Martin Murtaugh

10 2 4
                                    

"Ou est ce qu'on est appelé encore" dis je à mon équipier Roger Riggs au volant de notre voiture de service. Il vient d'activer nos gyrophares et de pousser le moteur électrique. L'accélération me colle au fond de mon siège.
"Appartement 14 B Oliver Street. me dit-il calmement. On a appelé pour des bruits de coups de feu"
" Tu sais je peux prendre l'oreillette aussi de temps en temps" lui dis-je
"Oui mais je sais que tu n'apprécie pas avoir quelque chose dans ton oreille qui communique tes pensées avec le central"
-Je peux faire un effort tu sais "
-Laisse, c'est pas grave "
Et en deux temps trois mouvement nous décollons et atterrissons à l'endroit.
"Ok . lui dis je en prenant mon pistolet Taser à la main. Je passe devant tu me couvre"
Il reste derrière moi, on monte les escalier en silence. "Central nous sommes arrivé devant l'appartement en question nous allons rentré" dit Riggs dans la radio. Puis il me fait signe de la main d'y aller.
Je tambourine contre la porte.
"Police veuillez ouvrir s'il vous plaît !"
Le silence comme seul réponse alors je réessaye.
"Central on a demandé deux fois l'ouverture et personne ne vient ni ne fait du bruit sommes nous autorisé à rentrer" dit Riggs dans la radio. "Vas y ! " me dit-il
Alors je me recule de quelques pas et m'élance à toute vitesse puis flanque un énorme coup de pied dans la poignée. Le verrou cède sous l'impact et je m'engouffre dans l'appartement sombre. "Central on rentre"
Les fenêtres de l'appartement son entrouvertes et laisse rentrer la lumière de l'éclairage publique. La deuxième source lumineuse est une vielle télé 8k datant de la période près conquête. Celle ci diffuse une émission télé ringarde ou des gens au QI négatif se battent pour toucher un  chèque. Je me déplace silencieusement et pousse la porte de la cuisine. Il y fait tout aussi sombre que dans les autres pièce. Soudain j'entends un bruit Flic Floc. Et j'ai comme la sensation de marcher dans quelque chose de liquide. Je baisse alors ma lampe torche au niveau du sol. À mes pieds gisent deux vieillards. La vielle est étendu au sol un couteau ensanglanté à la main. Au niveau de sa poitrine, se trouve un trou ensanglanté. Me regard ce tourne vers le grand père qui lui tiens un flingue à la main et est possède une entaille béante dans la gorge.
"Roger!dis je en criant. "
Celui-ci accourt le plus vite possible et quand il arrive dans ma pièce.
"Oh merde! dit-il sous le choc. Tu crois qu'ils se sont....
-Entre tuées ça ne m'étonnerait qu'a moitié. On a ici toutes les traces d'une attaque commune. Je pense que la dame a menacé son mari avec un couteau. Celui-ci prend peur, lui tire dessus mais ne la tue pas instantanément, celle ci n'ayant plus rien à perdre lui fonce dessus et l'égorge. "
-Putain de merde. dit il encore choqué"
-Ce sont tes premiers ?
-Mes premiers quoi ? me répondit-il
-Maccabées.
-Je euh Ouais d'habitude j'arrive pas sur ce genre de scène "
-Très bien alors appèle le Central prévient les de ce qu'on a vu et retourne dans la voiture manger un bout, écouter de la musique, tenter de penser à autre chose.
-Et toi ?
-Moi je vais chercher des preuves, les marqué et tenter d'avancer le travail de la criminelle.
-D'accord, d'accord. me dit-il. Une dernière question. Pourquoi ?
- L'amour je pense. Beaucoup compare justement l'amour à un feu. Lors d'un amour passionnel la flamme et grosse et dévore rapidement tout son bois. Eux après des années d'un amour brûlant à petit feu ils se sont rendus compte qu'il n'avait pas prévu assez de bois. Leur feu à du s'éteindre il y a quelques jours, semaines, mois, années et depuis ils escaladent un mont de tristesse et colère l'un envers l'autre et voilà comment cela fini.
-Je euh très bien"
-Appelle le Central maintenant et vas a la voiture"
Pfff Il est si naïf j'ai lu ça dans un bouquin. Eheh
Je passe alors mon temps à chercher des indices et les baliser avec ce que j'ai sous la main faute de mieux. Les premières équipes arrivent puis m'aident tandis qu'elles m'expliquent qu'elles ont envoyé Roger chez le psy. C'est un bon gars il s'en remettra je pense. Nous discutons de nos cadavre tout en nous affairant à marquer les indices et pièces à conviction.
