Poème Libre

Avant

L'eau de la rivière coule,

Et sur elle le soleil brille.

Une à une mes larmes roulent,

De souvenirs mes yeux brillent...

Un rire au loin, un sourire que je perçois.

Tout allait bien, j'étais pleine de joie.

Mes amis m'entouraient, comme à leurs habitudes.

Mais le temps à passé, place à la lassitude...

Des heures de discussion, de secrets, d'innocence,

Tu me réconfortais, de ta douce présence,

Toi ma si douce et perdu insouciance,

J'étais ignorante, de toute les existences.

Certains mots qui font mal, que j'apprends peu à peu.

Des chagrins d'amour, le deuil, c'est affreux

Je ne connaissais pas, mais maintenant je connais.

Ces choses qui gâchent tout, mais rendent la vie plus vraie.

L'hypocrisie arrive, et s'immisce dans nos vie,

Corrompu, égoïste, méchants deviennent les gens,

La gentillesse persiste, mais qui y pensera ?

Argent et Pouvoir, c'est tout ce qu'il voudra.

Certain oublie les valeurs des choses,

Ces touts petits plaisir, qui rendaient la vie rose,

Ces douce mélodies, qui inspirent mes proses,

Je ne les trouve plus, leur disparition la cause.

On voudrait pouvoir profiter de la vie,

Mais sincèrement, qui oublie ses soucis ?

L'enfance était si belle, si douce, si vive.

On ne se souciait de rien, jamais sur le qui-vive.

Pourtant ce n'est pas si loin, quand j'y repense !

Mais pourquoi je ne les atteins plus ces souvenirs ?

Ils sont si flous, vague, loin, de pire en pire.

Alors je m'imagine les souvenirs de ma très jeune enfance.