On étais un vendredi quinze février lorsque tu vint me voir pour manonssé que tu va déménager vers Narbonne. Cela à était comme si on venait de me donné un énorme coup dans le cœur et qu'il avait voler en des millier d'éclats tranchant, me déchirant la poitrine. Puis les vacances arrivèrent et le jour de la rentrée arriva. Sans toi, comme si rien ne c'était passer. Tu étais rentré dans ma vie pour en ressortir, comme si de rien n'était. Tu revint trois semaines après pour nous dire au-revoir. Je vint te souhaiter un bon aménagement à Narbonne, tout en gardant ce masque que j'avais mis des mois à faire.
Tu m'as dit au-revoir puis je partit car il fallait aller en cours. Je ne te revit plus jamais. Un mois passa, puis deux, puis trois sans que tu ne m'envoi aucune nouvelle de toi, mais j'ais attendu, espèrent que tu pensait à moi. Pour avancer petit à petit je me disais que tu étais sûrement heureux là bas. Tu avais sûrement refait t'a vie, tu étais reparti de zéro pour refaire t'a vie alors que moi je devais avancer seul avec ce poid qui avait réduit mon cœur en un tas d'éguilles de glace dans le noir, tu t'étais sûrement fais de nouveaux amis, et peut être sorter tu avec quelqu'un d'autre.
Mais moi je n'arrivais pas à me relever, à refaire ma vie qui était parti avec toi. Jamais je ne pourrais refaire ma vie, jamais.
Car ma vie c'était, toi.