Interdit...mais tellement tentant...

Interdit... mais tellement tentant... Deuxième Partie

Oui je le suis et si ce que je m'apprête à faire risque de m'envoyer en enfer alors autant me faire d'abord visiter le paradis.

Il sourit. Je m'étonnais moi-même en disant ces mots car cette femme qui n'avait pas connu la jouissance pendant 2 ans était prête à tout ne serait-ce que pour un brin de bonheur. Wood se leva du lit, mit un peu de musique avant de m’attirer vers lui. J’ai tout de suite reconnue la voix de Sade dans By your side. Il me serra contre lui avant de déposer un tendre baiser sur mes lèvres. Il me contempla de nouveau avant de reprendre possession de mes lèvres mais cette fois avec plus de passion et de fougue. Il prenait le temps de sucer ma lèvre supérieure puis ma lèvre inférieure qu’il mordilla. Ceci m’excita encore plus. Il faisait agiter sa langue à l’intérieur de ma bouche au point que nos langues se claquèrent. Il mit fin au baiser pour m’allonger sur le lit, enleva sans difficulté ma légère petite robe, puis mon soutien-gorge et ma petite culotte en se servant de ses dents.

J’étais surprise de le voir le faire avec une telle aisance. Le beau black tatoué se dirigea vers une salle que je supposais être la salle de bain tandis que moi j’attendais impatiemment la suite. Il retourna avec un petit flacon d’huile en main qu’il commença à verser dans le creux de sa main. « Allonge-toi sur le ventre » ordonna t-il tandis qu’il se frotta les mains rapidement. Je m’exécutai sans mot dire. Il déposa délicatement ses mains sur mon dos et commença à me masser. C’était chaud et bon en même temps, tellement agréable que je fermai les yeux et laissai mon corps à sa merci qu’il parcourait du dos à l’épaule, des fesses aux jambes et m’a même massé les pieds. Mon Dieu ! je ne  me suis jamais sentie aussi détendue de toute ma vie. Puis il me retourna sur le dos et cette fois ce fut le tour de mes hanches, de mon ventre puis de mes seins qu’il encadrait de ses deux mains comme s’il puisait de l’eau d’une source avec ses mains mais au lieu de boire cette eau au creux de ses mains il l’aspirait et cette eau était mes tétons. Je tressaillis au contact de sa bouche sur ma peau. Après m’avoir bien massé, il me tira du lit en disant : « Viens, je vais te donner un bon bain chaud. » J’étais encore plus surprise en entendant ces mots car je ne me souvenais même plus de la dernière fois que Jean Paul m’avait donné un bain. Il fit couler l’eau tiède dans la baignoire avant de m’attacher les cheveux avec un des bracelets élastiques qu’il portait au bras. On se trouvait maintenant tous les deux dans la baignoire. Lui appuyé contre cette dernière et moi entre ses jambes. Il me frottait doucement le dos avant de m’appuyer contre lui puis je sentis ses mains se glisser sur mon ventre jusqu'à mon vagin où il introduisit deux doigts. Surprise j’essayai de refermer les jambes comme s’il franchissait une zone interdite. « Laisse toi aller me souffla t-il a l’oreille.» J’avais  très envie de jouir mais en même temps c’était la première fois que je me laissais toucher par un autre homme. Tandis qu’il continuait de faire gigoter deux doigts en moi il me suçait en même temps le cou. Vu que j’étais aussi brune que lui je ne pense pas que mon mari remarquerait que j’ai un suçon s’il m’en faisait un. Pendant que ses deux doigts étaient en moi de l’autre main il utilisa son majeur pour stimuler mon clitoris. S’il y a quelques minutes de cela j’essayais de refermer mes jambes maintenant c’était sans vergogne que je les ouvrais délibérément afin de mieux savourer l’agilité des doigts de cet homme. Ses doigts encore en moi il cessait de les gigoter en s’accentuant plus sur celui qui caressait mon clitoris. Il accéléra son mouvement sur mon amande et quelques secondes plus tard je sentis un spasme contracter mon bas ventre, mes orteils s’électrisaient sous l’eau, mes mains s’agrippaient aux rebords de la baignoire et des gémissements sortirent de ma gorge. J’ai voulu les laisser s’accumuler en plaintes car c’était comme si j’avais honte de me laisser porter à l’extase par un homme autre que mon mari mais c’était trop bon, je ne pouvais garder tout cela en moi. Cet orgasme ne fit qu’attiser le feu ardent qui brulait déjà au plus profond de mes entrailles. Je caressai ses cheveux, retourna légèrement la tête en arrière pour l’embrasser avant de lui murmurer à l’oreille : Fais-moi jouir encore une fois.