L'impossible Idylle

2.

Comme à chaque moment que je quitte mon poste de travail, en fin de journée une énorme envie de sport me viens à l'esprit. Je fais donc un léger signe de tête à mes collègues pour leurs annoncer mon départ. Ayant la possibilité de finir en temps et en heure assez tôt j'en profite toujours par faire du sport. Ma course à pied, me libère l'esprit de mes penser assez parasites et non constructives qui viennent se faufiler, dans mon cerveau tout au long de ma journée.

Quand je me gare enfin dans mon parking sous-terrain de mon immeuble, je souffle un bon coup. Plus que quelques minutes avant la fameuse course du soir. Je m'empresse d'appeler l'ascenseur et de monter au 20 ème étage. Le grand miroir face à moi dans cet immense ascenseur me permet de regarder mon état en début comme en fin de journée. Mes cheveux partent dans tous les sens aujourd'hui. Il me fut impossible ce matin de les discipliner. Le seul moyen technique de les maîtriser fût avec un stylo de mon travail. J'en profite donc pour l'enlever de ma chevelure blonde.

« 20 ème étage »

L'ascenseur indique toujours notre étage. Je sors rapidement de celui-ci et me presse vers ma porte. En enfournant la clef et la tournant, je me voie déjà redescendre pour aller courir dans les rues de cette magnifique ville. En marchant machinalement jusqu'à ma chambre je me rends compte, que l'envie de faire du sport me fais l'effet d'une drogue. A partir du moment où ma journée se fini je n'ai envie que de ça. Elle m'obsède cette course du soir. Mais cela ne m'empêche point d'enfiler mes affaires de me faire un chignon et de descendre en bas le plus vite possible.

Arrivée enfin à l'air libre je laisse la musique m'emporter vers d'autre horizons et mes jambes faire de moi ce qu'elles veulent. Je cours, en faisant bien attention de ne pas me faire écraser et de gêner le moins possible les gens presser dans la rue. Après environs 45 minutes de course je m'arrête acheter une bouteille d'eau chez un jolie petit épicier. Les couleurs fusent de partout et mes yeux ne savent toujours pas où accrocher le regard. Il y a un peu de tout, un peu partout. Un petit frigo qu'on trouve habituellement pendant les matchs de foot se trouve à l'extrêmiser de l'entrer. Tous les produits ici me donne envie. Je mémorise à peu près où je suis actuellement pour revenir un autre jour faire mes emplettes dans ce magasin qui m'inspire tellement.

Après avoir donné ma pièce au vendeur je sors en me demandant où me diriger. Sur certains panneaux je peux lire qu'il y a un grand parc au bord de la Tamise à cinq petites minutes à pied. Je décide donc d'y aller en marchant et aller profiter de cette petite brise du soir qui effleures mes épaules presque nues. Arriver face à cet immense parc j'en profite pour observer le grand panneau face à l'entré. Tout est fait pour les coureurs ici. La piste jeune est la plus simple et la plus rapide. La course noire contient plus de monter et de tournant. Quant à la violette elle semble être celle qui offre la meilleure vue. Tout ce que je recherche. Je ne suis pas loin du quartier des affaires de Londres et je ne m'attendais pas à voir cela vue le peu d'habitation présente dans ce quartier. La couleur des pierres posées au pied de ce chemin ainsi que les rebord peint en violet m'indique assez facilement. Je fini ma bouteille d'eau et décide d'enfin partir. J'ai cette manie à ne jamais regarder devant moi et à observer l'environnement qui m'entoure. J'espère au moins que cette fois ma vue sera satisfaite. Je commence donc des petite fouler et observe des magnifiques arbres fleuris qui entoure le chemin de course. L'explosion des senteurs des fleurs mélanger à l'odeur douce des arbres et de la végétation me font sourire. Après deux petite minutes la vue commence déjà à changer. Je sors de ce paradis des fleurs pour courir au soleil couchant face à ma belle Tamise. J'ai envie de m'arrêter pour observer l'eau s'écouler qui reflètent notre beau soleil ainsi que la couleur magnifique de notre ciel. Perdu dans mes penser et ne pensant seulement à regarder le reflet du ciel je me sens projeter au sol.