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« Chère mère, cher père,
Comment allez vous aujourd'hui ? Pour ma part, je vais très bien. J'ai eu une augmentation la semaine dernière, mes collègues sont adorables. Le chef Hotori, mon oncle, s'occupe très bien de moi.
Je suis encore sur une affaire assez délicate, mais ne vous en faites pas, je serai prudente.
D'ailleurs je vais avoir un nouveau partenaire, j'ai pas plus d'informations, mais j'espère que nous nous entendrons bien.
J'espère que vous êtes heureux et que vous gardez tout de même un œil sur moi. Vous serez à jamais dans mon cœur.

Je vous aime,
Yona »

Une fois la lettre terminée, Je me dirige vers le cimetière où repose mes parents.
Une fois arrivée, j'ouvris une boîte en bois où se trouve de nombreuses lettres. J'en dépose une nouvelle.

Sur le chemin du retour. J'entendis un cri provenant d'une ruelle. Tous mes sens se réveillent et approchât de l'origine du fameux cri.
Je vit un corps sans vie gisant sur le sol, sur celui-ci se trouve une rose noir.
Je compris aussitôt que ce n'était pas un accident, mais bel et bien un meurtre. Le tueur est un assassin connue de mon agence, personne n'a été proche de découvrir son identité.

Je sentie une ombre menaçante passée derrière moi. En un clin d'œil, je me tourne et vois cette même ombre sur le toit des maisons.

Je décide donc de la poursuivre.
En la poursuivant, je parviens à avoir un collègue au téléphone.

- Venez, je suis ruelle B74, je suis à la poursuite de la Rose noire, dis-je

- Eh Yona attends avant de passer à l'ac...

Pas le temps d'écouter la fin de sa phrase, je réunie toutes mes forces à le poursuivre.

Je le vois descendre dans une ruelle opposée, je décide de le suivre, c'était une mauvaise idée...

Il m'attrapa et me bloqua contre le mur et il met une lame tranchante sous ma gorge. Je pouvais à peine respirer, j'étais dans une mauvaise posture, il le sait, je le sais.

Nos regards se croisent. J'ai pu voir
ses yeux, ses yeux dorées. Ils sont aussi beaux que la Lune et aussi claire qu'une cascade d'eau.

Pendant une seconde j'ai pu apercevoir de la surprise dans ces mêmes yeux, juste une seconde. Car un instant après, les sirènes de police commencent à s'entendre.

J'ai étais surprise. Et mon attention n'était plus sur mon ennemie.

Je sens mon corps se relâcher, je peux à nouveau respirer correctement. Et Rose noir n'était plus là.

Rose noirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant