Après la grande l'histoire d'amour de notre souverain Hamdan et de sa bien aimé Aliyah, retrouvons leurs fils aîné Rashid Almaktoum dans de nouvelles aventures.
Sûr ce Tome II, je vous réserve beaucoup de surprise !
Amour, tristesse, joie etc...
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Point de vue Rashid
Me voilà enfin de retour à la maison, ça fait un bien fou d'être entouré de ses proches. J'en avais presque oublié la sensation, ces cinq années à l'armée m'ont rendu assez vide d'émotions. Mais je compte bien y remédier maintenant.
Je salue toute ma famille un à un. Ils m'ont vraiment beaucoup manqués, à force de m'être habitué à la vie de militaire je me rend compte réellement de mes sentiments alors que je suis plutôt du genre à ne rien laisser paraître. Revoir mère est une grande bouffé d'air frais ! La seule qui garde la première place et ce depuis toujours... père aussi, mais la maman a toujours une place plus spéciale. Il vrai que parfois je suis assez impulsive et la seule qui a toujours su me calmer et c'est bien elle, la prunelle de mes yeux.
Aliyah : - viens manger mon fils ! Il y a de bon plat français comme tu aime !
Leyla : - hum ( tousse ) ... Etbien pour une surprise, elle est réussit Rashid... fort heureusement que belle-mère n'ai pas fait une crise ( sourit )
Rashid : - une crise ?!
Aliyah : - hum ! ( gros yeux ) Oui ... une... une crise de joie mon fils ! Tu sais bien comment je suis .. assez émotive tout ça quoi ( gênée )
Rashid : - hum ... Jem'en voudrais s'il vous arrivait quoi ce soit... maintenant que je suis de retour, je veillerais à ce qu'il n'arrive rien à la prunelle de mes yeux
Hamdan : - hum hum ( tousse )
Rashid : - ( rit ) je ne l'ai pas oublié père
Ameerah : - bon retour parmis nous mon fils
Rashid : - merci belle-mère
[ ... ]
Après une journée riche en émotions pour nos retrouvailles, les aînés sont partis se reposer. Demain s'annonce une grande soirée pour notre retour, de la famille lointaine, des amis proches et quelques ministres du pays seront conviés. Il ne restait plus que mes frères, nous trois réunis dans notre pièce privée. Installer sur mon fauteuil en cuivre, je tchèck mes e-mails, tant que les deux autres jouaient une partie d'échec tout en se remémorant de leurs séjours à l'armée.
