Chapitre 4_ Un malentendu

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Je le vis, le jeune garçon qui ne faisait que de me coller à longueur de temps...

- Je t'ai enfin rattrapée !
- Tu n'as rien à faire de ta vie à toujours me surveiller ou m'attendre ?
- Je viens de finir mon cours et je t'ai vu descendre c'est tout
- Oh, je regarda ma montre pressée, tu as quelque chose à me dire ?
- Je voulais te proposer de rentrer avec moi ?
Je le regarda dégoutée
- Serieusement ? Tu avais que ça à me dire ? Je souffla exaspérée bon j'ai pas que ça à faire moi je dois rentrer
- Pour faire quoi ? Il commença à s'énerver j'en n'ai marre que tu sois aussi froide !  Je suis toujours à te courrir après, et toi tu es méchante comme ça... tu as un problème avec moi ? Où est passé la gentille fille qui m'a couverte quand j'étais endormis sur ton canapé ?
Je souffla
- Écoute c'est pas mon genre de me faire raccompagnée ou même de parler socialement parlant...
- Je vais t'apprendre alors ?
- M'apprendre à parler ?
- Oui, avec des gens inconnus à toi !
- Et bien d'accord mais il est un peu tard là non ?
- Ah bon tu trouve ? Je pense que c'est le bon moment !
Il me pris par la main et me tira vers sa voiture qui l'attendait il monta en me forçant toujours et il m'emmèna dans un café où on discuta un bon bout de temps puis il me raccompagna chez moi il fut étonné de voir où j'habite avant de me laisser sans me dire un mot de plus.

Le lendemain je le vu je lui fis bonjour sans réponse de sa part, je fut pas grandement touchée il ne m'avait peut être pas vue c'est tout. J'ai donc suivis ma journée habituelle que je finis avec un entraînement ardue que je due couper avec une pause toute les heures pour ne pas m'enrager.
C'est là que je le vu passer non loin de la cafétéria je l'interpella sans reaction, je trouva cela étrange de la personne qui voulait absolument me parler je fut très déçue je continuant à boire mon thé dans une mélancolie non habituelle...
Je retourna à mon entraînement, où je n'arrivais à rien il m'onibulait.... sans réponse de sa part c'est comme ci...
Je réalisa ce que je lui faisait endurer.

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