Chapitre 2

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H-20 avant le bombardement, Lyon

James :
Aller sauver une princesse pour empêcher qu'elle crève... Tsss ! Dans quoi je me suis encore fourré ?

Le téléphone de l'assassin sonna.
Il décrocha.

James :
Allo ?

Homme, au téléphone :
Vous devriez bientôt arriver, essayez de rester discret.

James :
Je connais mon boulot gamin.

Une femme qui passait dans le rue regarda James d'un air méfiant, elle détourna le regard une seconde et quand elle voulu le regarder à nouveau, il avait disparu.

Homme, au téléphone :
James vous m'entendez ? Répondez moi !

James :
Calme toi gamin, je passe juste par les petites ruelles et je t'interdis de m'appeler par mon prénom.

Homme, intimidé :
Bien monsieur.

James :
Je préfère, bref, je te laisse je vois le bâtiment.

Homme, d'un ton solennel :
Bonne chance monsieur.

James, moqueur :
C'est pas de la chance gamin, c'est du talent.

Il raccrocha laissant son interlocuteur stupéfait et se reconcentra sur sa mission.

Le bâtiment était très large, faisait trois étages de haut et était d'un blanc salle, il aurait sans doute été plutôt joli s'il avait été propre, mais là "joli" n'était pas vraiment le premier mot qui venait à l'esprit quand on le voyait.

Les alentours était plutôt bien gardé, plusieurs gardes était posté a l'extérieur.

James, dans sa tête :
Comment il peut y avoir autant de personnes ? Ils me semblent beaucoup pour des terroristes. On doit me cacher quelques chose.

James, à haute voix :
Je m'en fous de tout façon, tant que je suis payé.

Il sortit de sa cachette et marcha droit vers la porte principale.

Garde :
Eh toi ! Arrête toi !

Plusieurs autres gardes vinrent voir ce qu'il se passait.

James :
Mince, je suis remarqué.

Il leva les mains en l'air

James :
Bien joué, vous avez l'oeil.

Le garde qui l'avait interpellé s'approcha de lui et James lui décocha un violent coup de coude lui faisant perdre l'équilibre.

James :
Désolé, j'ai dérapé.

L'assassin attrapa le garde qu'il venait de frapper et le poussa sur un autre, les deux tombèrent sur le sol.

Plusieurs autres gardes le mirent en joue.

James :
Vous voulez jouer à ça les mecs ?

Il donna un coup de pied dans le ventre d'un de ceux qui le braquait.

James :
Comme vous voulez, jouons !

Quelques instants plus tard, tous les gardes était au sol, aucun n'était mort.

Tous, sauf un qui pointait son arme sur l'assassin.

PAN !

James avait été plus rapide, il avait dégainé et avait tiré en premier, dans la jambe de celui restant

James :
Vous avez de la chance, je ne fait jamais de victime inutiles. Bonne journée.

Il se retourna et entra dans le bâtiment.

Alors qu'il arpentait les couloirs, il vit un petit groupe de terroristes s'agiter dans tous les sens.

Il se cacha le temps qu'il passent devant lui et continua son chemin.

James :
On parle déjà de moi ?

Il regarda sa montre.

H-15 avant le bombardement

James :
Merde ! Faut que je me dépêche, j'ai même pas finit de fouiller le premier étage.

H-10 avant le bombardement

James :
Elle est où cette foutu princesse ? Il me reste juste le dernier étage, elle a intérêt à y être.

H-8 avant le bombardement, troisième étage.

James :
Merde, elle est pas la ! Elle est où !!!!

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