Déteste Moi {Terminée}

chapitre 33

Coucou Bonjour

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PDV Alvarez Poloshkia

Elle ne cessait pas de pleurer et moi de la serrer dans mes bras en' lui promettant que je les retrouverai. Je ne pouvais cacher cette colère en moi car ces enfants commençaient, malheureusement à prendre une place considérable dans mon être.

Alors quand Rosa m'a dit qu elle a été à leur recherche tout cet aprèm pour au final m informer de la situation à 21h je ne vous cacherai pas la haine que j ai eu envers elle, et j avous que je n ai pas contrôlé mes dires. Ma réaction m etonne même car ce ne sont même pas mes enfants... Mais je ne sais pas.

Subitement Ziria me poussa et quitta le lit en faisant les cent pas dans toute la chambre et repetant des mots à peine audible, sans arrêter de pleurer. Je me leva à mon tours et quand je posa ma mains sur son épaules afin qu elle se calme, le cris qu elle poussa me fit reculer

- ne me touche pas ! Cris t elle, les larmes innondant son visage meurtri.

Elles devaient vraiment aimer ces enfants... Et je ne sais pas pourquoi une douleur se figea au creux de mes reins, une douleur forte de la voire ainsi

- Ziria je t en pris la panique n arrangera rien, je te promes que nous les retrouverons. En attendant qu une voiture vienne a nous. J ai déjà envoyé des centaines d homme. Je connais la Russie du bout de mes doigt et tout le monde me craint la personne ou les personne qui ont oser faire ça payeront tres cher je te le promes

Je dis en me rapprochant de nouveau vers elle. Elle etait adossée au mûr et glissa afin de s assoir a terre le regard vide

- Il faut que je les retrouve Alvarez, on doit y aller !

Je m assis également à même le sol et je ne sais pas pourquoi entrelaça nos mains. Elle se laissa faire, les larmes coulant toujours sur ses joues.

Et je jura intérieurement de faire payer à cet individu le fait d avoir fait pleurer ma femme !

Ma femme ?. Qu'est ce que je raconte.

- Alvarez imagine dans quelle conditions ils sont.. Ma petite fille, et mon bébé mon Dieu ils doivent être effrayé. Elle dit la voix tremblante. Pitié Seigneur tout sauf eux

- Ziria il ne leur arrivera rien j..

- mais comment sais tu !. Elle cris de nouveau enlevant sa main de la mienne  et s eloignant de moi.

Je n aimais pas du tout ça

Alors je me leva bien déterminé , me plaça devant elle et lui saisi fortement les apaules, elle tenta de se debattre mais quand elle compris que c'était peine perdu elle arrêta. Je fixa donc mon regard sur elle afin de bien lui faire assimiler mes dire. Et je suis sûre que mon regards était dangereux et plus noire... Je le sais.

- ecoute moi bien. Je te promes sur tout ce que j ai de plus precieux que je retrouverai les enfants. Personne ne leur ferra de mal je te le jure sur mon nom. Ou je ne m appelle pas Alvarez Poloshkia.

Suite a mes dire elle ferma ses yeux un moment avant de les ré-ouvrir plus sereine.

- merci . Elle me chuchote une lueur brillante dans le regard

Instectivement je la pris dans me bras et sentis ses muscles se detendrent. Elle était fatiguée...

Je ne sais pas pourquoi mais je la porta comme un enfant, elle se laissa faire et je la deposa delicatement sur le lit. Je m allongea pres d elle et c'est dans un silence complet que nous nous regardions dans les yeux. De mon pouce j essuya les quelques larmes sur son visages et lui promis une dernière fois de retrouver les enfants. Suite à ca elle ferma les yeux sombra enfin dans un sommeille j'espère profond.