chapitre 18

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Coucou bonjour

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Pdv Alvarez Poloshkia

J'observais silencieusement et en retrait la scène face à moi tipique à celle de la bonne petite famille et j avoue fortement que je ne me sentais en rien dans mon élément, dans mes habitudes, mon "confort" . Cela ne me ressemblais pas. Alors c'est sans plus tardé que je mis fin à mon repas et me leva afin de sortir au plus vite de cette endroit me maudissant avoir songer m y faire a cette situation.

- Tu t en vas déjà ? Me questionna tristement ma Sœur.

- Oui, j ai un rendez vous tres important et je serai bientôt en retard mentis-je. Mais t inquiète je ne tarderai pas

- comment ça tu ne tarderas pas Alvarez ! Dans 5 minutes il sera 20h reste donc et tu travailleras demain Dit- elle bientôt en colère

Je souffla... Il fallait à tout pris que je me change les idées. Je ne répondis rien sachant bien-sûr qu elle ne me parlera plus pendant un bon bout de temps suite à mon acte et quitta la pièce sans prêter attention à la population, en passant j embrassa le sommet de son crâne afin d attenuer sa colère et esperant que cela ai marché.

Je sors donc de la demeurre d un pas déterminé et entra sans plus tardé dans mon aventador -média- qui me servait de déplacemeent. Ce petit bijou m a coûté "cher", fin façon de parler, mais il en vallait la peine. En effet je trouvais que cette voiture était à mon image....

Aussi sombre à l intérieur qu'a l extérieur, de petite lumière vif dans les coins qui accentuais son aspect dangereuse. Un moteur aussi silencieux que l etait son vehicule mais tout aussi puissant. Oh oui que j aimais cette bête.

À peine assis le cuire noire confortable du véhicule me mis à mon aise. Je pris les gant se trouvant sur le siège à ma droite et les enfila afin d être plus à l'aise. J alluma le moteur de la voiture et le vrombissement de ce dernier fis naitre en moi une sorte de montée d adrenaline comme a son habitude.

Que c'est bon. C'est ainsi que je roula en pleine nuit en direction de nul part, les pensées loin de cette femme, de mes affaires, de mon monde noire...

Pdv Rosa Poloshkia

20h... Comment quelqu'un de normale pouvait mettre fin a un repas sans problème alors que tout ce passait si bien. Je connais Alvarez,je sais qu il n avait rien de prévue. Genre lui, le grands Poloshkia comme on le dit si bien oublie une affaire "importante"

LOL.

Il ne se sentait tout simplement pas à son aise c est évident et j avoue que pour ca je ne lui en voudrai pas. Car depuis tout petit nous n avons pas grandis avec cette ambuance de bonne petite famille qui mange ensemble, forcement Alvarez s est habitué à la solitude et pour seule compagnie la mienne, vous vous demandez sûrement' comment il faisait avec sa femme auparavant ?. Ils ne vivaient même pas ensemble, Alvarez ne le souhaitait pas et d ailleur je ne sais pas si il aimait vraiment. J avoue que jusqu'à présent ça me fais peur...

Je sais que mon frère à un bon coeur mais il est ronger par une haine personelle et je ne sais pas qui en ai le fruit, ca me fais mal de le voire ainsi. Certe Alvarez avait toujours cet air dangereux mais quand nous grandissions il avait cette lumiere dans le regard et  cette joie dans sa voix que je ne retrouve plus chez l homme d aujourd'hui.

Alvarez n a d'yeux que pour moi. Je ne sais pas si je devais en être flatter parce que je ne le suis même pas un peu . Surtout apres la mort de sa pretendu epouse qui portait son enfant.

Je ne l aimais pas plus que ça non elle ressemblait tout simplement à toute les femmes de hautes société que nous rencontrons sans cesse mais en moins "garce" et que son âme repose en paix. Elle était brune aux yeux noisette un corps svelte normale de mannequins et j en passe. Je ne connais pas parfaitement la cause de sa mort mais dans notre monde, tous les malheurs qui nous tombent dessus sont liés aux ennemis de Alvarez et autres du genre

Déteste Moi {Terminée}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant