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Les méandres de la vie

Ceci est un petit texte descriptif, une nouvelle sans dialogue. Par définition, une nouvelle ne donne pas beaucoup de détails, donc ne vous en étonnez pas dans les commentaires.
Si cela vous tente, reprenez la narration où les trois petits points finaux seront. (...)
Je ne donne qu'une règle, AUCUN dialogue. Il sera de la longueur que vous voulez.
Ça peut être dans les commentaires ou sur votre profil/livre. Pour ceux qui prendront la deuxième option, mettez s'il vous plaît, un lien dans les commentaires. :)

La photo ne m'appartient pas.
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Tranquillement, tout en buvant son thé, son regard se porta sur la pièce et atterrit dans des yeux d'un brun sombre pailletés d'or.
Ses yeux continuèrent leur exploration et enregistrèrent que la pièce était portée vers les couleurs chaudes.
Des filets d'or flottaient au rythme du vent malgré le manque de fenêtres. De grandes voilures orangées cachaient des renforcements. Une fois écartées, on pouvait voir que c'étaient des portes. On pouvait remarquer qu'elles étaient ornées d'arabesques argentées qui semblaient danser entre elles. Au bas des portes, se trouvait soit de l'herbe verte, soit des brindilles jaunes, complètement sèches et prêtes à partir en fumée.
Si on touchait l'herbe, elle semblait s'enrouler autour des mains offertes et devenir plus verte. À l'inverse, les brindilles restaient ternes et ne bougeraient pas d'un centimètre.
Au Nord et au Sud, se trouvait deux fauteuils face à face, l'un était d'un blanc éclatant et l'autre d'un noir de jais.
Tout plein d'objets ornaient les murs, des piles de livres prenaient la poussière dans les coins, certains allaient être ouverts et d'autres ne le seront jamais.
Une lampe à charbon propulsait des couleurs chatoyantes, elle qui se trouvait au milieu de la pièce. Elle semblait ne jamais faiblir au fil du temps qui passait.
Un craquement sourd se fit entendre, une des portes venait de s'ouvrir, révélant...