Yzys.

|Part 11|

Yzys.

Ramses : Tu ferais mieux de te casser

Je me retourne et le regarde choqué tout en m'installant sur sont fauteuil qui au passage est une jouissance pour les fesses.

Moi : Ta maman t'a jamais dis qu'on accueil pas les gens comme ça ? T'es drôlement impoli toi et au-

J'arrive même pas à terminer ma phrase tellement ce que j'ai devant les yeux me coupe le souffle.

Je viens tout juste de remarquer que mon délicieux chocolat blanc n'est vêtu que d'une serviette autour de la taille.

J'arrive très facilement à compter ses six tablettes de chocolat et à apercevoir son V qui de passage me donne chaud tout d'un coup

Moi : Bébé, tu joue avec ma sensibilité là

Il me regarde perdu puis baisse les yeux sur son accoutrement

Lui : T'aime ce que tu vois ? Demande-t-il avec un sourire en coin

Moi : Et si je répondais oui ?

Lui : Mmhh, je me serais bien occupé de toi là tout de suite mais malheureusement, je suis déjà pris

Moi : Qu'est ce que tu dis là ? Je demande subitement sérieuse

Lui : Ta maman ne t'a jamais dis que c'était impoli de couper la parole aux gens ? T'es une vilaine fille Yzys

Mon nom dans sa bouche.... Non yzo reprend toi. Il vient de dire quoi là ce salop ?

Moi : Répète un peu ce que tu viens de dire ?

Lui : Bon, tu me fais chier. Casse toi maintenant. Puisque ton cerveau marche au ralenti, en gros je viens de te congédier, j'ai des choses à terminé

Moi : Je vais ignorer ton insolence. Et qu'est-ce que tu as de si urgent à terminer ?

Lui : Peut-être la magnifique blonde qui est couché en nuisette rouge sur mon lit que j'ai du délaisser pour venir ouvrir la porte ?

MDR. Je le baise ou je le baise ?

Je répond même pas et me dirige directement vers sa chambre. Il n'a même pas le temps de m'arrêter que j'ouvre la porte à la volée.

Et qu'elle n'est pas ma surprise que de voir que ce chien n'était pas du tout sarcastique.

La blonde couché à moitié nue qui vient de ce retourner pour me regarder surprise, sait-elle que je suis folle ?

Le jeune garçon qui se trouve dernière moi en serviette et qui hurle pour me demander de partir, sait-il que je suis folle ?

Je crois que la réponse est non.
Baby, do you know i'm that bitch ?

S'en plus réfléchir je ne retrouve sur cette salope.

La première chose qu'elle a le temps de voir est mon poing qui s'abat dans sa gueule. Suivis de plusieurs autres.

La seule chose qu'elle fait c'est crier et me griffer. Je crois qu'elle sait plus écarter les cuisses que se battre.

Chacun son talent je dirais.

Je crois avoir eu le temps de l'amocher un peu avant qu'on gros bras musclé me soulève et m'enferme dans la salle de bain

Nigga what ? Tu aurais pu me laisser un peu plus de temps

Moi : Ouvre cette fucking porte que je termine cette catin dis-je ne hurlant et en tapant sur la porte

Aucune réponse.

Putain. Quel fils de pute. Il ose ramener des meufs et les baisés ? Juste sous mon nez ?

Bon techniquement c'est tout son droit. Je ne suis n'y sa copine n'y rien. Mais quand même

Là, je suis vénère x10 la vie. Et en plus de ça, c'est maintenant que je sent la douleur provenant de mes phalanges qui a première vue son en sang

Moi : Putain de grosse pute qui vient de niquer ma manicure dis-je tout en mettant de l'eau sur mes mains blesser.

Une foi que j'ai finis je me regarde dans le miroir. Putain. Comment vous dire qu'être clair de peau c'est la chose la moins pratique au monde ?

Mes bras sont tout rouge du au griffure de l'autre vache. Mon coup et ma mâchoire n'ont pas été épargnée. Elle m'a griffé partout putain. Je vais pété un cable

(...) : Elle t'a pas loupé quand même, mais je dirais qu'elle a pris beaucoup plus cher que toi

J'étais tellement concentré sur mes marques que je n'ai pas entendu la porte s'ouvrir et ce salop rentré

Je décide de jouer la carte de l'ignorance. Là, il m'a sévèrement soûlé. Je vais rentrer c'est mieux

Avant que je n'atteigne la poignée, celle-ci est déjà poussé et fermer

Moi : Je deconne pas là, ouvre cette porte dis-je en le regard avec haine

Lui : Franchement t'es nul. Tu viens de me faire perdre mon meilleur coup là. T'es pas drôle

Non mais c'est une blague ?

Lui : T'aurai pu attendre que j'en finisse avec elle non d'abord. Maintenant par ta faute, tu vas devoir terminé à sa place dit-il en se rapprochant de moi tel un prédateur

J'ai chaud là tout d'un coup. Non mec, on se concentre.

Moi : Et si je te disais que tu peux allez te faire foutre ? Ça te dis quelque chose ?

Il ne répond pas et continu de s'approcher de moi. Je me retrouve collé à lui, sous la pompe d'eau de sa douche italienne.

Moi : Éloigne toi dis-je beaucoup moins sur de moi

Lui : Comme ça ? Dit-il en mettant ses bras autour de mes hanches

Dios mios.

Il rapproche tout doucement sa tête de la mienne avant de la dévier sur mon coup.

Dieu, donne moi la force de résister.