"Alors ils sont ou nos petits vieux ??!  Ne vous levez pas Messieurs je suis l'inspecteur Lestrade de la brigade criminelle. Alors qu'avons nous la ? "
-Eh bien Inspecteur tout cela ressemble à un meurtre passionnel. Ils se sont entre tués. Tout les indices concordent avec cette hypothèse et le robot est arrivé aux mêmes conclusions.
-Vous parlez de cette boîte de conserve. dit l'inspecteur en pointant du doigt le robot analytique de la police. Si vous écoutez cette chose on va finir au chômage eheh. Cependant quelques détail me chiffonne. continua t-il en passant une main dans sa moustache. Dans toutes les pièces les chauffages sont programmés pour fonctionner au maximum alors pourquoi ici la fenêtre est-elle ouverte ? Vous ne l'avez pas fait pour retirer l'odeure?
-Non inspecteur. dis je me relevant. Agent Murtaugh j'ai découvert les corps et la fenêtre était bien ouverte.
-Hmm très bien en ce cas allons voir cette fenêtre. "
Il s'approcha de la fenêtre.
"Venez approchez mon cher Murtaugh. dit-il. Regardez la dans le mur il y a un trou parfait et ici, il pointe le bord de la fenêtre. Regardez en contre bas le pot de fleur écrasé au sol. Qu'en déduisez si vous l'ajoutez a la fenêtre ouverte ? "
-Quelqu'un s'est introduit avec un grappin a ouvert la fenêtre et a fait tomber le pot de fleur en s'infiltrant. Donc si on cherche bien on devrait pouvoir trouver des empreintes.
-Votre sens de la déduction est impréssionant pour un agent de police. me dit il. Mais ne comptez pas trop sur les empreintes. A mon avis ce grappin vient d'une protèse et l'autre main devait être gantée si on prends en compte ce fil noir resté coincer. ce détournant. Bon qu'avez vous sur les victimes ? "
Un sergent s'avança et projetant de son bras un holo écran il nous Lu les informations sur les victimes.
"Maggie et Allan Poe. Elle était maitresse d'école primaire
-Ah encore une qui servait à diffuser la propagande pour les GAFA aux jeunes enfants. le coupa Lestrade. Pardon excusez moi reprenez s'il vous plaît.
-Elle s'est marié à Allan il y a 58 ans. Allan lui est fraîchement retraité. Il travaillé chez Amazon.
-Euh fraîchement retraité. dis-je. Mais il a quasiment 80 ans.
-78 pour être précis oui il fait partie de ces génération ou il n'y avait rien pour nous indiquer ce que l'on voulait faire. Il a donc de nombreux diplômes.
-La vache.
-Vous avez cependant raté une partie intéressante mon cher Murtaugh. me dit Lestrade. Il est fraîchement retraité certes mais il travaillait chez Amazon ce qui veut dire qu'il était encore dans le circuit.
-Vous pensez que c'est un assassinat maquillé ? Mais euh pourquoi il se retirait du circuit justement? lui dis je interrogé
-Tu sais quoi Murtaugh tu pauses les bonnes questions et ça c'est très cool. Premièrement oui il est maquillé. Vous voulez une preuve regardez sous cette armoire et vous trouverez certainement le vieux portable de cette vielle dame. Il devrait dater de 2026 comme tout dans cet appartement. Elle a vu son marri se faire assassiner à voulu appeler et son portable à glisser sous l'armoire. Les policiers s'affairent et trouvent bien un viel IPhone 18. Quand à la deuxième question la question du mobile. Je pense que l'on a tout simplement cherché à leur soutiré des renseignements sur son ancien travail. Je pense que cette affaire et reliée à des affaires de crimes organisé. Peut être un gang qui y a vu une opportunité ou alors à la vu du grappin. Entortille sa moustache avec son doigt. Hmmm Oui il me semble tout à fait probable qu'il s'agisse d'ONI. Très bien. Bon partez tous!  dit-il en tapant dans ses mains. Sauf vous Murtaugh. Bon allez tout le monde dehors cette affaire ne relève plus de vos grade moi et mon équipe s'occuperont du reste. Et maintenant vous en fait parti mon cher. "
Qu'est ce que c'est encore que ce bordel. ONI? J'en ai déjà entendu parler brièvement. Putain c'est quoi encore toute ces conneries. Putain et ce pauvre Riggs. Dans quoi j'me suis embarqué encore?

Project redOù les histoires vivent. Découvrez maintenant