« No, you don’t go out »… « Non tu ne sortiras pas »… Ces paroles revivent en moi, je les entends pour la seconde fois. A croire que je n’ai pas compris la leçon. Encore une fois j’entends la voix stricte de ma mère prononcer ces paroles, et me sortant de mes pensées : « If you do that, you can make your bag for go to live at your home father’s »… « Si tu fais cela, tu peux faire ton sac pour aller vivre chez ton père »… Et d’un coup ces menaces ! Si dangereuses ! … Non… Je ne veux pas aller chez vivre chez lui… Pas chez mon père… Mais je connais trop ma mère et je sais qu’elle ne le fera pas… A quoi servent les menaces si elles ne sont pas réalisées en cas de désobéissance ? Ce sont des menaces en l’air, une promesse qui ne se réalisera jamais, une sorte de dû jamais donné.
Et d’un coup l’adrénaline parcourt mes veines en une milliseconde et ces mots sortent de ma bouche avant même que j’ai réfléchit à ce que j’allais répondre : « You’re wrong, I go out »… « Tu as tort, je vais y aller »
Elle me regardait avec des yeux noircis par la colère que lui avaient procurée mes mots crus. Pendant une fraction de seconde je me remis en question, puis elle dit en détachant chaque syllabe de chaque mot : « No, You don’t go out »… Ma remise en question s’évapora. Je ne pensais plus qu’à moi. Si je voulais sortir, pourquoi m’en empêcherait-elle ? Si je veux sortir je sortirai et elle ne pourra pas m’obliger à rester. La colère s’empara de moi. Une sorte de rebelle en moi me disait de ne pas me laisser faire ; et je l’écoutais. «I go ! » J’avais crié ces mot à la base neutres voir joyeux et les avaient rendus violents, méchant, rebelles… C’est ça : j’étais devenue rebelle. Après ces dernières paroles elle répondit « If you do that, you… » Je ne lui laissai pas le temps de finir et sortis en claquant la porte derrière moi.
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