Chapitre 01.

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Si il y a bien une chose que j'ai toujours apprécier par dessus tout, c'est d'être sous ma forme animal. Du plus loin que je me souvienne je me suis toujours sentis apaiser, calme, et à ma place lorsque je que me transformais. Quand j'étais petite et que je me transformais à chaque petite colère, mon père était là pour me parler, me caressant tendrement le crâne et derrière les oreilles, sa avait le don de m'apaiser, je me sentais sereine. Mon petit corps animal dans les grand bras de mon père, et parfois même il se transformais, ce plaçais en boule autour de moi pour m'endormir, me calmant puis me réveillant sous forme humaine. En grandissant mon père continuait de se rouler autour de moi, c'était devenue un petit rituel après un combat, nous nous calmions l'un l'autre après tant d'euphorie. Mon père m'apprenais depuis toute petite à combattre, au début sous forme de jeu n'étant qu'un petit animal, puis devenant adolescente et adulte, le jeu laissait place à la réalité. Il m'avais toujours dit qu'il ne fallait pas ce ménager l'un l'autre, avec notre force surhumaine nous pouvions faire face à de la brutalité pure. Il m'entraînais tout aussi bien sous forme animal que forme humaine, j'étais, grace à lui, devenu aussi redoutable que lui. Et si je me fie à mon instinct, il le valais mieux pour moi que je sois redoutable.

Cela faisait trois jours que je me baladais sous forme animal, faisant mes griffes par ci par la, mangent quelque gibier, par faim et pour aiguiser mes crocs. Je courrait à m'en épuiser, je ne rappel plus si je pourrait me transformer là bas sans risquer d'être vue, alors j'en profitait ici. Je couru près de la cascade, au milieu de la forêt, m'arrêta boire, puis fixa mon reflet dans l'eau. Mon pelage blanc était soyeux et presque brillant, les quelques ligne noir à peine perceptible ondulait avec le reste de ma fourrure, mes yeux bleue cyan perçait l'eau, alors que mon gros museau noir tentait de ce défaire de ce bleu puissant. Papa disait que j'étais un animal rare, qu'avant moi il n'avais jamais entendu parler d'autre personne comme moi, et qu'il craignait le pire pour moi. On ne peux pas être bâtis comme moi juste pour jouer les chiens domestique pour humain, des missions plus perieuse m'attendait, j'en avait conscience. Je ne sais pas encore ce qui m'attendait là bas, ni comment je réussirais à accomplir mon devoir sans me montrer. Un animal aussi gros que moi ne passait sûrement pas inaperçus, je devais faire pratiquement deux mètre des pattes à la pointe de mes oreilles. Il va me falloir beaucoup de maîtrise de moi même et de stratagème pour opère en toute discrétion.

Il était tant pour moi désormais de quitter le Canada pour me rendre au état unis, à vol d'oiseau je n'était pas si loin, et à patte non plus, avec ma vitesse je pourrait m'y rendre rapidement. Mais malheureusement j'ai des affaires à amener avec moi, je devais donc me rendre à la réserve de la Push, chez Emily, en tant qu'humaine. Je stressais un peu je dois dire, je ne l'ai pas vue depuis si longtemps, elle avait sûrement changer, est-ce que nous nous reconnaîtrons.. Je n'en ai aucune idée et si je ne part pas je le saurais jamais. Je me dirige vers ma voiture après avoir laisser toute les clés et les derniers papier à la famille canadienne à qui j'avais vendu ma maison. Puis monta au volant et me mît en route, je voyais la maison s'éloigner de plus en plus dans mon rétroviseur et malgré tout je ne pu empêcher le pincement au cœur que je ressentis. Il ai vrai que je n'ai pas l'aire affecter par la mort de mes parents, la colère et mon envie de de vengeance devais sûrement en être là cause. Mais m'éloigner de cette maison remplis de souvenir heureux près d'eux était plus douloureux que je l'aurais voulu.

La route fus étrangement longue jusqu'à la réserve sûrement le stresse, et l'excitation. Emily m'avais donner son adresse et étrangement elle figurais dans le GPS, et alors que je passait le panneau indiquant la réserve, mon cœur s'accéléra bizarrement. J'ouvris les fenêtre et sentis l'aire frai, l'odeur du sel de la mer, du bois de la forêt, et une odeur inconnu me parviens. Je n'y prêtait pas attention trop occuper à observer toute cette verdure, heureusement pour moi j'aurais de quoi me transformer tranquillement loin des regards indiscret, je l'avais oublier avec le temps. J'arrivais devant une maisonnette en bois, peinte en rouge, lorsque mon GPS m'annonçais être arriver. Des souvenirs me revenais, mon père, ma mère et moi, assis sur notre perrons à discuter de tout et de rien, puis mon père et moi cacher dans la forêt sous notre forme animal pour me calmer avant de me retransformer en petite fille. J'avais oublier cette partie la, j'avais oublier avoir résider dans une réserve similaire, mon père ayant forcer un peu le destin grâce à une de ses amie pour acheter une maison dans la réserve Maka, le règlement semblable à celle ci.

The path of destinyOù les histoires vivent. Découvrez maintenant