Stephen Ambrose :
Je fesais partie de la Easy company , c'était le 2 ème bataillons du 506 ème régiments d'infanterie parachutée de la 101 ème division aéroportée américaine. J'étais adjudent-chef.
Au cours de notre repos à Mourmelon, nous avons appris l'offensive lancée en Ardennes par les Allemands.
Donc nous avons été envoyer vers le mois de décembre 1944 à Bastogne avec pour mission de prendre tout les carrefours importants. En l'espace de quelques jours ont c'est fais encercler par l'ennemi. Dans des conditions extrêmement difficiles causées par l'hiver particulièrement rigoureux , à près de -30°. Après les incessants pilonnages de l'artillerie ennemie, ont est parvenu a tenir leurs positions autour de Bastogne.
Après une courte période de repos dans la ville, ont est repartis au combat , il fallait prendre contrôle du Bois-Jacques, au nord de Bastogne, cette bataille à durer entre le 21 décembre et le 13 janvier 1945.
A peine nous sommes arriver notre chef de section , nous a ordonner de creuser des trous. Ont savaient tous ce qui allais nous attendre. Des bombardements ennemis et surtout des grosses pertes. Alors chaque groupes de deux personnes creusaient , chacun apportaient des bois d'arbres , personnes se parlaient.
La première semaine ont avançaient vers la ville de Foy , elle était en contrebas du bois-Jacques. En une semaine nous avons avancer sur toute la longueur du bois. Ont avaient peu de résistance.
De la où ont étaient ont voyaient les Allemands. Vers le début de la deuxième semaine , ils ont commencer a nous bombarder avec leurs 88. A partir de ce jour , ils n'ont plus jamais arrêter , même pour la fête de Noël.
Le 5 janvier , ont a été attaquer par leurs lourds tirs d'artillerie. Ce jour là , c'était un cauchemar. Avant la guerre j'aimais faire péter des bouteilles , toutes sortes de choses. Mais je peux te dire que rien ne ressemble a ça , les tirs sont forts , chacun te rends pratiquement sourd. Pendant les bombardements je rigolais sans savoir pourquoi , j'aurais pas rigoler si je savais ce qu'il étais arriver à Joe Toye. Il s'était fait toucher par l'explosion d'un obus. Il cria directement à l'aide , seul Bill Guarnere et Buck Compton l'entendèrent. Bill disa à Buck :
- " Laisse , j'y vais ".
Donc Buck le laissa. Alors qu'il le trainait pour le ramener a un endroit sur , un obus explosa devant eux , Bill perda sa jambe droite. Buck resta traumatiser et fût obliger de quitter la compagnie. Les deux autres fût amener a l'hopital de Bastogne.
Charles Montgomery et moi avons eu de la chance , à deux mètres de nous un obus tomba sans exploser , il resta figer à l'horizontale , projetant un peu de fumer. Nous nous regardions appeurer et heureux de ce qu'il venait de ce passer. Oubliant tout en deux secondes. Il faut dire que c'est le destinct , le notre n'explosa pas mais celui de Bill et Joe leurs explosa en pleine tête.
Au matin du 13 janvier , ont a reçu l'ordre du quartier général de prendre la ville de Foy. Il fallait faire vite sinon ont continueraient a ce faire bombarder et a perdre des hommes. C'est nous la Easy company qui devont donner l'assaut. Les Allemands nous tiraient dessus avec leurs MG-42 depuis les greniers , certains SS étaient au Sniper , mettant hors de combats des camarades , c'était dur , le combat ne ce terminaient jamais.
Notre chef à été tuer d'une balle dans la tête , on sait retrouver sans aucun commandant , si le chef venait à mourir c'était moi qui devait donner des ordres donc j'ai pris la releve , j'ai dis à mes soldats d'avancer jusqu'à l'église et de nettoyer l'intérieur , sans savoir si c'était une bonne décision , mais c'était la bonne. Mes hommes ont faits leurs missions avec succès. Part la suite j'ai su que la décision avait sauver plus de 50 soldats et qu'aucun autre chef avait penser à cette méthode.
Au cours de l'avancée de la compagnie, notre lieutenant Norman Dike perd le contact avec la deuxième section et stoppe la progression en plein milieu , séparant le bois du village. Pris de panique , Dike se révèle incapable de suivre les ordres transmis à la radio par Winters qui lui dit de faire avancer les troupes pour ne pas rester immobile sous le feu ennemi. Winters relève alors Dike de ses fonctions et envoie à sa place le premier-lieutenant Ronald Speirs qui prend la direction de l'assaut et le mène avec succès.
Les Allemands avaient capituler , ont a fait 250 prisonniers. Un ennemie était retrancher sur le toit d'une maison , il avait un sniper , tuant 3 hommes en pleine tête dont le capitaine Taylor.
Le soir nous étions tous à l'intérieur de l'église , le seul bâtiment étant toujours debout de la ville , des soeurs étaient là , chantaient pour nous remonter le morale. En étant adjudent-chefs je devais compter les pertes. Ils étaient lourdes , sur 155 soldats , seuls 62 soldats ont survécus. Dont 4 étant faiblements blessés.
Le major Winters vena me trouver et m'annonça :
- " Le colonnel Sinck m'a dis qu'il allais grader un adjudant-chef , qui a pris de bonnes et l'une des plus grande décisions durant cette bataille et je l'ai approuver. Visiblement tu ne vois pas de qui je parle ? "
- " Non. "
- " Je parle de toi....Félicitations lieutenant. "
J'étais devenu lieutenant , je devais veiller a ma section. Une des missions les plus difficiles de la guerre.
L'offensive des Ardennes étant finis , nous étions déplacés vers la France.
Près de 93 soldats étaient tombés dans ce bois , à des températures fesant aucune pitier aux combattants , un record. Un bois ayant l'apparence d'un cimetière. Autant de morts pour libérer une ville dont aucun citoyens n'étaient présent , tout cela pour la reprendre aux Allemands mettant la terreurs depuis 5 ans. Mais au final les frères d'armes l'ont vaincu.
VOUS LISEZ
La bataille des Ardennes raconter par un soldat
Historical FictionDans la fôret belge , à temperature de -30° . Le lieutenant Stephen Ambrose doit tenir ça position depuis la dernière contre-attaque Allemande , avec 155 hommes à disposition. Mission : Prendre la ville de Foy où plus de 400 Nazis lourdements armés...