon je deviendrais fou. Je crois que j'aurais même fuguer. Sous la couverture on ne cessait de s'embrasser encore et encore si ça ne tenait cas moi on en serait resté là mais, malheureusement j'ai senti le ventre de ma copine gargouiller donc je me suis dit qu'il était temps d'aller déjeuner après tout c'est vrai qu'elle n'a pas mangé hier soir avant d'aller dormir.

« J'en connais une qui a faim, lui dis-je en riant doucement.

- Oh oui terriblement faim, ajoute-t-elle.

- Donc il va falloir qu'on aille déjeuner, ajoutais-je.

- Non, cria Brooklyn en riant doucement. »

Je me suis levée du lit voyant qu'elle ne bougeait pas et qu'elle me regardait en souriant, je me suis approche d'elle et je lui ai attrapé les pieds pour ensuite la rapprocher du bord puis, je l'ai fait se redresser et je l'ai apporté en sac à patate jusqu'à la salle de bain. Heureusement qu'on a notre propre salle de bain sa mère n'a pas besoin de savoir qu'on va prendre une douche ensemble.

Arrivée dans la salle de bain, je l'ai posé sur ses pieds puis, elle a commencé à se déshabiller et j'en ai fait de même. Une fois nue comme des verres nous sommes allés sous la douche et je pense qu'on avait besoin de courage tous les deux étant donné qu'on a couché ensemble. J'espère que ça mère n'a rien entendu franchement j'aurais leur qu'en sortant de la chambre elle nous demande « c'était comment la baise ? » En plus on ne peut pas dire qu'on a été silencieux surtout Brooklyn mais, je la comprends elle voulait relâcher la pression. Je pense qu'après la journée d'y hier c'est ce qu'ils nous faillaient. Après nos ébats nous avons vraiment pris une douche puis, nous avons quitté la salle de bain, nous nous sommes séchés puis, nous nous sommes brosser les dents. Nous sommes ensuite coiffées. J'ai fini avant Brooklyn donc je suis retournée dans la chambre pour enfiler un short de plage, un t-shirt et mes tongs. Après que Brooklyn est finit d'onduler ses cheveux, elle est retournée dans la chambre. Je l'attendais assise sur notre lit et je la regardais troquer sa serviette contre un maillot blanc et une robe de plage rouge. Après avoir enfiler ses tongs, elle s'est tournée vers moi.

« On y va, me dit-elle.

- Ouais allons-y, lui répondis-je en me levant. »

Elle attrapa son sac de plage avant de quitter notre chambre et là sur le chemin on voit sa mère qui se dirige vers nous.

« Ça tombe bien j'allais justement venir vous réveiller pour qu'on aille déjeuner, nous informe-t-elle. Vu que vous êtes près allons y. »

Suite à ça nous avons suivi sa mère hors de la suite. Nous sommes descendus jusqu'au rez-de-chaussée où se trouvait le restaurant. Jusque-là, elle n'a balancer aucune insulte donc je suppose qu'elle s'est calmée. Nous sommes allés chercher notre petit déjeuner puis, nous nous sommes installés à une table. On a commencé à manger quand d'un coup sa mère a brisé le silence.

« Alors Green vos parents ne sont pas trop déçu de ne pas vous avoir pour les vacances ? Me demande-t-elle.

- Si un peu mais, ne leurs ai promis que je serai avec eux l'année prochaine, lui répondis-je.

- Et il pense quoi du choix de ta copine, me demande-t-elle. Ils approuvent que tu sortes avec une fille qui a failli détruire ton campus ? »

Et ça commence. C'est sûr que mes parents n'ont pas apprécier mais, ils ne sont pas rancuniers surtout que je leurs ai dit qu'elle a aidé à mettre un terme au projet de son père. On peut dire qu'elle s'est faite à moitié pardonner par eux après, ils ne l'ont pas encore rencontré donc je pense qu'il attend de l'avoir en face d'eux.

« Eh disons que... Ben... En fait...

- Dit le après tout je suis sûr que Brooklyn a eu une petite idée de leurs réactions quand ils l'ont su, ajoute-t-elle.

- Pourquoi tu fais ça, lui demande Brooklyn en se levant. Ça te plaît de ressasser tout ça et de me faire souffrir ? »

Ouais je pense que ça lui plaisir de voir que sa fille est triste et qu'elle s'en veut vraiment. Ça lui plaît d'enfoncer une porte ouverte pourtant ça fait très mal d'enfoncer une porte ouverte.

« Oui ça me plaît parce que tu n'es qu'une petite fille pourrie gâter qui fait un caprice quand elle n'a pas ce qu'elle veut, lui répond sa mère sur le même ton.

- Et toi tu fais tout pour me rendre la vie impossible pas étonnant que je ne fasse jamais appel à toi quand j'ai besoin de quelque chose, lui cria Brooklyn avant de disparaître.

- Vous êtes obligés de vous comporter de cette façon avec elle, lui demandais-je. »

J'avais envie de l'a rattrapée mais, j'ai vu l'occasion de parler à sa mère. Ouais maintenant je veux parler. Elle me fait toujours peur mais, il faut qu'elle arrête de se comporter comme une pute avec sa fille dire qu'elle supporte ça souvent quand elles sont en contact.

« Oui c'est une petite fille pourrie gâter à qui j'essaye d'apprendre ce que c'est que la vraie vie, me répondit-elle.

- Pas la peine de vous comporter comme une grâce, lui informais-je. Désolé.

- Brooklyn m'a toujours détesté je ne sais pas pourquoi, commence sa mère. Enfin je crois que c'est ce qu'elle détestait par-dessus tout c'est que je refuse qu'elle intègre des écoles privées, ça la faisait de rêver de fréquenter des filles comme elle avec des moyens qui n'ont à se soucier de rien, ajoute-t-elle. Quand son père lui racontait son enfance de petit garçon privilégié, elle avait des étoiles pleins les yeux mais, je ne voulais pas de ça pour elle. Je voulais qu'elle voie la vie comme elle est réellement et la seule façon de le faire c'était de la mettre avec des autres enfants qui ont moins de moyen. Je voulais qu'elle voie que la vie n'est pas toujours rose pour tout le monde. Dans les écoles privées y a que des problèmes de riches. Je voulais qu'elle voie le monde comme je l'ai vu. Je ne suis pas arrivé jusqu'ici en un clin d'œil. »

Ouais je crois que je comprends un peu, elle voulait connecter Brooklyn avec le monde. Je me demande pourquoi c'est si important pour Brooklyn d'intégrer des écoles priver. Une école c'est une école. Après je me doute que ce n'est pas pour les cours mais, quand même c'est un peu abuser. Moi dès que je sais où faire mes études je suis content.

« Je comprends, lui répondis-je.

- Elle se fiche pas mal de ce que j'ai vécu c'est une petite fille à papa, ajoute-t-elle. »

CSU : Student Vacation | TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant