Chapitre 18 : Trop bu. Beaucoup trop. - 🍋🔞

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"JOYEUX ANNIVERSAIRE LUCIE !"

Après les remerciements de Lucie, et les bougies soufflées sur le gâteau qu'on lui a apporté, la musique reprit de plus belle. Et c'est reparti comme en 40, tout le monde se remit à discuter, boire, manger, et danser. D'ailleurs, y'en a un qui dansait mais je crois qu'il se faisait électrocuter en même temps vu sa façon de bouger. D'un autre côté, on pouvait voir, enfin, imaginer que les vomissements commençaient à arriver. Les filles qui tenaient les cheveux de leurs amies pour ne pas les salir, les gars qui se foutaient de la gueule de leurs potes et les prenaient en photo pour les dossiers... Enfin bref, c'est la fiesta, quoi.

Moi je n'ai pas encore eu de problème. Je suis juste allé pisser deux ou trois fois, d'ailleurs j'ai jamais autant pissé en une soirée. Bref, je restai avec Baptiste on discutait et on bougeait un peu dans le rythme de la musique. Je sentais la fatigue arriver, lentement, mais sûrement, mais encore, je n'étais pas encore à plat. Ce qui est sûr, c'est que plus la soirée continuait, plus j'avais envie de sauter sur Baptiste et de l'embrasser. Je pourrai le faire, et tout remettre sur le compte de l'alcool, mais bon, en repensant à mon rêve de la dernière fois, je me dis que bourré ou pas, si Baptiste en venait à la même réaction, ça serai un coup dur pour moi.

- Baptiste (faussement charmeur) : Bon Quentin, tu veux danser avec moi ?!

OUI ! OUI ! JE L'ATTENDAIS CETTE PHRASE, MAIS J'EN AI RÊVÉ ! DE TOUTES LES COULEURS, EN TOUTES LES LANGUES ! MAIS C'EST OUI BAPTISTE !! OUI, JE LE VEUX !

- Quentin (sûrement en train de rougir, vu comment il est d'habitude) : Avec grand plaisir, Baptiste ! Mais d'abord tu m'accordes une faveur ?

- Baptiste : Tout ce que tu veux.

- Quentin : Bois une autre bière avec moi !

- Baptiste : Ah bah je te suis toujours ! Mais après on va direct danser !

- Quentin : T'inquiète, j'oublierai pas !

Alors qu'on commencait à boire nos bouteilles de bières respectives, je lançait un défi à Baptou :

- Quentin : Baptiste, le premier qui finit sa bouteille, gagne.

- Baptiste : Je relève le défi, mais celui qui gagne, il gagne quoi ?

- Quentin : Hmmmm, le perdant est le serviteur du gagnant pendant toute la semaine de la rentrée.

- Baptiste : PRÉPARE TOI À PERDRE. 3, 2, 1, GO.

On but à grande gorgée la contenance de nos bouteilles. Je devançait Baptiste il me restait la moitié à boire alors que Baptiste devait encore boire les deux tiers de sa bouteille. Je continue de boire, il me reste plus qu'un quart. J'étais toujours devant Baptiste alors qu'il lui restai le tiers.

Je me sentais safe, je voyais déjà les gages que j'allais donner à Baptiste pendant tout une semaine se rapprocher de moi. Soudain, Baptiste termina sa bouteille sur un cul sec de la mort qui tue. MAIS NON !

- Baptiste : Fini !

Il ne me restai que deux gorgées ! Les gages ! Partez pas ! Revenez vers moi !!

- Quentin : Mais ! ... Comment ?

- Baptiste (fier de lui) : Rien ne sert de courir, il faut partir à point. Bon maintenant on va danser, mon petit toutou ?

- Quentin (bouche bée) : ...!

Soit. Nous allons donc danser, j'étais divisé entre la haine occasionnelle que j'avais pour Baptiste, et la joie de danser avec lui. OH MAIS !!!!!! LA MACARENA !!!! Je vais lui montrer mes talents !

Alors que nous étions en train de danser sur la macarena, je sentait que ma tête commençait à tourner, j'avais chaud. J'essayais de réduire mes mouvements, je ne voulais pas arrêter de danser avec Baptiste. Soudain, je me sentai partir. Tomber, m'évanouir.

Baptiste me rattrapa aussitôt. Je voyais son visage. Son beau visage de prince. Il me demandai si ça allait. Je lui répondit que tant que j'étais dans ses bras tout serai parfait pour moi. Il se pencha pour m'embrasser. Il se stoppa net, comme si une idée lui était parvenue. Il me porta dans ses bras, marcha, puis monta des marches. Je comprit alors qu'il allait à l'étage. Il ouvrit une porte, puis la ferma derrière lui. Puis il me posa sur un lit, en se jetant sur moi. Il m'embrassa, d'abord surpris, je lui rendit ensuite son baiser. Par la suite, Baptiste n'arrêtait pas de m'embrasser langoureusement. Sur la bouche, sur le front. Puis ensuite, il me fit gémir en enfonçant ses lèvres dans mon cou à plusieurs reprises. Mais qu'est-ce que j'ai chaud, my god.

Baptiste se décida enfin à enlever son haut. Ce qui m'offrait une vue superbe sur son torse musclé. Il défit ensuite étape par étape les boutons de ma chemise. Il me fit tourner pour que je me retrouve allongé à califourchon sur lui. Il en profita pour ôter ma chemise pour de bon cette fois.

J'en avais rêvé de ce moment. Moi, allongé sur lui, laissant mes mains libres de se balader sur son torse d'apollon. Je me penchai, pris son visage dans mes mains, puis l'embrassa langoureusement. La plus belle pelle de ma vie.

Je me redressai. Maintenant assis sur lui, je fis exprès d'exagérer mes mouvements pour faire gigoter mon bassin sur ses hanches pour le faire gémir. À ses gémissements se rajoute le membre de Baptiste que je sentait durcir sous son jean, ce qui me fit aussi bander. Intérieurement, j'avais peur pour moi si l'on devait aller plus loin car son membre avait l'air assez gros. Jusifiable par sa taille de base.

Baptiste se décida enfin à déboutonner mon jean et à ouvrir ma braguette. Il passa sa main sur le seul tissus le séparant de mon entre-jambe...


● // A SUIVRE // ●

LE CHAPITRE QUE J'ATTENDAIS AVEC IMPATIENCE 

Je vous l'ai enfin écrit ! Qu'en pensez vous ? N'hésitez pas a me donner vos retours c'est tres tres treeeeeeeees important pour moi (genre aussi important que Baptiste pour Quentin)

Bref j'espere que votre rentrée s'est bien passee ?? Que vous avez retrouvé vos amis ? Que vous avez aussi retrouvé les gensa qui vous voulez dédier une tombe ? 😁😁😁😁 que vous avez vu certains de vos profs se raser les cheveux et devenir plus hideux qu'ils ne l'etaient déjà, bref, la rentrée quoi 😁😁😁 moi je sais pas encore si ca s'est bien passé car j'ecris ce chapitre dimanche, 00h34. Bon bah du coup jv dormir, jvous laisse les gens !!! Orevoiiiir !

Baptiste.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant