Marcus Derea

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Un acouphène me perce tympans. Il est long et il dure. Puis mes paupières s'ouvrent une à une dévoilant un monde flou à mes yeux. Tandis que le monde environnant retrouve sa netteté. Ma tête est secouée par de nombreux maux de crânes. La pièce autour de moi est morne. Des barreaux barrent le peu du bout de gratte-ciel que je peu voir. Ils sont aussi sur la porte verrouillée bien entendu. Qu'est ce que je fou là ? Il y a un type dans le coin de la cellule, il me fixe avec insistance. Il est d'un brun sombre clairsemé de mèches blondes telle des étoiles parsement un ciel nocturne. Il a les yeux d'un vert émeraude. Il doit être un adolescent si j'en juge a la présence de duvet entre son nez fin bordé d'une légère cicatrice et sa lèvre supérieure coupée en deux par une autre cicatrice.
Cependant il a le bras droit entièrement robotisée. Un cyborg donc.
" Qu'est ce que je fous la ?" Dis je .
" T'es en cellule de dégrisement mon pote. dit l'adolescent. Parce-que notre élite de la police préfère arrêter des gens saoul plutôt que d'essayer de choper les criminels notoire." Sa voix était bizarrement grave.
" C'est bon. dis-je en baissant le ton. Laissais moi sortir je paierais !" Un policier s'avance nonchalament et dit d'une voix robotisée " C'est trois cent crédits." Que quoi ? Je me résigne sinon je vais arriver en retard. "D'accord je vais payer. je léve la voix. Paiement de 300 crédit." La puce placé dans mon bras se met à briller d'une lueur verte et je la pose sur la bras du policier. Une voix asexuée dit "Paiement effectué". Je vois le visage mort de toute émotions prendre vie suite a L'expression d'une profonde réjouissance. Le policier s'effectue alors à ouvrir la grille avec une relique du passé que je n'est pas vu depuis longtemps. Une clef.
Quand après de longs efforts qui on failli me faire arriver en retard la porte s'ouvre et je sors de ma cellule le policier me fait un sourire et j'avance. Quand je regarde derrière mois le type de la cellule a disparu en même temps que les barreaux de la fenêtre.
Je marche donc dans la rue des énormes panneau publicitaire prennent des photos des passant et affiche des pubs personnalisé au personne. C'est une chose horrible lorsque l'on est adolescent. Soudain une silhouette encapuchonné passe a côté de moi et se met a côté de moi soudain la voix de mon bras fait " Vous avez reçu 150 crédit"  Je regarde l'inconnu a côté de moi c'est le garçon de la cellule, il me regarde et dit " J'ai récupéré les 300 au keufs. Bien entendu j'ai gardé l'autre moitié. "
Ok il est vraiment bizarre ce gosse il vient me dire en face qu'il m'a arnaquer.

"Du coup tu peux me rendre le reste? lui demandai-je moins fermement que je ne l'espérais. 
-Nan! Et puis ça étonnerait que tu en est tant besoin que ça. "
Avant que j'ai eu le temps de dire quoi que ce soit un grappin sort de son bras et va s'accrocher sur un drone policier. Il monte dessus et le bidouille   pour le faire avancer. Soudain au coin de la rue plusieurs policier sur leur moto volante débarque. Je reconnais celui qui m'a extorquer de l'argent. Le jeune homme se retourne pianote sur son bras et leur motos chutent d'un coup et se mettent a se tourner autour comme si elles dansaient entre elles. Je vois le jeune homme sourire validation de ma suspicion. Il est un hacker. C'est pour ça qu'il était en prison. Ou alors vu l'incompétence et le taux de corruption des policiers ça dois être une de ses arnaques favorites. Sur ce il s'en va a une vitesse élevée sur le dos du gros drone noire et blanc.
Quel début de journée.








Ok  ce premier chapitre est sorti comme d'hab n'hésitez pas a me dire où il y a des fautes
Sinon j'espère que ça vous aura plu.

Project redOù les histoires vivent. Découvrez maintenant