Tu sais, je ne regrettes rien. Tu as toujours été mon premier amour. Je t'ai donné m'a première fois et je te laisse ainsi ma vie. Je pensais que cela continuerais tu sais ? Je pensais que malgré toutes les épreuves on serait à jamais ensemble. Puis peu à peu j'ai compris, je suis devenu folle. Pas dans le sens folle de toi. Je suis mentalement instable. Tu le savais n'est ce pas ? Je me suis accroché à toi car avec toi, je ne me sens plus mal, je ne suis plus le monstre que mon esprit me fais voir. Tu m'as fais sentir magnifique. Tu as remplie mon cœur de toute tes douces caresses. Évidemment. Je le savais au fond de moi. Toutes les paroles que tu m'as dites ne tiendrais pas. Pourtant, je n'ai jamais été aussi sincère de toute ma vie. Cette nuit, j'ai enfin réussi à pleurer après temps de temps a supporter toute ses douleurs. J'ai eu envie de crier mais, les larmes ont vite sécher et ce mal insupportable dans mon corps m'a a nouveau pris. J'ai mal, j'ai vraiment mal. Mon cœur, ma tête, mes bras, mes jambes. J'ai vraiment envie de ne plus habiter ce corps brisé. Qu'en pense tu toi ? J'ai eu a nouveau envie de te dire je t'aime récemment, d'être a nouveau serrer par tes bras.
- Serre-moi. Encore. Plus fort.
J'ai la gorge nouée, comme si j'allais vomir. Pourtant mon corps sait qu'il n'y a rien a vomir. Ton visage m’empêche de vivre. Il hante mes nuits, ta voix me coupe l'appétit. Je voudrais une solution a tout ça. J'aimerais trouver le moyen de vivre sans toi et en même temps, je ne veux pas de cette option. Je ne veux pas laisser mes amis et ma famille avec ma mort, et en même temps, je serai réellement débarrasser de tout ce que tu me fais ressentir. J'aimerais te faire lire chacun de mes mots, encore et encore. Que tu en pleure.
Mais, ton visage souriant est ce qui me plaît le plus.
J'ai essayer de perdre mon corps dans des fêtes ou ton esprit est perverti. Tu sais, être toucher par quelqu'un d'autre que toi ne me marque pas. Les lèvres des autres ne me correspondent pas, et leur odeur ne me rassure pas. Peut-être que je devrais retourner à l'hôpital, là-bas, il me fessait disparaître du monde, tout les médicaments qu'ils me donnaient m’empêchait de me souvenir. Peut-être que je devrais juste disparaître ? Même en écrivant tout ça, je ne suis pas en pleure. Il y a 2 mois je n'aurais pas réussis à tout écrire sans pleurer durant 30 minutes.
Maintenant, je ne redoute plus les regards des gens. S'il me pense folle, je le suis, s'il me pense horrible, je le suis.
Mais seulement à leurs yeux. Pas au tien. Et c'est sûrement mon seul espoir.
Tu es sûrement en train de penser a des milliard de chose pendant que j'écris ses lignes. J'aurais aimé faire partie de ses choses. Je sais bien, que tu n'as plus rien pour moi. Et ce soir là, je n'ai pas oser te faire de déclaration. Peut-être que ton rejet m'aurait aider a te laisser ? Ou est ce que tout aurais été pire ?
Ce soir là, j'ai beaucoup pleurer. En fait, j'ai pleurer durant deux jours. Puis je me suis décidé a lire ce livre que tu m'as conseiller. C'est horrible a quel point j'ai été submerger de peine. Je me pose tellement de question chaque jour. Je regrette tant de chose chaque jour. Devrais je vraiment mettre fin a tout ça ? N'y a t-il aucun moyen de t'enlever radicalement de ma tête ? Chaque souvenir de toi est comme une lame me transperçant.
Je suis dans une forêt de lame.
Quelle horrible personne je fais. Aux yeux du monde je suis malade. Comme tant de personne. Alors, j'ai une maladie incurable. Les souvenirs. Une dépression, hein ? J'ai beaucoup réfléchis après l'avoir lu. J'ai d'abord penser que c'était injuste. Que j'avais perdue mon trésor. Mais ce n'est pas ça que j'aurais du penser mais, je suis heureuse que tu es pu trouver quelqu'un de mieux que moi. Un trésor qui te mèneras à ton brillant destin.
Tu es sûrement unique en ton genre, couper du monde, musicien et têtu. Tout ses réseaux sociaux sur internet ne t’ont jamais intéresser n'est ce pas ? Tu n'as jamais apprécier le fait que je soit attachée à ça. Mais, j'ai toujours eu ce besoin de m'exprimer, et il me semble que toi aussi tu le fessais, mais d'une manière différente. Alors, aujourd'hui aussi je m'exprime. Tout ses mots, je ne réfléchis pas en les écrivant, tu trouveras ça un peu tache mais, c'est ce que tu me disais.
- Ne réfléchis pas, dis juste les choses.
Alors, j'exprime tout ce que mon petit cœur ne peut contenir. Tout ne me vient pas d'un seul coup. Mais, ne pas dormir m'aide à écrire. Je tomberais sûrement de fatigue dans quelques jours mais pour le moment, impossible de dormir dans ce lit. Impossible de regarder mes murs. Impossible de prendre une douche sans avoir envie de me faire saigner. Tout dans mon appartement me rappelle ton absence. Même quand tu n’étais pas là, ça allait car je pouvais te parler. Maintenant, je n'ai que le vide de mes nuits. L'envie de te poursuivre alors que tu ne veux plus de moi.
Je crois que je suis folle. Que cette passion pour toi n'est pas normale. Je crois que je ne suis plus normale. Cela fait 6 mois. Peut-être que je ne pourrais jamais t'enlever de mon esprit, je ne pourrais jamais oublier tes caresses sur ma peau, ton sourire et ta voix qui m'appelle doucement. Peut-être ne suis devenue qu'un oiseau dans une cage de sentiment.
