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Sonam:  maman s'il te plaît calme-toi un peu ça fait maintenant 5 mois que Mehek  a été déclarée morte mais tu continues de pleurer.

Kanta: tu comprendras ma douleur que lorsque tu seras mère. La douleur d'une mère quand elle perd son enfant ne peut s'effacer aussi facilement.

Sonam : oh  maman je m'inquiète beaucoup pour toi tu risques de tomber malade si tu continues ainsi. Dit elle en prenant sa mère dans ses bras.

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:  Miria tu ne vas donc plus manger?

Miria: oui tout ce qui pourrait me faire changer d'avis et le retour de mon fils. je veux que mon fils revient. Dit elle avant de balancé le plateau que sa soeur lui avait envoyé.

Les deux femmes n'arrivaient pas à accepter la perte de leurs enfants. Ce terrible accident a complètement bouleversé la vie.

Miria: je veux que mon fils revient. Hurle t'elle en pleurant.

Kemal et Mehek avaient dis au revoir à Mona et au petit Ravi depuis deux heures. En ce moment ils étaient dans un car qui les ramenait à Delhi.

Mehek était encore très fatigué, elle reposait sa tête sur l'épaule de Kemal qui lisait un journal histoire de ne pas s'ennuyer.

Le car s'immobilisa vingt minutes plus tard pour une pose.

Mehek: on est arrivé ? Demande t'elle avec une voix encore endormie.

Kemal: non on fait une pose et on reprend la route. Tu veux quelque chose?

Mehek: juste de l'eau et de quoi grignoté s'il te plait. Dit elle en se frottant les yeux.

Kemal: d'accord je reviens.

Il descendit du car et se dirigea vers le petit marché.

Pendant ce temps deux femmes qui étaient assises derrière la jeune femme entretenaient une conversation qui attira l'oreille de Mehek ou Marion.

Première femme: n'était ce pas Kemal singh?

Deuxième femme : oui mais c'est bien lui.

Première femme: oui je croyais qu'il était mort. Toute la press ne faisait que parler de sa mort il y'a cinq mois.

Deuxième femme : mais apparemment il est bien vivant.  Je n'ai jamais cru à cette histoire. La press ne fait que raconte des bêtises pour avoir de l'argent.

Première femme: ou il voulait seulement faire le buzz.

Kemal: tiens des beignets et de l'eau.

Mehek: merci beaucoup.

Il s'assit et le car reprit sa route. Durant le trajet le regard de la jeune femme était perdu et Kemal l'avait remarqué.

Kemal: qu'est ce qu'il y'a ?

Mehek: j'ai entendu une conversation entre deux femmes quand tu es sorti.

Kemal: et ? Qu'est ce qu'elles ont dis?

Mehek: que tu avait été déclaré mort il y'a cinq mois par la press.

Kemal: c'est vrai je le sais déjà. J'étais appelé mon ami pour qu'il sache que nous sommes vivant et il m'a raconté ce qui se passait, alors ne t'inquiète pas. Tout va rentrer dans l'ordre bientôt. Dit il en lui caressant la joue.

Mehek: je l'espère. Dit elle moins angoissée à présent.

Quelques heures plus tard ils étaient arrivés.

Kemal : enfin. Dit il en s'etirant après qu'ils soient sortis du car.

Marion quant à elle tournait sur elle même pour visiter les lieux. C'était la première fois pour elle de se trouver dans cette gare.

Kemal: qu'est ce qu'il y'a, tu ne reconnais pas les lieux Mehek?

Mehek: si, bien sûr que je le reconnais. Mentit elle. C'est seulement que ça fait longtemps et je ne veux pas qu'on se sépare. Dit elle avant de tomber dans ses bras.

Étonné, il resta quelques secondes sans bouger avant de répondre à son étreinte.

Kemal: Mehek, Mehek. Écoute nous devons retourner chacun dans sa famille. Dit il en lui caressant la joue avec un ton doux pour qu'elle puisse comprendre.

Mehek: je veux rentrer avec toi. Pleurniche t'elle. S'il te plait amène moi avec toi.

Elle tomba encore une fois dans ses bras et le serra fort avant qu'il n'accepte.

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Pendant ce temps, chez les Singh, Émir le meilleur ami de Kemal y était et attendait sagement le retour de son meilleur ami.

Quand il avait entendu la voix de son ami quelques auparavant, il n'avait pas cru, il cru que ses oreilles et tous ses autres sens lui faisaient défauts.

À présent il croyait et attendait son retour avec impatience alors que personne ne savait pourquoi il était là.

Émir : bonjour maman.

Miria: bonjour mon fils, comment est ce qur tu va?

Émir : bien maman, je vais bien. Et toi comment est ce que tu te portes?

Miria: par la grâce de Dieu je me sens bien aujourd'hui,mais dis moi ,où  est ce que tu étais pendant tout ce temps? Dit elle en le serrant dans ses bras. Tu m'as tellement manqué.

Émir : toi aussi maman. J'ai été à un voyage d'affaire.

Miria: d'accord viens on va prendre le thé et discuter.

Ils se dirigerent dans le salon, lorsque le gardien couru dans la maison en criant le nom de sa patronne.

Gardien: madame, madame!

Miria: maandar, qu'est ce qu'il y'a ?

Maandar: venez voir, venez. Dit il en souriant à la vieille dame.

Miria : qu'est ce qui se passe?

Émir : allons y voir. Dit avant de la conduir vers le grand portail de la cour.



Kemal: on est arrivé.

Marion: j'ai peur, Kemal.

Kemal: shut, tout va bien se passer.

Les événements d'il y a deux lui reviennent en mémoire. Du jour où elle a mit ses pieds dans cette maison, jusqu'à l'accident et elle commença à avoir le vertige.

Miria ne croyait pas ses yeux. Il était bien là, il était vivant . Les dieux avaient entendus ses prières.

Miria: Kemal. Dit elle avant de s'évanouir.
Et Émir la rattrape, mais bien avant de le voir, Marion l'avait vu avant et elle était tombée dans les pommes.

IMPUISSANT 2( Kemal et Mehek )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant