CHAPITRE 7:

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Elle tourne les talons et sortie. Les larmes coulent le long de mes joues. Elle a peut être raison, je vais perdre. Je met mes mains sur mon visage et je pleura en silence. Ça ne serre a rien que je reste ici. Je descendit de mon lit et prépara mes affaires. Quand toute mes affaires sont dans ma valise, je m'habille, prit ma valise et sortit. Je marche le long du couloir, ma valise a la main. Au bout du couloir, je vois Sebastian. On dirait qu'il m'attend. Quand j'arrive au bout du couloir, à coter de Sebastian, je vois Ciel et Sieglinde.

Moi: Qu'est ce que vous faites la ?

Ciel s'approche de moi.

Ciel: Tu t'en va ?

Je baisse la tête.

Moi: Oui, faut que je retourne chez moi...

Les larmes me montent aux yeux, je remarque Sieglinde sourire. Vivement que je la revoie pas celle la. J'ai passer que 3 jours ici. Mais après ce qu'il s'est passé, je préfère m'en aller. Sieglinde s'approche de moi.

Sieglinde: Oh non, tu pars si vite ?

Je lui lance un regard noir.

Moi: Oui.

Ciel me lança un regard noir et serra les dents.

Ciel: D'accord, tu peux t'en aller maintenant !!

Il a dit sa d'une façon froide comme avant. Je tourne les talons vers la porte.

Sebastian: Quand j'ai appris que vous partez, j'ai prévenu un carrosse pour vous, il vous attend.

Ciel: Il ne fallait pas, elle serait bien capable de retourner chez elle en marchant !

J'écarquille les yeux, comment il peux me dire ses choses. Il est froid, je vois bien qu'il est en colère mais après ce qu'il s'est passer je peux pas rester ici, si tu savais Ciel. Je tourne ma tête pour le regarder, il pris un sourire faux.

Ciel: Sieglinde, j'accepte de te donner une chance.

En disant ces mots, il l'a pris par la taille. Je suis détruite, j'ai officiellement perdu. Sieglinde, toute souriante. Je me retourne.

Moi: Au revoir Ciel, je te remercie pour ce séjour et je vous félicite pour votre relation.

Je pris la poignée de la porte, l'ouvre et sortie en courant vers le carrosse. Je ne me retourne pas pour le regarder, je ne fais rien car je savais que sa allait me briser le cœur. Je monte dans le carrosse sans lancer de regard au manoir Phantomhive. Le carrosse commence à rouler. C'est bon je suis partie. Les larmes coulent le long de mes joues. Il sort avec Sieglinde, je n'ai plus aucune chance. Il commence à pleuvoir. Peut être que le ciel est triste pour moi... je m'endormie. Quand je me réveille, on étais arriver chez moi, ma domestique étais là pour m'accueillir. J'essuie mes larmes et je courus vers elle.

Domestique: Bon retour parmi nous !

Ma domestique remarque que j'avais pas la joie de vivre. Elle me prit par les épaules.

Domestique: Vous avez dû faire un long voyage, Medmoiselle, venez vous reposer.

Je l'a suivis, j'installe mes affaires dans ma chambre et je me jette dans mon lit. Une semaine s'est passer. Pendant la semaine, je ne suis pas sortie, j'avais peu d'appétit et je ne répondez à personne même à ma domestique. Soudain, ma domestique frappe à la porte.

Domestique: Medmoiselle, vous devriez sortir pour prendre l'air, vous n'êtes pas sorti de la semaine et si vous restez ainsi votre santé va en prendre un coup.

Moi: Je ne veux pas sortir.

Domestique: Comme vous voulez, Medmoiselle.

Elle partie. Je me sens si mal, je suis en train d'entrer dans une dépression. Soudain, on re frappe à la porte. Je lève la tête, sa fait 2 fois d'affilé..

Domestique: Medmoiselle, quelqu'un veut vous voir.

Moi: Je ne veux pas de visite !

???: Laissez moi entrée maintenant !!

Qui est ce ? Qui dis ses mot à ma domestique.

Domestique: Mais vous pouvez pas entrer.

???: je n'en peux plus !

Soudain, la personne en question entre en furie dans ma chambre. C'était Sieglinde.

Domestique: Désolé Medmoiselle ! Je n'ai pas l'en empêcher !

Je fis signe à ma domestique de partir. Ma domestique s'en va. Sieglinde s'approche de moi, le regard plein de tristesse.

Moi: Pourquoi me rend tu visite, tu veux me narguer de ta relation avec Ciel ?!

Elle s'assoit sur mon lit.

Sieglinde: Non loin de la, je viens discuter avec toi.

J'installe un air interrogateur.

Moi: Pourquoi ?

Sieglinde: Écoute, je sais que j'ai pas été très sympa avec toi mais je veux te demander de revenir au manoir Phantomhive.

Moi: Quoi ?! Hors de question !

Sieglinde: Faut absolument que tu reviennes Elizabeth ! Car depuis que tu es parti, Ciel m'a accorder une chance mais il me renvoie toujours bouler, il est froid et distance, il est toujours enfermé dans son bureau, il ne veux même pas de moi, on s'est même pas embrassé et autres...ect. Et sa c'est depuis que tu es parti.

Je suis choqué, s'a la vraiment touché. C'est pour sa qu'il m'a parler comme sa car je l'es blesser en partant et il est sortie avec Sieglinde pour que je reste par jalousie. Je m'en veux tellement.

Moi: C'est d'accord, je reviens.

Elle souris de toute ses dents.

Sieglinde: Merci Elizabeth !

Je prépare mes valises. Je m'habille et je préviens ma domestique que je pars au manoir Phantomhive. Elle étais heureuse car elle voyait enfin bouger de ma chambre. Je monte dans le carrosse avec Sieglinde et on y va ! Quand on arrive au manoir, j'ai une boule au ventre. On arrive devant la porte et Sebastian nous ouvre.

Sebastian: Bon retour parmi nous, Elizabeth.

Je rentre et Sieglinde me guida à son bureau. Quand on arrive devant la porte du bureau de Ciel, Sieglinde me laissa. Je respire abondamment, mes mains tremble et je frappe. Ça y est je l'es fait ! J'entends une voix froide.

Ciel: Entrée, si c'est Sieglinde, tu peux repartir à tes occupation pour éviter de me déranger !

J'entre et je vis Ciel avec des cernes et les visages pale. J'aurai pas dû partir, j'aurai dû rester avec toi.

Moi: Bonjour Ciel !

Il lève la tête, il écarquille les yeux et se leva.

Ciel: Lizzy ?

Je fais un pas en avant.

Ciel: N'approche pas !

J'écarquille les yeux, il doit m'en vouloir. En même temps je comprend. Je me retourne vers la porte.

Ciel: C'est moi qui vais venir vers toi !!

Je tourne la tête vers lui et je souris, les larmes aux yeux. Il s'approche de moi, il marchait difficilement et soudain il perdit l'équilibre par la fatigue.

Moi: Ciel !

Je cours vers lui avant qu'il touche le sol. Je l'attrape et m'agenouille par terre, je pose sa tête sur mes genoux.

Moi: Ciel, tout va bien ?

Il ouvre les yeux.

Ciel: Ce n'est pas un rêve, tu es bien là.

J'eus les larmes aux yeux.

Moi: Oui, je suis là Ciel. Tu sais, je t'ai dit que je t'abandonnerai jamais !

Ciel....je veux être avec toi !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant